Baudouin Amba Wetshi, grand journaliste
Elombe Amba Wetshi
site : cngoindependant.com
Bravo mpo na mosala oza kosala.
Dressons nos fronts longtemps courbés!
Elombe Amba Wetshi
site : cngoindependant.com
Bravo mpo na mosala oza kosala.
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Awa eza nde système ya art 15 débrouillez-vous. Kelasi epesaka mosala te, ekomi kaka kobeta libanga na kosala ba kope...mawa!
MEV
Avoir fait l' Unif pour devenir sentinelle
La Libre
Le Congo-Kinshasa compte 96 pc de chômeurs sur l'ensemble du pays, indique un rapport de l'Organisation des employeurs du Congo, publié cette semaine lors de l'assemblée générale des travailleurs à Kinshasa. Ce rapport évoque les principales difficultés des travailleurs : non-signature du contrat de travail, absence d'assurance-maladie, non-respect de l'horaire de travail. (APA)
Des milliers de jeunes diplômés sortent des universités
Chaque année, des milliers de jeunes diplômés sortent des universités et instituts d’enseignement supérieur du pays. D’après les statistiques, 4 000 à 6 000 diplômés sont déversés tous les ans sur le marché du travail dans la seule province du Katanga. Mais ils ont du mal à trouver un emploi qui corresponde à leur profil. La création, ces dernières années, de dizaines de sociétés de gardiennage, qui assurent la sécurité des installations minières et de leurs agents cadres, ainsi que des particuliers dans la ville de Lubumbashi, offre à certains un emploi en attendant mieux. Un diplôme de licence en sociologie industrielle en main, Martin Mwanza avait erré pendant deux ans sans trouver du travail. "Quand je me suis présenté chez Delta, j’ai passé le test d’embauche avec succès. J’ai suivi trois mois de formation après. J’ai un salaire assez intéressant..." Ces vigiles gagnent en moyenne 250 à 300 $ par mois. Ce qui n’est pas une fortune en soi mais soulage ces universitaires un peu déroutés. "C’est de toute façon mieux que le salaire de l’enseignant, qui touche 50 $ pour le licencié !". Pour une société de gardiennage le vigile ne doit pas être pris pour un analphabète. "Le travail qu’il fait exige des compétences. Il ne se limite pas à monter la garde. Il rédige des procès-verbaux de constat en cas de vol, incendie… Il joue parfois le rôle d’agent de relations publiques". Avant d’être engagés, les vigiles suivent une formation en criminologie .
Publié par DEBOUT CONGOLAIS1 à 19:21 0 commentaires
Batika liseki dit, kontrole oyo baza koloba esengeli ebanda na ye mei Kabila, atalisa biso kanda nini akotaki n'ango na RDC na sima tolingi tomono klaire na situasio ya ba Libanais, ba Indiens na ba chinois oyo bakotikoti ebele awa. Bongo ba Angolais na ba Tanzaniens! bakosa liboma te toza na bango mbamba, toza kotimbela bango. Eteni ya nzete ata eumeli na ebale ekobonguana ngando teooo!!!!
Mboka na biso ekomi nations unies, mawa!
Dès ce 1er juin 2007
mardi 29 mai 2007, NUMERO
C’est le premier juin de cette année que sera lancée officiellement l’opération de contrôle de séjour des étrangers résidant à Kinshasa. Telle est la décision dévoilée samedi dernier à la presse par le Directeur général de la Direction générale des migrations (Dgm), le Général Major Jean-Pierre Ondekane.
Pour ce faire, dix équipes composées de quatre personnes ont été constituées. " Les congolais doivent nous faire confiance car notre travail est de les sécuriser. Sécuriser c’est identifier les étrangers qui entrent chez nous ". L’opération n’est pas à confondre avec une tracasserie administrative malvenue, car elle est une nécessité pour la Rd Congo. Cette opération a déjà été lancée au Katanga et a produit des résultats spectaculaires. Jp. Ondekane s’est indigné du fait qu’il n’a jamais existé au sein de la Dgm un fichier répertoriant tous les étrangers résidant en Rdc. Or, il est de l’avantage de cette institution de renseignement de connaître les étrangers qui entrent sur son sol, (c’est-à-dire la nationalité, l’activité exercée et la société qui les emploient).
