mercredi 30 septembre 2009

L'ESPOIR A UN NOM, Etienne Tshisekedi

Ebembe ya nyoka esilaka somo teoooooo
Tozalaki kozela ye kasi atindeli biso maloba alobi ke peuple akende ko s'enroler massivement mpo tobotolo pouvoir na ba moyibi oyo. Na Kin mobimba confiance ezoki. Bato bazui espoir ya ke Ya Tshitshi azali. Aza koya mpe akoya kodiriger RDC. Mokolo akonyata awa, putulu ekomata makala makotikalaeeeeeeee. Tanga oyokaeeeeee!
Bino ba UDPS botika kosuana pambapamba. Mokonzi asi alobi, bozela bakokabela bino moto na moto na poste naye mpo bosala elongo.
MEV
Etienne Tshisekedi : «Je confirme bien que l’UDPS sera aux élections de 2011»
Radio Okapi , Lundi 28 Septembre 2009 à 09:59:41
Dans une interview exclusive accordée, lundi à radiookapi.net depuis la Belgique, le président de l’Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS), Etienne Tshisekedi, a confirmé la participation de son parti aux élections de 2011. Il encourage d’ailleurs les Congolais à s'enrôler massivement. L'idéal de l'UDPS, c'est la conquête du pouvoir, a-t-il ajouté.


Etienne Tshisekedi Président national de l'UDPS
Radiookapi.net : Monsieur Etienne Tchisekedi bonjour,
Etienne Tshisekedi : Bonjour
R O Il y a eu beaucoup d’événements politiques au pays et vous étiez resté silencieux. Comment allez vous tout d’abord?
E.T : Je vais bien et ma santé évolue positivement.
R O : Positivement c’est-à-dire que vous prévoyez votre retour au pays dans combien de temps?
E. T : Pour le retour, ce n’est pas encore à l’ordre du jour, mais je crois que bientôt je vais me prononcer par rapport à cela.
R O : Certaines branches de votre parti se sont engagées pour aller aux élections de 2011 et vous-même, qu’est ce que vous en dites.
E.T : Je pense qu’il faut que tout le monde participe aux élections. C’est pour ça que j’ai demandé au secrétaire général du parti d’engager le parti dans cette voie pour que tout le monde puisse se faire enrôler. Je demande donc à tous les combattants de l’intérieur qui ne se sont pas encore enrôler de le faire.
R O : Vous confirmez donc que l’UDPS sera bel et bien aux élections 2011.
E.T : Je confirme bien que l’UDPS sera aux élections de 2011.
R O : Ce qui se passe souvent c’est que l’UDPS s’engage aujourd’hui et le lendemain il se désengage. Alors qu’est ce qui va rassurer vos membres et les citoyens congolais que l’UDPS cette fois ira aux élections ?
E.T /// Le temps qui s’est écoulé nous a servi d’expérience ainsi nous n’allons pas revenir sur notre décision.
R O : Mais qu’est-ce qui a changé au pays pour que vous puissiez changer de position ?
E.T: Le temps a fait son travail. Et tout le monde ayant condamné ce qui s’est passé dans le pays mais nous n’allons plus revenir là-dessous. Ainsi pour le moment, nous avons plus de garantie pour que les choses soient prises au sérieux.
R O : Pour la plupart des Congolais, l’UDPS semble être un souvenir politique. Mais il existe une lutte d’ambition terrible au sein du parti. Il y a aile Beltchika, aile Mubake, aile Mutanda, est-ce que c’est de cette façon là que vous allez aux élections ?
E.T : C’est très dommage que les choses puissent se faire de cette manière. Mais très bientôt je dois pouvoir prendre des décisions pour ramener tout le monde à l’unité et à la cohésion autour de moi pour que nous puissions préparer notre premier congrès et mettre le parti en ordre de bataille pour la coquette du pouvoir.RO : Mettre les partis en ordre de bataille, les décisions qui doivent être annoncées seront quelles décisions pour ne pas aller en ordre dispersé ?
E.T : Je suis justement en train d’étudier ça et je préfère ne pas vous réveler ce qui va se passer. Vous n’avez qu’à patienter un peu et vous allez attendre quand je vais le faire.
R O : Est-ce qu’il y a une date qu’on peut retenir pour votre retour au pays ?
E.T : Mon retour n’est pas encore à l’ordre du jour, tout comme les décisions que je dois prendre. Je saurai me prononcer là-dessous. Le peuple congolais ne quittera jamais mes pensées et je pense à tout ce qu’il a connu et je compatis.
R O : Monsieur Etienne Tshisekedi, merci Beaucoup.Copyright Radio Okapi

dimanche 27 septembre 2009

Un homme meurt calciné dans sa chambre à coucher
Kinshasa, 25/09/2009 / Société
D’après les témoignages des membres de sa famille, l’infortuné, avait consommé une bonne quantité de l’alcool de fabrication indigène appelé « Lotoko » et avait laissé une bougie allumée près de son lit.
Un homme d’une soixantaine d’années non autrement identifié est mort calciné dans la nuit de dimanche à lundi, sur l’avenue Luvwa au quartier Ngwaka dans la commune de Kinshasa, des suites des brûlures de l’incendie qui s’est déclaré dans sa propre chambre à coucher, a appris l’ACP.Selon des témoignages recueillis auprès des membres de sa famille sur le lieu du drame, l’infortuné, qui a consommé une bonne quantité de l’alcool de fabrication indigène communément appelé « Lotoko », a laissé une bougie allumée près de son lit.Le feu s’est attaqué au matelas mousse, avant d’atteindre le « dormeur » et le consumer complètement. C’est seulement le matin que les voisins, qui ont constaté la longue absence de l’intéressé, se sont rendu compte de la triste réalité. La police des parquets est descendue sur les lieux pour faire le constat.(TH/GM/PKF)ACP
Last edited: 25/09/2009 14:51:08

Elle s’est retrouvée la nuit en face de deux militaires




Ya biso ba militaires kaka moyibi! Bango balobaka ke bilanga ya ba soda eza nde ba sivili. Soki akutani na sivili na butu eza chance monene, nzala esili mpo akopiller ya tii na sapato.


MEV



Kinshasa, 24/09/2009 / Société
Selon la victime, elle s’est retrouvée la nuit en face de 2 militaires qui lui ont arraché quelques bijoux et autres objets de valeur, lui obligeant ainsi de courir à la direction opposée à son itinéaire.
Une jeune dame a été extorquée dernièrement par deux militaires aux environs de 23 heures sur l’avenue Lokumu, au quartier Binza Ozone dans la commune de Ngaliema à Kinshasa, a fait savoir la victime, vendredi, à l’ACP. Selon la source, elle s’est retrouvée la nuit en face de deux militaires qui lui ont arraché quelques bijoux et autres objets de valeur après l’avoir maîtrisée et réduite à l’impuissance en l’obligeant de se coucher par terre pour la dépouiller aisément.Après leur forfait, ils ont obligé à cette dernière de courir à la direction opposée à son itinéraire sans regarder derrière. L’infortunée a alerté les éléments de la police du sous-commissariat de Sola, qui lui ont refusé le secours.De là, elle s’est dirigée vers le sous-commissariat de l’avenue escorte près de la nouvelle cité de la paix d’où est venue l’intervention mais en retard. Les agresseurs s’étaient déjà volatilisés dans la nature. La jeune dame n’a pu sauver que son portable de cette agression dont elle a été victime.(Tkm/GM/PKF)ACP

On ne joue pas avec un CROCO

Kinshasa, 17/09/2009 / Société
Selon les témoins, l’infortuné se baignait en compagnie de ses amis quand le crocodile l’a happé par la jambe avant de l’entraîner au milieu de la rivière.
Un crocodile a tué, le week-end, un jeune homme de 13 ans dans la rivière Lubudi, dans la localité de Kajiba, territoire de Dimbelenge au Kasaï Occidental, a appris l’ACP, des témoins de l’événement. L’infortuné se baignait en compagnie de ses amis quand la bête l’a happé par la jambe avant de l’entraîner au milieu de la rivière.Des recherches menées par des pêcheurs pour retrouver les restes du corps de la victime se sont révélées vaines. La population de la localité attribue cet incident aux forces maléfiques.(Tkm/GM/PKF)ACP

samedi 26 septembre 2009

SCANDALE: MJ 30 Asambueee!




