samedi 13 mars 2010

Prison pour la mauvaise danse

vendredi 12 mar, 07 h 04 BANDUNG (Indonésie) (AFP) -


Un tribunal indonésien a condamné vendredi à des peines de deux mois et demi de prison quatre danseuses professionnelles pour un show "trop sexy" durant la nuit du Nouvel An.
Les danseuses, le producteur du show et le propriétaire de la salle "ont été reconnus coupables d'avoir montré une danse érotique en public", a annoncé un juge de Bandung, l'une des principales villes d'Indonésie.
La police avait indiqué, lors de leur arrestation en janvier, que les danseuses s'étaient déhanchées "avec un minimum de vêtements sur elles" lors de leur prestation dans le café-concert aux premières heures du 1er janvier.
De telles poursuites judiciaires étaient inconcevables dans le plus grand pays musulman du monde avant l'adoption, fin 2008, d'une loi anti-pornographie, un texte très controversé voté sous la pression de mouvements islamiques.
Cette loi criminalise les oeuvres et les actes corporels jugés obscènes et qui portent atteinte à "la moralité de la communauté".
Elle est entrée en vigueur malgré une levée de boucliers de la part d'artistes, d'associations et des minorités religieuses, comme les hindouistes ou les chrétiens, qui craignent une "islamisation" de la société indonésienne.

La nouvelle loi reste toutefois peu appliquée et de nombreux cabarets continuent à proposer des spectacles "sexy", notamment à Jakarta.
Kasi botala oyo ya biso mabina. Loi ya boye soki eza apliké na ba oyo ekozala malamo. Ba danses mabemabe nyonso kaka na biso.

Des femmes s’introduisent le "cube Maggi" par voie anale


Cela peut paraitre incroyable, mais des femmes utilisent le concentré d’aromates (cube maggi) comme suppositoire pour arrondir leur postérieur. Le système qui est à la mode en Rd Congo est entrain de prendre du terrain dans plusieurs pays dont le Sénégal.
Pour des fesses rondes et sexy
Certaines introduisent en effet ce concentré d’aromates par voie anale pour avoir le postérieur généreux dont une majorité de Congolais raffolent. Elles l’utilisent dans sa forme brute comme suppositoire ou le liquéfient afin de l’introduire plus facilement par le biais d’une seringue. « Les femmes se disent que comme le cube Maggi est plein d’élément nutritifs, si on le place à cet endroit, seules les fesses prendront de la masse », résume Kerwin Mayizo, chroniqueur radio sur RFI et France Inter.


Le spécialiste de musique souligne que de grands artistes du pays demandent à leurs danseuses d’utiliser le « cube ». Il se remémore des scènes qu’il a vues, des informations qu’on lui a fournies et dresse un emploi du temps type des filles : « Elles restent dans une villa où, le matin, un chorégraphe les fait danser. Vers 10h, elles voient leur conseiller en esthétique qui leur donne des lotions et des produits décapants. Après, on s’arrange pour qu’elles fassent au moins trois repas copieux et très gras. Le soir, le médecin du coin vient avec du Durabolin. Comme au final sur dix filles on n’en garde que cinq, certaines demandent à ce qu’on leur amène du cube Maggi pour mettre toutes les chances de leur côté ».
Les résultats de cette pratique sont mitigés. Chez certaines, le subterfuge fonctionne et les filles ne se privent pas de parader fièrement. A tel point que celles qui sont naturellement dotées d’un petit popotin n’hésitent pas à soulever la thèse du cube Maggi auprès de leur petit ami, quand ce dernier louche de trop près sur la croupe d’une rivale potentielle. Une façon de vanter le naturel et de dénigrer une « tricheuse » présumée.