Les résultats de cette opération sont généralement bons, car sur un effectif de 164 étrangers, 103 irréguliers ont été décelés soit 9 à Likasi et 94 à Lubumbashi. Ces étrangers n’étaient munis que d’un passeport de voyage, en lieu et place du visa de travail prévu par la législation congolaise. Tous ces étrangers ont été conduits à la frontière de la Rd Congo et sont déclarés indésirables. Mais ils peuvent revenir dans l’intervalle de quatre mois pour la régularisation de leurs dossiers. Toujours dans son entretien avec la presse, le Dg de la Dgm a indiqué qu’au terme d’une année à la tête de ce service de renseignement, il a produit des résultats positifs. Ainsi, au niveau de l’administration il a réussi à restructurer celle-ci en mettant en place un cadre organique qui n’était pas avant et qui devait compléter la loi organique sur le fonctionnement et la création de la Dgm.
Le règlement de l’administration a été mis en place car les agents ne savaient rien en ce qui concerne leurs grades ou comment s’en sortir à la fin de leurs carrières. La Dgm a aussi réussi à étudier la question d’intégration par la nomination des directeurs issus de plusieurs composantes de la Rdc. Désormais, il existe une commission au niveau de l’administration pour examiner les différentes demandes d’octroie de visas pour échapper aux humeurs des individus.
En plus, la fraude documentaire a été réduite au niveau de l’aéroport de Ndjili. Ce qui a valu à la Dgm des encouragements des autorités françaises et belges. C’est l’ensemble de toutes ces mesures qui ont permis la maximisation de recettes de l’Etat. La Dgm ne versait que 43.000 Usd par mois au compte du trésor. Mais depuis 2007, la Dgm a versé 127.919 Usd pour le mois de janvier, 219.470 Usd pour le mois de février et 214.769 Usd pour le mois de mars. En dehors du rôle de renseignement, la Dgm peut mobiliser beaucoup de revenus si on lui dote des imprimés de valeur sécurisés qui éviteraient la fraude.
Jean-Marie JNkambua
Publié par DEBOUT CONGOLAIS1 à 18:44 0 commentaires
Vieux atondisi ba nguashi naye na ba postes nyonso ya cabinet naye, mawa! Entre un frère et un ami le choix est clair...
Tel Président, tel Premier ministre ?
Publié par DEBOUT CONGOLAIS1 à 18:42 1 commentaires
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Ba mbila bakomi kotungisa ba mama oyo baza koteka na nzela mpo na koleyisa bana, eza mawa mingi.
L’opération «ville propre» se transforme en gagne-pain pour les policiers
Par Le Potentiel
Kinshasa vit depuis quelques jours ce qu’on appelle l’opération «ville propre ». Une opération entamée le mois dernier par le gouverneur André Kimbuta. Loin d’apporter le calme, l’opération crée des problèmes entre les vendeurs et les policiers chargés d’en assurer le bon déroulement dans la ville. Aux alentours du marché central surtout et aux ronds-points importants de la capitale, les policiers, au lieu de disperser les vendeurs, saisissent illégalement les marchandises des gens. Dans la commune de Lemba, à la place Terminus, les agents de l’Hôtel de ville, en compagnie de policiers, ont démantelé en dépouillant kiosques, cabines téléphoniques, maisons de bureautique et étalages. Le tout a été détruit et emporté sous la barbe de leurs propriétaires. Certaines femmes commerçantes, prises d’émotion, se sont écroulées au sol, pleurant à chaudes larmes la destruction de leurs effets. Elles regrettaient des années de sacrifices et autres privations parties en fumée. Dans d’autres carrefours, des policiers s’arrangent à ne pas casser. En retour, ils exigeraient des pourboires à la tête des marchands pour les laisser tranquilles quelques moments. Quitte à eux de se débrouiller autrement à la venue d’un autre groupe de policiers. La population déplore ces comportements qui frisent les tracasseries avant même que l’Etat élu n’ait encore pensé à créer des emplois pour des milliers de personnes occupées dans la débrouillardise.
Publié par DEBOUT CONGOLAIS1 à 06:16 0 commentaires
A la surprise générale, E. Tshisekedi rentre ce lundi
(LP)
Le leader de l'UDPS, Etienne Tshisekedi, rentre au pays ce matin, après un
séjour de plus d'un mois en Afrique du Sud. C'est un appareil de SAA (South
African Airways) qui le ramène sur le sol natal, qu'il va fouler à partir de
l'aéroport international de N'Djili. Il était parti, avions-nous signalé en
son temps, au pays de Mandela pour des raisons strictement médicales.
Le retour précipité au pays de celui qui passe pour le chef de file naturel
de l'opposition congolaise, d'abord annoncé pour le 1er juin 2007 puis
décalé au 3 juin 2007, appelle un certain nombre d'interrogation. A en
croire nos sources basées en terre sud-africaine, Etienne Tshisekedi n'était
pas chaud à l'idée de prendre un bain de foule, tel qu'apprêté par le comité
d'accueil de son parti à Kinshasa à travers des communiqués internes
relayés, comme de coutume, de bouche à oreille.