Oh oh oh oh oh !!!!!!!!!!!!!!!!Oyo makambo ya soni boye! Muana muasi oyo akeyi kosambuisa biso na Uganda boye!!!! Akobetama lokola nyoka. Education nini oyo?
Macth eza mobulueeee!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
MEV

C'est MJ 30 et non Tshala Muana

COMMUNIQUE DE PRESSE UPR DU 24/09/09 POUR HONORER YOWERI MUSEVENI, TSHIALA MWANA, SE PROSTITUE EN OUGANDA SUR ORDRE DE L'ALIAS JOSEH KABILA ET CHARLES OKOTO
COMPATRIOTES CONGOLAISVAILLANTS COMBATTANTS DE LA LIBERTE CAMARADE RESISTANTS ET PATRIOTES CES PHOTOS PRISES EN OUGANDA IL Y A MOINS D'UN MOIS, DEMONTRENT A JUSTE TITRE LE NIVEAU DU CONGO DE KANAME FILS DE KANAMBE ALIAS JOSEPH KABILA : UN PAYS SANS MORALITE ET SANS AVENIR ? AINSI POUR FETER SON ACCREDITATION, JEAN CHARLES OKOTO, ACTUEL AMBASSADEUR DU CONGO A KAMPALA ( BIEN CONNU POUR SA CUPIDITE ET SONS SENS ELEVE D'IMMORALITE) A INVITE, SOUS ORRE DE L'ALIAS JOSEPH KABILA, L'ARTISTE MUSICIENNE TSHIALA MWANA AVEC DES PROSTITUEES KINOISES POUR OFFRIR UN SPECTALE DESOLANT A YOWERI MUSEVENI, L'ENVAHISSEUR DU CONGO.
APRES LES PILLAGES DE NOS RESSOURCES MINIERES, LE GENOCIDE DE PLUS SIX MILLIONS DE CONGOLAIS, LE VIOL SEXUEL DE NOS MAMANS, NOS FEMMES ET NOS BEBES, L'AGRAVATION DE LA SOUFRANCE DE NOTRE PEUPLE DEVENU REFOULE ET MANDIANT SUR SON PROPRE SOL, APRES UNE HONTEUSE HUMILIATION NOUS INFLIGEE PAR L'OUGANDA, LE RWANDA ET BURUNDI, L'IMPOSTEUR DE JOSEPH KABILA ET SON VALET CHARLES OKOTO ONT CHOISI A LEUR MANIERE (musique et danse pornograpiques) DE REMERCIER LE DICTATEUR DE L'OUGANDA,
EN RIDICULISANT TOUT UN PEUPLE LONGTEMPS MEURTRI. L'UNION DES PATRIOTES RESISTANTS POUR LA LIBERATION TOTALE DU CONGO (UPR) ET SON PRESIDENT SON EXCELLENCE PROF. JULLIEN CIAKUDIA , COMDAMNE AVEC LA DERNIERE ENERGIE CETTE ACTE INDIGNE POSE PAR KANAMBE FILS DE KANAMBE ALIAS JOSEPH KABILA AINSI QU'ILS INVITENT DONC LES CONGOLAIS DU MONDE ENTIER DE PROTESTER ENERGIQUEMENT CONTRE L'IMMORALITE QUI GERE NOTRE DESTIN AU SOMMET DE L'ETAT DU CONGO. LES CONGOLAIS ONT ILS TOUS ACCEPTE L'INACEPTABLE ? IL EST TEMPS DE METTRE FIN A CE REGNE DES MENTEURS, DES IMMORAUX, DES PILLEURS, DES DETOURNEURS DE FONDS PUBLICS QUI SONT SANS AUCUN SOUCI DE L' AVENIR DE NOTRE PAYS. A BON ENTENDEUR SALUT ! POUR UPR PROF. REV. JULIEN CIAKUDIAPRESIDENT NATIONAL
MJ 30 scandalise le public
Sonieeeeeeee!

jeudi 24 septembre 2009

Bo komparer makolo oyo, eza ndenge moko te!

MJ 30



Bo komparer makolo oyo, eza ndenge moko te!
MEJE 30

mercredi 23 septembre 2009

SUPU NA TOLO



Masanga oyo eza kobebisa bato. Eza kopesa ba maladi. bana mike bakomi komele yango mikolo nyonso. Esengeli bakonzi bapekisa yango lokola basali na ngambo kuna na Brazza.

Kinshasa, 23/09/2009 / Société
Brazzaville s’étant débarrassée des fabricants de « Supu na tolo », Kinshasa traîne le pied.
Le marché kinois d’alcool consommable s’est enrichi d’une gamme de liqueurs, dont la plus en vue est ce que les habitués ont surnommé " Supu na tolo ". (Entendez : de la soupe sur la poitrine ". Cet envahissement du marché par des liqueurs enivrantes prend de l’ampleur, à l’heure où les élus provinciaux et les membres du gouvernement provincial ont notamment pour mission d’influer sur les décisions utiles pour remettre la société sur orbite.
Pendant que des mesures courageuses tardent à sévir contre des fabricants de liqueurs enivrantes, il nous revient qu’à Brazzaville, des usines pirates de Whiskies frelatées ont subi la rigueur de la loi.Des usines pirates de fabrication de cette gamme de liqueurs foisonnent dans le contexte kinois. Tout en bénéficiant du laisser-faire instauré en mode de gestion de la Ville, ces fabricants à la sauvette s’érigent en épée de Damoclès sur la santé publique. Actuellement, la liqueur tant incriminée par son dosage hors normes, " Supu na tolo ", dame le pion à d’autres séries antérieures, ayant gagné du terrain sur le marché local. Vendue à un prix accessible aux bourses modestes, cette liqueur séduit des consommateurs de différents âges.La Mairie de Brazzaville dit non au libertinage des usines pirates de Whiskies …" Depuis quelques jours, la mairie centrale de Brazzaville, accompagnée des services de la Police administrative, d’un huissier de justice et des responsables sanitaires, procède à la fermeture manu militari des usines pirates qui produisent des Whiskies frelaté, dits "Whiskies en sachet ". Ces usines au statut douteux sont depuis quelques années éparpillées dans tous les coins et recoins de la ville.Elles servent à la population brazzavilloise en particulier et congolaise en général des liqueurs nuisibles pour la santé, comme en témoignent certains cas de maladies déjà enregistrés.L’accès non régulé aux liqueurs fortes séduit et détourne la jeunesse du bon sensA l’heure où les énergies de toutes les catégories sociales se mobilisent pour le relever le défi des 5 chantiers, maints théoriciens du développement rappellent l’avantage de mettre l’homme au centre de toutes préoccupations. Pendant ce temps, des bars de plein air pullulent dans les quartiers de Kinshasa, loin de toute volonté politique d’assainir les mœurs dans ce secteur précis. Comme si cela ne suffisait pas, l’entrée en danse des fabricants des liqueurs fortes s’observe depuis plusieurs mois.Dans un entretien à la presse, le conseiller pédagogique du collège Cartésien, Sylvain Nkate Tshiesese a évoqué des facteurs qui déconcentrent les écoliers kinois.C’est notamment la profusion des bars de plein air et la distillation journalière d’une musique forte." Avec plus de 25 ans dans l’enseignement, nous disons à haute voix que les élèves congolais ne lisent plus. L’attention est orientée ailleurs : les jeux vidéo, le net, les bars de plein air, l’ivresse, la musique, la télévision, etc. Ce qui est pire est qu’ils ont du mal à lire même les notes de cours.De plus en plus, c’est un fléau que l’Etat congolais et les éducateurs en général, les institutions chargées de l’éducation doivent combattre à toutes les échelles (maternelles, primaires, universitaires). Le rôle de l’environnement social doit être relevé ", a-t-il souligné.Un volet des 5 chantiers, l’éducation de la jeunesse se contredit face à des pesanteurs inutilement entretenues.Des avis convergent sur le caractère complémentaire des 5 chantiers qui marquent le quinquennat 2006-2011.Les infrastructures, l’emploi, l’électricité, l’éducation, la santé. Il s’observe que l’insertion de l’éducation dans le programme desdits chantiers répond aux préoccupations exprimées par les Nations Unies, à travers notamment les Objectifs du Millénaire pour le Développement (Odm). Tenu en septembre 2000, ledit Sommet a aligné l’" Education Pour Tous " dans l’ordre des Odm. A ce jour, l’humanité est à mi-chemin de l’échéance 2015 fixée à cet effet.Au moment où l’école congolaise souffre de tant de maux dont notamment l’absence de bibliothèque, il saute aux yeux que la qualité de la formation qui en pâtit par ailleurs, appelle à une redéfinition de la volonté politique, pour sauver ce qui peut encore l’être dans l’évolution de la jeunesse.Les bars de plein air distillent la musique forte et œuvrent comme acteurs de la pollution sonore. Seulement, constatent les observateurs, l’autorité urbaine cible des constructeurs anarchiques en des sites bien précis qui subissent, du fait même, la rigueur de la loi. Cependant, elle laisse germer des bars de plein air.Cela dans un contexte où des écoliers, soumis à un régime de manque de bibliothèque scolaire, sont partagés entre les télévisions fonctionnant journellement en mode non stop et la pollution sonore découlant notamment des bars de plein air.(Tkm/GM/PKF)Payne/L’Avenir

Mpiodi emati talo moyen tein!