Mua kopo ya vin to lotoko

Ba mama esengeli bobendaka mua kopo mpo na kogarder nzutu, monganga moto alobi yango nga teo!
L’alcool lutte contre l’obésité chez les femmes, estiment des chercheurs américains
Kinshasa, 09/03/2010 / Santé
Selon une étude menée par des chercheurs américains, les femmes qui boivent deux verres de vin, de bière ou d’alcool fort par jour ont moins de risque de prendre du poids que celles qui n’en boivent pas du tout.
Les femmes qui boivent deux verres de vin, de bière ou d’alcool fort par jour ont moins de risque de prendre du poids que celles qui ne boivent pas du tout, selon une étude publiée lundi. Des chercheurs du Brigham and Women’s Hospital de Boston (Massachusetts, nord-est des Etats-Unis) ont interrogé 19.000 femmes américaines n’ayant pas de problèmes de poids, âgées de 39 ans ou plus, sur le nombre de verres d’alcool qu’elles consommaient quotidiennement, et ont suivi ces femmes pendant environ 13 ans.Au sein de cet échantillon, le groupe le plus important, soit 7.346 personnes, était constitué de femmes qui ne buvaient pas d’alcool du tout, selon cette étude publiée lundi dans les Archives of Internal Medicine, une publication de l’Association médicale américaine.
Le deuxième groupe le plus important (6.312 femmes, soit prés du tiers de l’ensemble) était formé de femmes disant boire l’équivalent d’un tiers de verre de vin, de bière ou d’un autre alcool par jour, tandis que 20% disaient boire i’équivalent d’un verre, 6% l’équivalent de deux verres et 3% plus de deux verres.Le verre d’alcool considéré comme « standard » aux Etats-Unis, que ce soit un verre de vin (15 ci), de bière (35 cl) ou d’une dose de 43 ml d’alcool titrant à 80°, contient la même quantité d’alcool, à savoir 14 grammes. Pendant la période de suivi de 13 ans, les femmes qui ne buvaient pas du tout sont celles qui ont pris le plus de poids, et celles qui buvaient l’équivalent de deux verres par jour sont celles qui ont au contraire le mieux résisté aux kilos superflus.Le breuvage le plus efficace contre les kilos s’est révélé être le vin rouge, mais tous les types d’alcool consommés, y compris vin blanc, bière ou spiritueux, ont fait apparaître la même « association inversée entre consommation d’alcool et risque de surpoids ou d’obésité », selon l’étude.Les auteurs s’abstiennent cependant de recommander la consommation d’alcool comme moyen de lutter contre l’obésité, étant donné les problèmes médicaux et psycho-sociologiques associés à l’alcool.Le Palmarès

Mauvais comportement, ezaleli mabe




Esengeli moto nyonso akondaner acte oyo makasi. Moto nyonso abotami na muasi esengeli botosi ezali mpo na muasi nyonso. Nasepeli ata moke na agissement oyo te. Ba mama bolimbisa bolole oyo, ayebi eloko aza kosala te. Lokola ye azuami matata na muasi naye akomi kosilisa kanda naye na basi nyonso!
MEV


Kinshsa, 13/03/2010 / Société
Pour le jeune homme, sa chienne qui est 7 fois mère, avait les mêmes droits que la femme congolaise qui commémorais la journée internationale de la femme, le 8 mars de chaque année
La dignité de la femme ravalée au rang d’une chienne. C’est ce qui s’est passé le lundi 8 mars 2010, journée commémorative de la lutte que mène la femme pour la pleine jouissance de ses droits. Ce jour-là en effet, un bonhomme, apparemment bien équilibré, s’est affiché dans les rues de la commune de Bandalungwa avec sa chienne drapée d’un beau pagne et d’un body, car pour lui, sa chienne, sept fois mère, avait les mêmes droits que la femme congolaise qui était en fête en ce jour anniversaire de la Journée internationale de la femme.Il a suffit de ces images insultantes et de ces déclarations humiliantes à l’endroit de la femme et de la mère, pour que la ligue des femmes congolaises pour les élections (LIFCE) de la sénatrice Eve Bazaïba crie au scandale. C’est ce qui a motivé la tenue du point de presse tenue le mercredi 10 mars au siège de LIFCE à Lingwala. A cette occasion, la ligue a dénoncé avec véhémence ce comportement vexatoire de la part d’un compatriote qui tire plaisir à ravaler la dignité et la personnalité de la mère au rang d’une chienne maquillée et drapée de beaux vêtements et allant à la rencontre de son amant, a invectivé le bonhomme.