Une arrivée triomphale, pense-t-on, allait faire converger beaucoup de
combattants vers la résidence du numéro un de l'UDPS, sur rue Pétunias à
Limete, ce qui devait avoir, comme conséquence directe, l'obligation morale
pour lui de faire un " rapport de voyage ", sous forme de meeting. Un tel
exercice, aux dires de nos sources sud-africaines, risquait d'amener Etienne
Tshisekedi à se prononcer à haute voix sur un certain nombre de questions
d'actualité brûlante et peut-être de gêner ceux qui estiment qu'il devrait
pour le moment observer une attitude de réserve pour ne pas faire exploser
la démocratie encore sous hangar à Kinshasa.
Publié par DEBOUT CONGOLAIS1 à 22:02 0 commentaires
Publié par DEBOUT CONGOLAIS1 à 20:02 0 commentaires
Publié par DEBOUT CONGOLAIS1 à 19:56 0 commentaires
Le Ministère des Infrastructures, Travaux Publics et Reconstruction a porté plainte auprès du PGR contre l’entreprise Congo-Beton et le Directeur du Bureau Technique de Contrôle (BTC), M. Jean-Paul Mansoni Makela, pour n’avoir pas raccordé le courant aérien à l’Hôpital Général de N’djili. Raccordement pour lequel ils avaient pourtant encaissé 594.000 Usd du trésor public, il y a plus d’un an. Sur ses gardes, Pierre Lumbi s’en remet à la justice afin que l’Etat congolais rentre dans ses droits.
La menace de déférer devant les Cours et Tribunaux les mandataires publics impliqués dans des malversations financières vient d’être mise en exécution. Une plainte à charge de Monsieur Mansoni Makela, Directeur du Bureau Technique de Contrôle (BTC), a été déposée auprès du Procureur Général de la République, M. Tshimanga Mukeba, par le ministère des Infrastructures, Travaux Publics et Reconstruction, a-t-on appris hier, tard dans la soirée, à La Prospérité.
Mansoni Makela avec l’entreprise Congo-Beton sont poursuivis en justice pour détournement d’un montant de 594.000 dollars américains. L’entreprise Congo-Beton avait perçu 300.000 dollars alors que le BTC avait empoché 294.000 dollars.
Cet argent du contribuable devait servir au raccordement du courant aérien de l’Hôpital Général de N’Djili. Plus d’un an après, les travaux n’ont jamais été exécutés, selon le constat fait par le ministre d’Etat Pierre Lumbi Okongo.
A la justice de faire son travail !
Des voix se sont élevées pour exiger que le procès soit public et diffusé en direct à la télévision.
Publié par DEBOUT CONGOLAIS1 à 19:16 0 commentaires
Ndeko tanga oyoka nini eza koleka na likambo ya MIBA. Okomona nani oyo alingi kosomba MIBA...un Pakistanais, ami de Kabila! Nga naza nzizi ata obombani wapi nakomono yoeeeee!!!!!!
A propos de la « RAWBANK »
Cette banque constitue le versant financier du groupe Beltexco, entreprise de la famille RAWJI. D’origineindo-pakistanaise, cette famille en est à ses 3ème et 4ème générations au Congo. En effet, l’ancêtre, Mr Merali RAWJI, s’est installé au Congo-Belge en 1908, plus spécialement à Kindu. Cet homme a installé son entreprise, la MARSAVCO (Margarines, Savons et Cosmétiques du Congo) sur des terres arrachées par les BELGES à un de mes ancêtres, raison pour laquelle je suis au courant de l’histoire. Par la suite l’entreprise a ouvert des succursales à Kisangani (vers 1940), puis à Kinshasa, vers 1960. Les entreprises de cette famille sont: BELTEXCO, SOGALKIN, PROMIDEX, PARKLAND, RAFI et MARSAVCO (cfr le site de cette dernière: www.marsavco.com). Des compagnies associées ont leurs sièges en Europe (Belgique, Allemagne et Grande-Bretagne, notamment) et en Angola. Dans ce dernier pays, il y a surtout EMAXYCOM. C’est EMAXYCOM qui est impliquée depuis les
années de guerre dans la MIBA. RAW BANK est une banque récente: elle a été fondée en
2002 à Kinshasa, par Mr Mazhar RAWJI, membre de la famille propriétaire du groupe. Il en est le PDG et l’Administrateur Délégué en est un citoyen Belge du nom de Thierry TAEYMANS. C’est donc une banque de droit congolais, appartenant à un groupe industrialo- commercial très proche du régime. Ce sont les animateurs de ce groupe qui ont effectué divers montages financiers au profit de la composante gouvernement, lors de la période de guerre.