Ya biso mbisi yang'oyoeeee! Na ba mboka mosusu bato baza kolia ba mbisi ya malonga biso kaka mpiondieeeeeeeeee!!!!!!!!!!!!!
Mpo na nini gouvernement na biso akoki korganiser pêche te mpo te population aliaka ba mbisi ya malonga? Pourtant toza na ba ebale ebele!
MEV

"Mpiodi", bientôt l’abondance
Kinshasa, 22/09/2009 / Société
Pour les chinchards, Boni Mwawatadi est plus que rassurant. « Il n’y aura pas de sitôt une rupture de stocks. Car, mon ministère suit de près le mouvement des stocks de chaque produit. Et nous croyons que cette crise passagère sera bientôt résorbée ».
Pour les chinchards, Boni Mwawatadi est plus que rassurant. « Il n’y aura pas de sitôt une rupture de stocks. Car, mon ministère suit de près le mouvement des stocks de chaque pro­duit. Et nous croyons que cette crise passagère sera bientôt résorbée ».Toutefois le secrétaire général à l’Economie justifie cette rareté des chinchards sur nos mar­chés, d’abord par la baisse des fournitures dues à la pé­riode creuse de pêche pour les principaux pays fournis­seurs dont la Namibie, la Mauritanie et la Corée du Sud. Cette période qui tou­che à sa fin, concerne prin­cipalement les poissons de 20 cm et plus. Après cette période, l’on croit savoir que l’approvisionnement de la RDC va devenir régulier.
S’agissant d’autres produits alimentaires, Boni Mwawatadi Banjila Shi­bondo signale que leur ra­reté était due au conflit qui opposait la FEC à l’OCC, quant à l’applicabilité du taux de prestation de l’OCC de 1,5 % tel que décidé par le gouvernement et auquel les grands importateurs se conformaient...

mardi 22 septembre 2009

SOPEKA

Yo muana muasi bien éduquée, moto oyebi te, atelemisi yo ondimi mpe asombeli yo koka omeli. Na kibula nayo, ye wana ayibi yo téléphone. Prix ya phone na ya koka wapi eleki? Bino ba filles ya Kin bolekisi ndelo na SOPEKA. Mobali ameki yo kaka moke ondimi! Ah crise eza kotinda bino na ba nzela ya liwa.


MEV

Pour une boisson sucrée, elle se fait escroquer son téléphone
Par Le Potentiel
Partie prendre une boisson sucrée proposée par un compagnon occasionnel, une demoiselle a perdu son téléphone. Prétendant la réapprovisionner en crédit, le monsieur s’est volatilisé avec le téléphone. Laissant la demoiselle dans une attente interminable. Une jeune fille, la vingtaine révolue, s’est fait escroquer son téléphone, le mercredi 9 septembre dans la matinée, au quartier Livulu, dans la commune de Lemba. Se rendant dans un centre de santé, la jeune fille a fait connaissance avec un monsieur, la trentaine révolue. Chemin faisant, l’homme s’est mis à solliciter la main de la jeune fille. Eblouie par les paroles attrayantes de son compagnon, la demoiselle acceptera la boisson sucrée à lui offerte par son nouveau partenaire. Une façon, pour tous les deux, de trouver un cadre pour planifier leur relation naissante. Vigilant comme un aigle, l’homme a repéré une parcelle où était mentionné sur le portail «en vente, sucrée, bière, eau pure». C’est ainsi qu’il proposera à la demoiselle de s’y installer. Attirée par cette offre matinale considérée comme une bénédiction journalière pour elle, la demoiselle ne s’y est pas opposée. Bien installés, les deux partenaires ont commandés chacun, une boisson sucrée selon ses préférences. Sans prendre une seule gorgée, l’homme demandera le numéro d’appel téléphonique de la demoiselle. «Attends-moi, je réapprovisionne ton compte», s’est exprimé l’homme. De retour quelques minutes après, l’homme est surpris de constater que la demoiselle n’était pas créditée. Entre-temps, les deux boissons sucrées attendent d’être consommées. Poursuivant son action caritative, l’homme est rentré à la cabine publique. Cette fois, avec le téléphone afin de protester. Affaiblie par cette générosité, la demoiselle n’a opposé aucune résistance. Hélas, le moment temps attendu pour son compagnon était venu. Ce dernier s’est volatilisé dans la nature sans même honorer la facture des boissons sucrées. Inquiète par l’absence prolongée de son compagnon, la demoiselle a vu arriver le moment de sa confession. C’est ainsi qu’elle interpellera la vendeuse des boissons sucrées, « tantine, peux-tu m’accorder quelques minutes ». Bien sûr, a répondu la vendeuse à sa cliente. C’est alors que la fille s’est mise à relater sa mésaventure ayant entraîné la perte de son téléphone portable qui, selon elle, est un cadeau en provenance de l’Europe. Malgré la générosité de la vendeuse de ne plus réclamer son dû, la demoiselle n’a pas échappé aux reproches du public. Celui-ci n’a pas digéré sa naïveté en confiant son téléphone à une personne connue sur le champ. YVES K.

lundi 21 septembre 2009

De mulayi


Sultan Kosen est l'homme le plus grand du monde
Ata ko bazalaka molayi! Oyo eleki.
Oyo soki ayei na Kin akoka kokoto na ndako ata moko te!
MEV


Turquie - Sultan Kosen est officiellement devenu l'homme le plus grand du monde mardi dernier.
Originaire de la ville de Mardin en Turquie, Sultan Kosen, âgé de 27 ans, est l'homme le plus grand du monde. Officialisée par le Guinness des Records cette semaine sa taille est de 2,47 mètres. Le Turc fait partie des 10 êtres humains connus ayant dépassé la taille de 2,44 mètres.


Moyen ya kotala TV elongo na bana to ba bokilo eza te. Bakomi kotalisa ba images ya makambo mabe. tosengi leta arenfonrcer ba mibeko. Toza ba mindele te. Ilfo botosi ezala.

MEV


Kinshasa, 11/09/2009 / Société
Ces images on les retrouve souvent dans les tranches musicales, dans les séries télévisées et dans certains spots publicitaires.
Des couples déshabillés en train de s’embrasser, des danseuses en spectacle á moi­tie nue, des jeunes en liesse ex­hibant leurs postérieures, bou­teilles de bière à la main... Ces scènes sont diffusées sur plu­sieurs chaînes de télévision de la capitale, aux heures tardives comme en pleine journée.Il suffit juste de zapper sur des émissions musicales qui balancent certains concerts des vedettes en vogue, des publici­tés de sociétés brassicoles, des séries télévisées des films ni­gérians ou d’Amérique latine... pour s’en convaincre.Rédacteur en chef de Canal Kin Télévision (CKTV), Thierry Lebika est convaincu que la diffusion des images obscè­nes dévalorise la profession du journaliste congolais. « Certains spectacles animés par nos con­frères et diffusés par nos médias détruisent l’éducation de la jeunesse et mettent en péril l’avenir de notre pays, fait-il re­marqué.« Toute publicité, toute série télévisée, tout spectacle, tout documentaire... ne sont pas diffusables, indique Thierry Le­bika. Les médias doivent bien gérer toutes les images qu’ils diffusent, étant donné qu’ils ont la mission d’éduquer, de former et d’informer. Une danse comme « Sima ekoli » (de Wenge Musica Maison Mère) n’édu­que pas, même si elle divertit bon nombre de Kinois. Mais, comme nos chaînes vivent de la publicité, nous faisons quoti­diennement face à une concur­rence déloyale. Nous sommes alors contraints d’examiner le contenu de certains spots ou programmes avant de les faire passer... pour le bien-être des téléspectateurs ».