Insulte à la dignité de la mère


Pour la ligue, c’est une insulte faite non seulement à la femme kinoise, mais aussi à la femme congolaise, africaine et celle du monde entier. Pour ce motif, a dit Me Mimi Angèle Konde, rapporteur adjoint en charge des questions juridiques à la LIFCE, la ligue attire l’attention des autorités politiques pour que cet homme qui s’est pavané sur une avenue d’un quartier de la municipalité de Bandalungwa, dans la ville de Kinshasa soit interpellé. Question d’étouffer d’autres velléités du genre qui tireraient le vilain plaisir d’habiller qui une chatte, qui d’autre une poule, qui d’autre encore n’importe quel animal du Zoo et faire prévaloir à la bête les mêmes droits que la femme.Si la RDC est signataire de plusieurs instruments juridiques qui consacrent les droits spécifiques de la femme, il est donc inadmissible que ces actes répréhensibles passent impunis. Et l’action de la LIFCE ne s’arrête pas à ce point de presse, car elle entend rencontrer le ministre du Genre pour débattre de cet incident.Cela a été aussi l’occasion pour Mme Honorine-Christine Bokashanga, membre de la LIFCE et deuxième oratrice, d’interpeller la communauté nationale sur le vrai sens à donner à la Journée internationale de la femme. Car, a-t-elle regretté, il se constate qu’on passe généralement à côté du message essentiel de cette journée et à sa por­tée ontologique. On a tendance à réduire la Journée internationale de la femme au port du pagne et aux réjouissances qui s’en suivent.D’où l’effort de conscientisation à mener par l’autorité politique (ministères du Genre et EPSP) depuis la maternelle, le primaire jusqu’à l’université pour que la femme elle-même s’approprie de la portée exacte de cette journée, au-delà du port du pagne. Les médias ont aussi été invités à ouvrir les espaces à la femme en ce mois de mars pour vulgariser le message et la portée de la Journée internationale de la femme.Augustin Kinienzi/Le potentiel

Libabe: makila ya libata basalelaka yango budin te


Pont Kabila: Biloko nyonso Kabira asalaka eumelaka te. Ekomi lokola biloko ya ba Chinois. Soki a inogurer babeti maboko esili kasi zongela elok'ango sima ya mikolo okokuta K.O. Oyo eza malediction penza, libabe koi! Baza kosimbisa Kabila touche tango nyonso. Asali pont na kombo naye, pas même une année pont Kabila epkeyi. Kozanga mayele eza liwa ya ndamboeee!

MEV


Kinshasa, 11/03/2010 / Société
Pour n’avoir pas respecter les normes de construction, le pont Kabila qui reliait le quartier Camp Luka et la commune de Bandalungwa s’est écroulé et la population continue à l’utiliser malgré son état
Le pont reliant la commune de Bandalungwa au quartier Camp-Luka dans la commune de Ngaliema s’est écroulé et constitue un danger pour la population qui continue à l’utiliser, a constaté l’ACP. La population indique que ce pont s’est rompu après une année de construction à cause des pluies diluviennes.La même source poursuit que les ingénieurs qui avaient exécuté ce travail n’avaient pas respecté les règles d’art de construction d’un tel ouvrage. Présentement, deux gardes fous soutiennent le pont et à chaque fois que les usagers traversent, des mouvements sont observés sur l’ouvrage pouvant céder et causer des victimes.
Les usagers ont indiqué que si ce pont n’est pas réhabilité dans un bref délai, les habitants de deux quartiers ne sauront plus communiquer. La population de Camp-Luka et de Bandalungwa invite l’autorité urbaine à réhabiliter urgemment ce pont.Acp