Dans ces conditions, le "prêt" consenti à la MIBA, et qui pourrait permette à la RAW BANK de prendre le contrôle de cette entreprise publique, peut être considéré comme un "cadeau à un ami" ou une "récompense pour services rendus". Ce qui est inquiétant. L’on peut, en effet, imaginer que les critères économiques, et les intérêts tant de la MIBA que de l’Etat congolais, n’ont pas été pleinement pris en compte. Merci de m’avoir permis de donner ces informations
au public congolais non averti. Le débat public pourrait avoir une action préventive, face au risque de perte, par la communauté nationale, des actifs de la MIBA. La lutte engage les droits sociaux des travailleurs de la MIBA, et des populations des deux Kasaï, vu l’importance de la MIBA dans ces deux provinces.
Patriotiquement,
Nzogu bin Kyantede P R
Publié par DEBOUT CONGOLAIS1 à 19:04 0 commentaires
Radio Okapi 25/05/07 Parole de Kimbangu:"...et je m' adresse à ceux qui mépriseront mon oeuvre par ignorance, j'implorerai notre Père Créateur afin qu'il leur pardonne et qu'il leur ouvre la voie de la compréhension !... " Mbanza Nsanda, le samedi 10 septembre 1921 Ce vendredi 25 mai, les Kimbaguistes du Congo et du monde célèbrent « leur Noël ». Cette journée a été marquée par une grande cérémonie solennelle au lieu saint de Nkamba, dans la province Bas-Congo. A Kinshasa, les festivités se sont déroulées au centre d’accueil kimbanguiste, dans la commune de Kasa-Vubu, indique radiookapi.net Depuis ce matin, les fidèles kimbaguistes en uniforme vert et blanc ont afflué au centre d’accueil kimbaguiste de Kinshasa. Dès l’entrée du centre, à même le sol ou sur les étalages, des vendeurs proposent aux arrivants des pagnes imprimés pour Noël et bien d’autres articles aux couleurs de l’Eglise. Ils ont érigé de petits studios pour la circonstance. Plus loin, des milliers de fidèles sont assis sur des chaises en plastiques ou à même le sol. Ils sont protégés du soleil par des parasoleils multicolores. Dès 10 heures, des centaines de fidèles, pieds nus, des fleurs à la main, ont commencé à défiler devant la tribune centrale, au rythme de la fanfare kimbaguiste. Le programme prévoyait la prière peu avant 11 heures, la lecture biblique et des chants. Les textes sont tirés du Psaumes 2 et de l’Exode 20. Ils demandent aux fidèles d’honorer le fils de Dieu et de respecter les dix commandements. Des chorales entonnaient des chants de Noël avant la prédication. Une autre grande fête avait lieu à ce moment même à Nkamba au Bas-Congo, en présence du chef spirituel kimbanguiste et des autorités politico-administratives du pays. Radio Okapi |
Publié par DEBOUT CONGOLAIS1 à 13:39 0 commentaires
Katanga : détruire sa maison pour extraire du minerai
Par Le Potentiel
Chassées des riches concessions minières vendues aux grandes sociétés, des milliers de petits exploitants miniers du Katanga creusent dans leurs parcelles et sous leurs maisons pour rechercher le cuivre et le cobalt. Reportage à Mutoshi, petite cité près de Kolwezi qui, depuis quelques mois, disparaît sous les coups des pioches…
Une dizaine d’avenues éventrées qui laissent apparaître des nappes d’eau verdâtre; d’autres encombrées de montagnes de remblais qui rendent impossible toute circulation; des maisons détruites et englouties sous les amas de débris des minerais… La cité de Mutoshi, dans la banlieue de Kolwezi à 300 km au nord-ouest de Lubumbashi, est en train de disparaître de la carte. Depuis février 2007, elle est prise d’assaut par des milliers de creuseurs artisanaux chassés d’une riche carrière toute proche, qui porte le nom de la cité. Ne pouvant longtemps supporter de se tourner les pouces, ils se sont «attaqués» au sous-sol de cette cité des travailleurs supposé renfermer, lui aussi, du cuivre et du cobalt.