Réactions des responsables des chaînes confessionnelles

Conformément aux missions qu’ils se sont assignés, les res­ponsables de certaines chaînes confessionnelles refusent de se laisser emporter par le laxisme constaté dans le chef de cer­tains médias à large audience.Abordés à ce propos, les directeurs des programmes de Hope télévision (Hope TV), d’Amen Télévision (AMTV) et de Radiotélévision Dieu Vivant (RTDV) soutiennent qu’ils ne laissent jamais passer des obs­cénités sur leurs antennes. Ils affirment plutôt que, dans leurs grilles de programmes, pendant les détentes, ils font davantage passer des clips des chansons religieuses, ainsi que des films d’origine nigériane à caractère éducatif.« La vocation de notre chaîne n’est pas commerciale, explique Jacques Kasongo, directeur des programmes d’AMTV. Nous n’acceptons pas la diffusion des spots publicitaires de tout genre, hormis des publicités à caractère religieux pour accom­pagner l’évangélisation.« La ligne éditoriale de notre chaîne ne nous permet pas de diffuser des images obscènes que nous retrouvons dans certaines musiques populaires et dans les publicités de quelques produits, particulièrement des boissons alcooliques, commen­te à son tour Georges Kewa, ré­dacteur en chef de Hope TV. La diffusion des images obscènes n’est pas biblique, parce qu’el­les sont contraires à la pudeur et sont à la base de la mauvaise éducation des jeunes Kinois.La Rtdv du prophète Nehe­ma Sikatenda tient aussi à dé­fendre la pudeur à travers ses programmes, conformément à l’optique de l’évangile. « Pen­dant les détentes, affirme le di­recteur de programme de cette chaîne, nous préférons passer des clips religieux ainsi que les prédications du prophète Jac­ques Nehema Sikatenda. Ses propos interpellent souvent la conscience des enfants de Dieu pour les pousser à rester devant sa présence et éviter de tomber dans des occasions du pêché ».(Milor/GM/PKF)Sebe Ndunga/Lorris Kazadi/Journal du Citoyen

Ba pasteurs ya Kinshasa

Pasteur mobimba, basali yo confiance ye oye kobebisa! Na mboka oyo tokosala confiance na nani? Bible oti wapi papa pasteur? Baboti ya muana muasi balali pongi yo oza kolamuisa muana na bango mpo bosambela. Losambo yango wana? Satana.

Kinshasa, 17/09/2009 / Société
Selon la mère de la fille, sa famille a pris soin de céder une chambre à leur pasteur car ce dernier était déguerpi là où il habitait suite à ses nombreux mois d’impaiements des frais de loyer.
Une fille âgée de 18 ans, adepte d’une Eglise de réveil locale au quartier Kingabwa, dans la commune de Limete à Kinshasa, a été engrossée par le pasteur titulaire de cette église qui était accueilli dans une famille pour un séjour de courte durée, a révélé vendredi à l’ACP, la mère de la fille. Selon elle, sa famille a pris soin de céder une chambre à leur pasteur car ce dernier était déguerpi là où il habitait suite à ses nombreux mois d’impaiements des frais de loyer.Il a été jeté à la rue par son bailleur. Pendant son séjour auprès de la famille, a-t-elle dit, le pasteur comme les chrétiens font avec tous les bergers de Dieu, était libre de converser en toute quiétude et à prendre toute attitude de prière avec les membres de la famille. Profitant de cette liberté, le pasteur en a abusé en entretenant des relations coupables avec leur fille a affirmé sa mère. Contre toute entente, le pasteur a improvisé un voyage au Congo-Brazza, alors qu’il était sans moyen financier pendant tout son séjour auprès de cette famille.C’est seulement après le voyage du pasteur que la famille de la fille s’était rendue compte du comportement anormal de leur enfant avec des signes du début de grosse. Pour se rassurer, la famille consulte un infirmier d’un centre de santé local où la grossesse a été confirmée par un test. Interrogée, la fille a avoué avoir eu des relations sexuelles avec le pasteur. Ce qui a soulevé l’indignation de toute la famille, des fidèles de cette église ainsi que des voisins. La fille attend famille depuis bientôt six mois et le pasteur prolonge son séjour de l’autre côté de la rive du fleuve Congo, a-t-elle conclu.(Tkm/GM/PKF)ACP

Un exemple à suivre

Bravo, bravo, bravoooooo

Bandeko, tosengi bino nyonso esika bozali, bolanda ndakisa oyo, bosalisa ba quartiers oyo bokola, bobongisa ba écoles oyo botanga kala mpo na kosalisa ba générations oyo eza koya.

Kinshasa

La diaspora vient en aide aux écoles de Mombele

Par Delphin Bateko
Après la remise des bancs-pupitres, des manuels scolaires et la réhabilitation de la toiture de leurs anciennes écoles, les membres de l’association «Jeunesse de Mombele résidant en Europe » (JME) viennent d’octroyer des sacs de ciment pour la construction d’un bâtiment scolaire pour l’EP I et IV Mombele et des glucomètres pour le centre de santé Liboke situé au quartier Mombele, commune de Limete. Cette double cérémonie a eu lieu le mardi 8 septembre 2009 à Mombele.
La cérémonie de remise des sacs de ciment et des glucomètres a été présidée, le mardi 8 septembre 2009, par Adelin Manianga, vice-président de l’association Jeunesse de Mombele résidant en Europe (JME). Des sacs de ciment ont été remis aux deux directeurs d’écoles primaires Mombele I et IV et des appareils médicaux aux responsables du centre de santé Liboke. Au nom de sa congrégation et à celui des bénéficiaires de ce don, le révérend frère Barthélemy Nsengo, directeur des études à l’EP I, a exprimé à l’association sa gratitude pour ce geste qui, a-t-il fait remarquer, contribue au développement de Mombele. « Ceci prouve l’attachement et le souci des membres de cette association de voir les écoles de Mombele avoir le même rayonnement que d’autres de la capitale », a-t-il indiqué. Avant de rappeler que cette association avait auparavant remis des bancs-pupitres et réhabilité l’un des bâtiments scolaires. Le révérend frère Nsengo a saisi cette occasion pour solliciter de la part de l’association, au nom des directions de l’EP I et EP IV Mombele, des ordinateurs et photocopieuses pour le bon fonctionnement de leur administration respective et aussi pour assurer certains cours pratiques en informatique. Pour sa part, le vice-président de la JME, Adelin Manianga, après avoir rappelé que c’est pour la quatrième fois que les membres de cette association remettent des dons à leurs anciennes écoles, a réitéré sa confiance à leurs responsables pour avoir trouvé intact tout ce que l’association leur avait remis.

lundi 14 septembre 2009

Viols

Mingi babombana, ba denonsaka ba viols te mpo na soni.

Viol eza epidemie monene toza n'ango awa na RDC. Ezala na Kinshasa to na ba provinces nyonso viol eza kosalema na bisika nyonso. Na famille, ba cousins, neuveux, oncles baza ko abuser na ba filles ya familles. Na ba écoles mpe universités, ba profs baza ko se servir na bana ya kelasi. Na ba commissariats, ba policiers na ba officiers na bango baza komonisa ba détenues ya basi pasi. Ba kuluna, soki bakutani na muana muasi na butu batika ye pamba te kaka kobebisa. Ba patrons na mosala, ba collaboratrices bakoma ba 2e na bango.
475 cas de viol répertoriés au Bas-Congo
Par Okapi.net/
Lp La synergie provinciale de lutte contre les violences sexuelles a enregistré 475 cas de viol au premier semestre 2009, plaçant ainsi la province du Bas-Congo en 4ème position nationale. C’est ce qu’indique le rapport du groupe de travail des agences des Nations unies présentes au Bas-Congo ainsi que certaines ONG locales.
Ce rapport a été présenté mardi à Matadi, à l’issue d’une réunion. Le silence des communautés et des victimes ainsi que l’impunité des auteurs encouragent ces actes de violence, selon ce rapport. Ces cas des violences sexuelles faites à la femme sont plus accentués dans les zones d’accueil des Congolais refoulés d’Angola. C’est notamment les territoires de Muanda, Tshela, Lukula, Songololo, Mbanza- Ngungu, Madimba et Kimvula ainsi que dans les zones où les incursions angolaises sont signalées. Il s’agit des territoires de Tshela et Lukula où des cas de trafic sexuel des filles sont régulièrement constatés. Les participants à cette réunion ont décidé de poursuivre la prise en charge des victimes et de sensibiliser et de vulgariser les communautés sur la loi contre les violences sexuelles.

Moyibi ya ba taba ekoti na Kananga moyen te! Kake ekende wapi? Kala ezalaka ata olokoti 100 Frs to oyibi soso ya ngani batindeli yo kake. Lelo ba kake etikali kaka soki ozui muasi ya bato.

Bino mpe ba moyibi bomonisi bato pasi mingi, boyebaka, mabe nyonso efutamaka kakaeeeee!!

Kinshasa, 12/09/2009 / Société
Des inciviques non encore identifiés se livrent à cœur joie, à ces vols perpétrés parfois en pleine journée aux dépens des propriétaires de ces bêtes.
Le vol des chèvres a pris une ampleur inquiétante dans la commune de Nganza, à Kananga au Kasaï Occidental au regard des doléances de plus en plus nombreuses formulées par la population auprès des instances judiciaires de cette entité administrative, a constaté l’ACP. Des inciviques non encore identifiés se livrent à cœur joie, à ces vols perpétrés parfois en pleine journée aux dépens des propriétaires de ces bêtes.Outre l’impunité dont jouissent les voleurs présumés en cas d’arrestation d’aucuns ont cité la non observance des mesures portant interdiction de la divagation des animaux domestiques parmi les cause de l’extension de ce fléau.L’élevage des chèvres constitue une activité génératrice des revenus pour la majorité de la population de cette commune, rappelle-t-on.(Ern/GM/PKF)ACP

vendredi 11 septembre 2009

Les serpents venimeux sèment de l'insécurité

Pasi ya peuple ekosila mokolo nini? Na nboka kuna, soki okeyi zamba te moyen olia eza te. Bato baliaka na bilanga mpe na bokila, ba nyoka baza kopermetre lisusu bato bakende zamba te. Pasi ekoti na mbokaeee!!!! Leta oyo toza n'ango aza incapable ya kotrouver solution. Tosambela kaka Nzambe alongola likambo oyo na zamba ya Maindombe. Eza mawa.
MEV

Des champs infectés des serpents venimeux,
Par Le Potentiel
Des champs infectés des serpents venimeux, 6 morts déjà à Bandundu. Les serpents sèment de l’insécurité dans le territoire de Mushi au Maindombe.
En l’espace d’une semaine, 10 personnes, dont six sont mortes, ont été mordues par ces serpents venimeux dans la localité de Mbali, cité située à 110 km de Bandundu-ville. La population lance un cri d’alarme à l’endroit des autorités pour les sécuriser. La population de cette localité n’accède plus depuis quelques jours aux champs de suite de la peur causée par ces serpents. Elle dit ne pas comprendre d’où viennent-ils. Car c’est un fait nouveau dans leur localité, indique la source.
S.K.

jeudi 10 septembre 2009

Kake, Foudre



Na Kasaî kuna, soki ozui muasi ya moninga keba! Kake (foudre) eza mosika te ba DV basakanaka te. Tala denge djo oyo obomi moninga mpo na muasi! Soki moyen ezalaka ya koutiliser foudre contre ba ennemis du peuple nakanisi RDC elingaki ezala liberé sans problème.
MEV













La foudre tue un homme à Kapinga-Kamba au Kasaï-Occidental
Kinshasa, 09/09/2009 / Société Diverses versions ont été données pour expliquer cette mort tragique, les uns l’attribuent à un phénomène naturel, les autres à une affaire interne à la famille de la victime…
La foudre a tué, le week-end, un homme d’une quarantaine d’années dans sa résidence familiale située au village de Kapinga-Kamba, secteur de Dibatayi, territoire de Dibaya au Kasaï Occidental, a appris l’ACP des résidants de cette contrée. Selon la source, diverses versions ont été données pour expliquer cette mort tragique, les uns l’attribuant à un phénomène naturel, les autres à une affaire interne à la famille de la victime ou encore à la compromission de l’infortuné dans un cas d’adultère avec la femme d’un ami.(Tkm/GM/PKF)ACP Last edited: 09/09/2009 10:24:42

Nganga kisi to GUERISSEUR

Ba nganga kisi, ya solo basalisaka bato na ba zete ya bokoko kasi tango mosusu balekisaka ndelo. Okomona asali ba melanges naye ya nzete ndenge na ndenge, alobi ke kisi wana esalisaka maladi nyonso, diabète, cancer to hypertension. soki otuni ye alobi ke ye asalisaka maladi nyonso. Mingi babelela balobi ke baza kosoigner SIDA, nyonso wana moyen ya kokontroler eza te. Kende otala esika baza kosalela ba kisi yango! Mawa.

MEV
Les tradipraticiens rdcongolais invités à collaborer avec les praticiens de la médecine moderne
Kinshasa, 01/09/2009 /
Curiosite
Le ministre de la Santé Publique a invité les tradipraticiens à travailler en collaboration avec les praticiens de la médecine moderne pour faire preuve d’esprit de créativité et d’innovation dans la recherche de la médecine traditionnelle congolaise.
La République Démocratique du Congo (RDC) est un creuset où les recherches dans le domaine médical peuvent être menées avec l’espoir et qu’un jour la découverte des nouveaux médicaments issus des plantes médicinales et assimilés puissent contribuer à lutter efficacement contre les maladies endémiques émergentes et re-émergentes y compris la pandémie du VIH/SIDA.
Le ministre Mopipi de la santé qui a fait cette déclaration à l’occasion de la célébration de la 7ème journée de la médecine traditionnelle fonde son espoir sur la biodiversité de la flore et de la faune que regorge la nature congolaise.Rappelant le thème retenu pour cette journée notamment «la médecine traditionnelle et la sécurité du patient » le ministre de la Santé publique a convié les tradipraticiens de travailler en collaboration avec les praticiens de la médecine moderne faire preuve d’esprit de créativité et d’innovation dans la recherche et le développement de la médecine traditionnelle congolaise (MTA), respecter le code d’éthique et d’exercice de la médecine traditionnelle ainsi que la réglementation en vigueur relative à l’art de guérir, acquérir les connaissances sur la politique nationale en matière de santé et connaître les soins de santé primaire et les maladies à potentiel épidémique.Il a lancé un vibrant appel aux partenaires bilatéraux et multilatéraux qui participent au développement du secteur de la santé à travers le monde pour un appui au gouvernement congolais dans sa mission d’organiser le développement et la promotion de la médecine traditionnelle congolaise afin de lutter efficacement contre les produits contrefaits à base des plantes que l’on trouve sur les marchés tant nationaux qu’internationaux.(SM/PKF)ACP
Last edited: 01/09/2009 15:36:10

mercredi 9 septembre 2009

Dikembe Mutombo mettait un terme à sa longue carrière en NBA

Topesi longonya na Mutombo Dikembe mpo na nyonso asali surout mpo na lopitalo oyo asaleli biso awa na Kinshasa. Nzambe apesa ye makasi mpo asala ebelee! Tosengi ye apesa candidature na ba élections oyo eza koya...


Basket-ball - NBA
Dikembe Mutombo : « C’était le moment de partir »
par David Kalfa

Le 22 avril 2009, Dikembe Mutombo mettait un terme à sa longue carrière en NBA. Le pivot congolais sortait du terrain gravement blessé au genou gauche. Il annonçait sa retraite dans la foulée. A 43 ans, le natif de Kinshasa se consacre désormais à sa guérison, mais aussi et surtout à sa famille et à ses œuvres caritatives en faveur des Africains démunis. Entretien avec un géant au grand cœur.

Les vieillards de plus de 60 ans en danger dans certains villages de la RDC


Na ba villages mingi ekoma kaka boye. Ba mibange baza komono pasi. Soki moto akufi to likambo esalemi bakoluka ndoki kaka parmi ba mibange, balobi ke baza ba ndoki. Keba ndeko, soki oza na famille to moto ya proteger yo te, soki osi okokisi plus de 60 ans kovanda na mboka te noki bakokanga yo ndokieeee!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!


Mawa eza te. Baza kotorturer bango tongo pokua. Moto ya kolobela bango aza te. Ba mosusu baza en bonne santé mantale te.
Au lieu d’être protégées dans des homes pour vieillards, les personnes du troisième age accusées de sorcellerie sont arrêtées et jetées dans une prison à Mushenge, une localité du territoire de Mweka. Elles y subissent des tortures physiques et morales.

Kinshasa, 29/08/2009 / Société
Au lieu d’être protégées dans des homes pour vieillards, les personnes du troisième age accusées de sorcellerie sont arrêtées et jetées dans une prison à Mushenge, une localité du territoire de Mweka.
Elles y subissent des tortures physiques et morales.
Ils disent que je suis sorcier, et que c’est moi qui suis responsable de l’accident de train qui a coûté la vie à mon neveu, confie Mingashanga Ngolo, 69 ans, condamné depuis 2005 par les autorités traditionnelles à passer le reste de ses jours dans la prison pour sorciers, au centre de Mushenge, une localité du territoire de Mweka, à environ 300 km au nord de Kananga, chef- lieu de la province du Kasaï Occidental.Depuis 2006, 120 vieillards, femmes et hommes, sont incarcérés dans ce bâtiment où ils subissent des tortures physiques et morales perpétrées par la garde rapprochée du chef Nyimi, le roi du peuple Kuba qui a lui-même créé cette prison dans cette partie du pays. « Ils peuvent nous tuer ici chaque jour ils ne cessent de nous répéter que nous sommes sorciers, et que nous devons travailler sans pitié», témoigne Shamakwete, l’une des plus anciennes détenues.Avant d’être jeté en prison, le vieillard est mis à la disposition du village et chacun lui inflige une sanction au choix gifle, coups et voire blessures. Ensuite, il part en prison sous prétexte de le protéger contre la colère du village, qui risquerait de te tuer, comme cela se faisait dans le temps, explique Minga, un membre de la famille royale.
Travail et chicotte
La vie dans le milieu carcéral est dure. Les contacts avec l’extérieur sont interdits aux vieillards dits sorciers. Selon les gardiens, eux-mêmes risquent d’être condamnés pour trahison en cas d’évasion d’un prisonnier. Ils devraient alors prendre la place de celui-ci. « Pas de visites. En cas de fuite, nous risquons notre propre vie », s’exclame un greffier près la prison de Mushenge, qui a requis l’anonymat. « La maison carcérale située en face du siège administratif de l’Etat est ceinturée depuis 2008 d’un enclos en pisées et en bambous de Chine. C’est une façon de limiter la curiosité des passants », affirme un témoin.Les vieillards en détention perdent presque tous leurs droits, y compris aux soins de santé. « Ils font semblant d’être malades, mais quand on prend le fouet, tout le monde est debout », confie un gardien.Chacun doit, à chaque saison, cultiver un champ de maïs d’au mains un hectare. D’autres travaux sont aussi imposés, tels que fabriquer un à dix grands et luxueux tapis en raphia appelés dishanga, en langue locale kuba. Mboma, une prisonnière, en témoigne : « aller au champ et fabriquer des tapis est obligatoire pour tout le monde, même quand on a des douleurs », s’inquiète-t-elle. Les moins actifs s’exposent à la chicotte administrée par les gardes. Malheureusement pour eux, les vieillards prisonniers ne profitent pas de revenus de leurs travaux. Tapis et maïs sont remis aux cousins, oncles et autres proches de la famille régnante qui, au nom du roi Nyimi de Bakuba, en font ce qu’ils veulent : les vendre à Kananga, à Lubumbashi ou ailleurs, ou les donner en cadeau aux connaissances et amis, localement ou à l’étranger. « CeIa fait partie de leur peine, il n’y a pas a discuter », ajoute le garde.
Loi du silence
Le combat pour le respect des droits des personnes du troisième âge que l’on accuse de sorcellerie dans cette partie de la province du Kasaï Occidental n’a pas encore commencé. Nombre des ressortissants du territoire de Mweka considèrent que les personnes extérieures qui tentent d’aborder la question de la prison des sorciers à Mushenge exagèrent. Bope Mingambengele, enseignant et chercheur dans divers établissements supérieurs et universitaires de la ville de Kananga, et qui est en même temps l’un des intellectuels issus de cette contrée, le confirme : « Il ne faut pas dramatiser cette situation. C’est juste une sanction coutumière contre les membres de la communauté qui ont abusivement usé de la sorcellerie pour nuire. Les gens ne peuvent pas accepter que les vieillards censés protéger la communauté se mettent à la détruire. II faut sanctionner les déviants »L’information sur l’incarcération des vieux dits sorciers à Mweka circule dès lors timidement. Ni les organisations de défense des droits de l’homme ni les structures n’en parlent à haute voix. Seuls quelques journalistes et commerçants curieux passés par Mushenge en discutent entre eux. Le même mutisme est observé du coté du gouvernement comme du parlement ouest-kasaien. Les élus des circonscriptions du territoire de Mweka n’en ont jamais fait mention dans l’un de leurs rapports des vacances parlementaires.Do longues et discrètes démarches menées conjointement par des familles et quelques activistes des droits de l’homme permettent cependant d’envisager la libération prochaine de quelques-uns de ces prisonniers.
(CL/Yes)Syfia Grands Lacs/Le Palmarès

Blanche à l'exterieur et noire à l'interieur

Muana muasi oyo boz'omono aza mundele, une pure Belge. Akoma naino Kin te kasi ayibi kobina mabina na biso moyen te. Ye alingi ba mibali ya ba mindele te kaka ba noiro.

MEV

Nadine alias "Lova Lovaa" : "Je suis Blanche, mais..."
Jossart Muanza(AEM)

Nadine est une jeune Bruxelloise, mais elle vit au rythme de Kinshasa, comme si elle s’y était déjà rendue. La danse congolaise est une passion et n’a aucun secret pour elle. Et elle l’affirme avec fierté : " ...Je suis Blanche mais je danse toutes vos danses Z et évolue dans ce milieu depuis quelque temps ! J’ai notamment dansé et chanté avec JF Ifonge".
Je suis Blanche à l’extérieur, mais tout ce qu’il y a de plus Z à l’intérieur ! plaisante-t-elle. Ce que son amie Clara de Hollande confirme : " she is a white girl, but she dances better than most black girl, honestly You should see her.( C’est une Blanche mais elle danse mieux que beaucoup de jeunes Noires...Vous devriez la voir sur scène pour le croire".)
Nzele ya kobala ye oyoee!

Un malade mental pris pour un sorcier


Toza kokende wapi? Violence eleki! Liboma eza maladi lokola ba maladi nyonso, Au lieu ya kosalisa bango bakomi koboma bango pambapamba. Vie ya moto eza na valeur lisusu na mbok'oyo te.

MEV

C’est qu’en dépit de la prolifération des églises et autres assemblées de prières, l’amour d’un plus grand nombre s’est refroidi considérablement.En justifiant des défauts innés ou des infortunes de quelques-uns parmi la population par l’envoûtement ou la sorcellerie, des prédicateurs Kinois ont ouvert la brèche dans les rapports humains, qu’eux-mêmes ne sauront colmater du jour au lendemain.Loin d’enseigner amour et pardon selon l’entendement du Christ le Messie, ces prédicateurs ont instauré dans les rues de Kinshasa, un climat de méfiance et de suspicion mutuelles, faute de discernement d’un plus grand nombre. Ainsi, indigents et malades mentaux présentant une apparence méprisable, sont vite victimes de présomption fâcheuse et destinés parfois à la sentence de la rue, incontrôlée lâche et peureuse. Car la peur de l’inconnu a su gagné du terrain que même le chat solitaire de nuit , le cancrelat ou la souris sont présumés envoûteurs.
Selon les témoignages d’un de ses oncles maternels qui a eu un entretien avec la presse, le corps du pauvre aurait été traîné dans la rivière N’djili en amont, car des bourreaux tenaient coût que coûte à dissimuler d’éventuelles traces.
Dans la commune de Matete, la famille Bazeka ne se remettra pas sitôt de son angoisse, après la mort par noyade forcé de son petit fils Dadi Bazeka. A neuf ans, celui-ci était un malade mental. Sur le plan de la manifestation extérieur de sa maladie, il était un mal parlant, monologué outré allant jusqu’à rire aux éclats en étant seul. Il confondait parfois des passants aux gens de sa maison et avait la manie de suivre d’éventuels inconnus jusqu’à de longue distance de la maison.
Plus d’une fois, il avait été repéré par un voisin loin de l’adresse familiale et quiconque l’ayant trouvé dans ces circonstances a aidé généreusement à le ramener auprès des siens. Mais il est arrivé, providence, qu’une dernière fois, le pauvre s’est retrouvé aux frontières communes des quartiers Bikanga (commune de Kisenso) et les 8 et 9 (N’djili), le long de la rivière N’djili. Les dernières nouvelles indiquent que des inconnus traînant dans les étendus de maraîchage auraient aperçu le petit. Ils ont crié au sorcier, car non habitués à ce mal parlant.En fin de compte, comme il n’y avait personne de sensé sur les lieux pour conscientiser la foule, des jets de pierre ont ciblé le maigre corps du petit qui n’avait pas plus de 10 ans d’âge. Selon les témoignages d’un de ses oncles maternels qui a eu un entretien avec la presse, le corps du pauvre aurait été traîné dans la rivière N’djili en amont, car des bourreaux tenaient coût que coûte à dissimuler d’éventuelles traces.La victime était orphelin de mère et se contenait de la garde de sa grand-mère maternelle, elle-même veuve. Ses oncles maternels regroupés dans la parcelle familiale vivent généralement du petit commerce, dans plus d’un marché de Kinshasa. En effet, les quartiers Kinshasa de la populace connaissent une situation aussi paradoxale qu’inquiétante. .(GM/Milor/Yes)L’Avenir

dimanche 6 septembre 2009

Tuée sur l'ordre du gouverneur

Likamb'oyo ekoki kosila boye te. Babomi muana muasi oyo pamba, moto nyonso ayebi ke awayawayaka pambapamba mikolo nyonso na balabala ya ville ya Kananga, mutu naye esalaka malamu te. Soki aseretrouver na residence ya gouverneur ndenge nini toyebi te. Gouverneur apesi ordre baboma ye soi disant ke aza sorcière ayaki koloka ye. Moto ya kosamba likamb'oyo aza te. Vie ya moto eza na valeur ata moke te na miso ya bakonzi.
MEV



Elle a été battue à mort et son corps saignait jusqu’à ses organes génitaux avant d’être retrouvée par la police étalée sur le sol sur l’avenue Walikele. Une femme accusée de sorcière, dont l’identité n’a pas été révélée a été surprise aux environs de trois heures du matin à Kananga, chef-lieu de la province du Kasaï Occidental, à la résidence officielle du gouverneur de cette province, a-t-on appris vendredi d’une source policière de la place.Cette soi-disant sorcière âgée d’une vingtaine d’années est apparue au milieu d’une lumière aux environs de trois heures du matin au salon de cette autorité provinciale avant d’être neutralisée et entendue, a relevé la source qui a fait savoir que cette femme a été soupçonnée des intentions malveillantes d’envoûtement.Elle a été battue à mort et son corps saignait jusqu’à ses organes génitaux avant d’être retrouvée par la police étalée sur le sol sur l’avenue Walikele. Certains responsables des services de maintien de l’ordre public qui se sont présentés au lieu du drame l’ont abandonnée sans rien faire. Selon certains milieux, cette jeune femme est connue comme une démence qui circule à travers toute la ville de Kananga.
(Milor/GM/PKF)ACP

samedi 5 septembre 2009

Soeur à l'abbé José Pundu, membre de PPRD

Bato mingi bazalaki komituna pourquoi bayokaka lisusu l'abbé José MPundu te, esengeli boyeba ke aza lisusu na moyen ya ko s'impliquer na activité ya lutte ya opposition te mpo ndeko naye ya muasi akoma moto monene na kati ya PPRD. Bo komprendre ye. Akoma conseiller naye. na yango akoki kobebisela ndeko naye ya muasi carrière politique te. Na PPRD basakanaka te.
MEV
Bernadette Mpundu, membre PPRD, soeur à l'abbé José Mpundu



L’abbé José Mpundu est-il votre frère?
Oui, je le confirme.


Quelles relations entretenez-vous avec lui aujourd’hui?
Nous vivons en bons termes. Je lui rends visite tout comme lui il vient me voir. S’il nous arrive de ne pas nous rencontrer pendant une semaine ou plus, nous nous appelons au téléphone. J’ai de très bonnes relations avec mon frère que j’aime bien.




Alors vous voilà au PPRD, le parti du Président...
La vision social-démocrate de ce parti correspond à ma propre vision de la vie. Si je n’étais pas dans la logique de cette vision, je pense que je n’aurais même pas commencé la lutte contre la drépanocytose ou la polio. Ensuite, il y avait l’implication personnelle de Kabila Père qui m’avait beaucoup aidé dans la lutte contre la polio. J’ai travaillé avec le père et je continue d’une manière tout à fait naturelle avec le fils, qui, à l’époque où il était chef d’état-major général des FAC, s’était aussi impliqué dans cette lutte. Il nous prêtait volontiers ses camions pour transporter les vivres à l’hôpital de Yolo. Entrer au PPRD, c’était comme si j’entrais dans une famille qui était mienne.
Puis porte-parole du PPRD...
C’est le fruit d’un parcours au sein du parti. Je crois sans fausse modestie avoir fait mes preuves en tant que communicatrice. Si le public a accepté de m’adopter, c’est tout simplement parce que j’ai bien défendu la cause des drépanocytaires et de la lutte contre la polio. Les gens ont vu et ils ont découvert en moi la capacité de communiquer. Pour un parti, la communication est une chose importante. Et puis, il y a eu d’autres critères, la loyauté, la fidélité, l’amour du travail, la civilité et l’engagement total.
Abbée José Mpundu: Entre la soeur et le peuple le choix est claire...
Yo moto ozalaka ko lutter mpo na droit de l'homme, pour un ETAT DES DROITS, lelo omelami! Bato bakomi kokamua ndenge oza kobouger lisusu te zoka okoma PPRD! Ndeko nayo ya muasi akangisi yo monoko! Eza mawa mingi muan'a mayi!

vendredi 4 septembre 2009

LES DAMES DANS LES EGLISES

Ba mama batikali sima te. Bakomi ba Prophètes, Apôtres, pasteures, evengelistes etc.

Oyo boz'omono aza prophéteresse. Ba mama batikali sima te, bango mpe bafongolifongoli ba églises bamipesipesi ba titres lokola ba mibali basalaka. Soki otuni ye alobi ke azui REVELATION euti epayi ya Nzambe mpo akoma boye.


La prophétesse Germaine Libambu

Elle appelle toute la Nation à la sanctification
Elle planche, sans detours, sur le rôle prépondérant que l’Eglise doit jouer dans la délivrance et la restauration de la République Démocratique du Congo. ‘‘Dieu attend, en cette année de sanctification, que l’Eglise du Congo élève vers lui des mains purifiées en faveur du pays’’, fait-elle savoir sans ambages.


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Pasteure Micheline Kamba Kasongo





Church of Christ in Congo - Presbyterian Community of Kinshasa
Democratic Republic of Congo
Read more on:
Église du Christ au Congo - Communauté presbytérienne de Kinshasa







Rev. Micheline Kamba Kasongo



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APOTRE ROSE LESSIE MOKWABILY








Leader et viosionnaire des Eglises
LA MANNE CACHEE

jeudi 3 septembre 2009

Une fête de mariage troublée par les <>

Tokoloba boni? Ba militaires na ba policiers baza ebelee! Insecurité mpe eza komata kaka, solution eza te match eza potopoto ndeko na nga.


Kinshasa, 03/09/2009 / Société
La bande a opéré pendant plus de deux minutes laissant derrière elle des pleurs et blessés avant de tenter d’envahir, mais en vain le véhicule des mariés bourré des cadeaux.
Une fête de mariage qui s’est déroulée le week-end dernier à « L’Espace Ngindu » à l’échangeur de Limete dans la commune de Lemba s’est terminée par une attaque des voleurs à main armée appelés communément « kuluna » qui ont arraché des sacs, bijoux et portables entre les mains des femmes. C’était vers 5 heures du matin le dimanche que les invités qui sortaient de la salle de fête ont été surpris par les « kuluna » à l’arrêt de bus qui fait face au monument du héros national Patrice Emery Lumumba.La bande a opéré pendant plus de deux minutes laissant derrière elle des pleurs et blessés avant de tenter d’envahir, mais en vain le véhicule des mariés bourré des cadeaux. Les membres de cette bande ont poursuivi leur opération sur le terrain de football au quartier Banunu à Matete où ils ont été rejoints par d’autres inciviques qui se dirigeaient vers l’Est (N’Djili, Masina, Kingasani). Ces malfaiteurs étaient armés des machettes et autres coupe-coupe.(Milor/GM/PKF)ACP
Last edited: 03/09/2009 11:48:20
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Phénomène Kuluna ou la montée en puissance du grand banditisme à Kinshasa





Un nouveau phénomène dénommé « Kuluna » prend des proportions inquiétantes à Kinshasa. Des groupes constitués en gangs et armés de machettes, couteaux et même parfois d’armes à feux terrorisent les populations de certains quartiers de la capitale congolaise. Une rencontre avec un de ces groupes se termine souvent par racket et baston. Parmi les communes les plus touchées, on peut citer Barumbu, Kinshasa, Limete (Kingabwa-Mombele), Kalamu (Yolo-Nord et Sud, Kauka, Kimbangu), Ngiri-Ngiri, Ngaba, Bandalungwa et Kintambo.
Quand il arrive que la population parvienne par ses propres efforts à mettre la main sur l’un de ces inciviques et qu’elle le livre à la police, cette dernière libère tout simplement le brigand après avoir pris soin de la dépouiller de son butin. À en croire que ces groupes bandits travaillent pour le compte de certains policiers et autorités judiciaires.
Illustration : Philma

mercredi 2 septembre 2009

Manque d'eau a Selembao Kito-Kimosi

Vie nini oyo bato bakomi kovivre na mbok'oyo? Mayi eza te na selembao na ba koté ya Kito-Kimosi/Libulu. kosokola nzutu ekomeli bango pasi. Bakonzi baza kokiper ata moke situation oyo te. Tokomi ba nyama to ba nani??????
Kabila tala chantier olukaka yang'oyoeeeeee!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! tokosuka wapieeeeeee?????????????????????????????Nani akobikisa bisoeeeeeeeeeeeeeeee????????????????????????
MEV
20 litres d’eau de source vendus à 150 Fc à Selembao.
Par Le Potentiel
20 litres d’eau de source vendus à 150 Fc à Selembao. Il s’agit des habitants du quartier Kito Kimosi/Libulu qui en sont victimes. Ils appellent les autorités du pays à tous les niveaux à trouver une solution rapide au calvaire de la population de cette partie de la capitale. Les habitants ont fait savoir que cela est dû à la non opération de la REGIDESO depuis plusieurs décennies. Pour réaliser tous les besoins possibles de la journée, il faut au moins 1.000 Fc, rapporte l’Agence congolaise de presse (ACP).

Femme enceinte

Combien d'entants a cette femme a dans son ventre?
























Il n’est pas bon de lâcher son compagnon, son mari dans les moments difficiles


Kolia na muasi kolia na ndoki. Yo muasi mobimba, mobali abali yo muana moke, abokoli yo, kolatisa, koleisa! Lelo azangi mosala okomi komono ye pamba! Awa yo okomi kosala mbongo, omimoni chef ya mobali, botosi eza lisusu te! Basi mosusu tango ya pasi akimi mobali akei atiki ye na misere. Basi mosusu bakoma kaka makelele na ndako, moyen mobali arespirer eza te. Ba ndeko basi bokanisa malamo likamb'oyo! Yebaka, na mokili tour na tour. Ezalaka likelembaeee!!! Lelo yayo lobi ya moningaeee!!!!! Keba! Mokili mbanga ya tabaeeeeeeeeeeeeeee!!!!
MEV
Kinshasa, 01/09/2009 / Société
Lorsque la femme travaille et l’homme non, la femme doit mettre l’accent sur la considération et l’assistance mutuelle. Il n’est pas bon de lâcher son compagnon, son mari dans les moments difficiles qu’il peut croiser sur le chemin de la vie.
Dans un couple où le mari subit le chômage surviennent souvent les malentendus et décalages. C’est justement à ce moment-là que la conjointe doit prouver son sens élevé de la considération et de l’aide réciproque afin d’éviter de complexer son partenaire, qui navigue encore dans l’inemploi. En effet, la situation maritale africaine et particulièrement Rd congolaise, et majoritairement intenable, avec un niveau de vie très bas depuis ces vingt dernières années.
La brave travailleuse congolaise comprend-elle bien ce défi ?


Olingi oloba nini? Tosa mobali dit!!!!!! Kanga monoko...Mpo okomi na ba moyens!
Selon une enquête menée à Kinshasa par le magazine Amina paru au mois de juillet dernier, il s’est avéré que dans cet état de fait, les deux conjoints doivent faire preuve d’écoute et de compréhension mutuelle. L’objectif : éviter de se perdre de vue. Car, dans un couple, lorsque le mari perd son emploi ou prend sa retraite, un décalage se crée souvent. La femme qui travaille y trouve l’occasion d’assouvir son besoin d’indépendance et de s’épanouir, en cultivant son jardin secret, en maintenant une part de mystère qui cimente le couple. A l’égard de son mari, les moments partagés deviennent rares et d’autant plus forts.La retraite ou le chômage sont des moments de crise, marques par la perte d’identité. On a le sentiment d’être coupé du monde, de devenir inutile. Pour y faire face, le mari doit faire le deuil de sa vie passée, et se fixer de nouveaux objectifs. Ce n’est pas une occasion pour la femme de dénigrer et de minimiser son mari mais, manifester à son égard de la bienveillance.En Rd Congo, c’est depuis les années 90 que beaucoup de familles ont volées en éclat, suite aux pillages répétitifs qu’a connus notre pays. C’est surtout à ce moment ci, que les femmes congolaises, zaïroises d’alors, ont pris l’option de relever le défi en prenant en mains la responsabilité et la charge des ménages en lieu et place de leurs maris contrés au chômage par les kuluna pilleurs militaires et civils confondus de ces années sombres.Les femmes se sont mises à travailler pendant que leurs maris tournaient les pouces cherchant en quelle direction se lancer.Très souvent quand la femme travaille et l’époux non, ça pose problème, il y a du souci. Car autrefois, le travaille de la femme était soumis à l’autorisation maritale. L’homme en ce moment si, avait tout pouvoir sur sa femme de lui retirer à moindre dérapage son autorisation. Mais actuellement, avec l’abolition de l’autorisation maritale, beaucoup d’hommes se voient dans l’insécurité quand c’est la femme seule qui travaille et l’homme non, surtout s’il faut qu’il dépende financièrement de sa femme. Ils se considèrent dans cette situation comme a chanté le célèbre musicien le défunt Luambo Makiadi : « Mario » pour dire l’homme hébergé par la femme. L’homme croupit dans les stress conjecturaux pour cette situation, aussi pour le danger que court sa femme en milieu du travail à savoir, le harcèlement sexuel. Sur ce sujet, les femmes qui travaillent tranquillisent les hommes et conseillent à leurs copines de rester souples et fidèles à leurs conjoints même au chômage.La femme qui travaille doit savoir que « l’homme mourra toujours homme », même s’il traverse le désert comme les enfants D’Israël qui, un jour ont fini par entrer à Canaan la terre promise. La femme qui travaille ne doit négliger son mari en créant des querelles et malentendus enfantins sous prétexte qu’elle est le soutien de la famille. Il est inutile d’accabler son mari avec des ennuis. A terme il y a un grand risque, si la situation devient insupportable, la survie du couple est mise en danger si l’homme développe les mécanismes de la défense du moi, le divorce est inévitable. Chères dames travailleuses, comprendre qui peut ! Rassurez vos maris. La femme sage bâtit sa maison a dit un proverbe dans la Sainte Bible.
(Milor/GW/PKF)
Bakalo Kalombo/La Prosperité