«Ici, nous sommes à l’aise depuis qu’on nous a expulsés de la carrière Mwachetani (la partie la plus riche de la mine de Mutoshi, ndlr), explique Mpepo Ngoie, propriétaire d’une parcelle dont la maison est complètement rasée. Nous exploitons dans nos parcelles parce que ce sont nos terres». Son terrain de 30 m sur 20 a été transformé en puit d’extraction minière, que se partage une dizaine de creuseurs. «Ils ne peuvent pas parler car ils sont allergiques aux questions...», fait remarquer un témoin, qui affirme que ces mineurs peuvent sortir jusqu’à trois sacs de 100 kg d’hétérogénite (mélange de cuivre et de cobalt) par jour et par personne, pour leur propre compte ou pour celui des négociants.
«ON NOUS A RAVI NOS TERRES» La mine de Mutoshi est une vieille concession abandonnée de la Gécamines (entreprise de l’Etat congolais en faillite). Surnommée «carrière d’eau verte», elle était ouverte à l’exploitation artisanale depuis 2001. Elle a connu de nombreux éboulements de terrain avec mort d’hommes. En 2005, la gécamines l’a cédée à une société australienne, Anvil Mining.
A l’exemple de cette entreprise, des dizaines d’autres sociétés d’exploitation minière se sont ruées, ces dernières années, dans la riche province du Katanga, à la faveur d’un code minier controversé, signé au sortir de la guerre en 2002. Après avoir conclu des rentables contrats, ces sociétés à capitaux étrangers, dans lesquelles des autorités locales ont généralement quelques intérêts, chassent partout où elles prennent pied les petits exploitants artisanaux qui vivaient de la mine depuis la libéralisation du secteur sous Mobutu…
A Mutoshi, les infortunés creuseurs n’ont eu guère de choix. «On nous a ravi nos montagnes et nos terres. Nous n’avons plus de boulot !», tempête l’un d’eux. Pour vivre, ils se sont eux rués sur la cité où, suivant les filons des minerais découverts, ils ont petit à petit débouché sur des maisons d’habitation. «Ayant compris qu’ils pouvaient trouver des minerais dans leur environnement immédiat, les gens ont commencé à creuser dans leurs parcelles puis se sont attaqués aux avenues. Le phénomène a gagné toute la cité…», explique Mbayo Irodja, ancien bourgmestre de la commune de Manika.
UNE VILLE VOUEE A DISPARAITRE
Travailleurs de la gécamines pour la plupart, les habitants de la cité n’hésitent pas à casser leurs baraques pour se faire un peu de sous, ou à céder une portion de leurs parcelles aux creuseurs venus de la carrière interdite. Selon la teneur des minerais, un sac de 150 kg de matières bruts d’hétérogénite rapporte 10 000 à 20 000 Fc (19 à 38 $). Maisons entièrement ou à moitié démolies, avenues dévorées par les bêches et les pioches, la cité est progressivement vouée à disparaître. Mbayo Irodja regrette que tous les efforts déployés jusqu’ici pour arrêter l’avancée des creuseurs aient été inutiles. «Avec le concours des services de sécurité et la police, nous avions tout fait pour sauver la cité mais en vain», se désole-t-il.
Mutoshi qui abrite une centaine de familles n’est cependant pas encore totalement détruite. Quelques unes y vivent encore dans un décor de décombres surréaliste. «Nous le faisons pour survivre, explique l’un d’eux, Crispin Panga. Si l’on nous donne un autre endroit, nous allons arrêter.»
SYFIA/LP
Publié par DEBOUT CONGOLAIS1 à 02:03 0 commentaires
Tosambela makasi mpo na ba ndeko na biso oyo bakoti na lingomba ya mama Olangi bafongola miso.
Ndeko Osin, likambo okomi awa eza kopesa mawa mingi mpo eza kosalema na ba famille mingi. Ba ndeko mingi, okomono akoti na lingomba oyo, mokemoke abandi komono bato nyonso ba ndoki, aboyi famille naye. Soki azalaka kosalisa atiki kosalisa alobi eza esprit ya servitude, envoutement. Akomi ko vivre na ba visions mpe ba propheties, vie naye ekomi dirigée par Mama Olangi. Soki oza celibataire, muasi okobala esengeli bango bandima ye sinon bakopesa yo message ke aza muasi Nzambe aponela yo te...mawa!
osin48 a ajouté un nouveau commentaire sur votre message blog "Mama Olangi ou ENVOUTEMENT!" :
Bonjour à tous!!
Je rends grâce à Dieu pour cette lumière que l'on fait sur les oeuvres de nombreux "chefs religieux" quant à leurs motivation à parler et à répandre la Parole de Dieu!
Ma mère a fréquenté le CIFMC à Cotonou au Bénin et je puis confirmer que depuis son passage dans ce mouvement, elle a énormément changé: suspicion à l'encontre de ses propres enfants et tout le reste, plus de prières contre satan et ses démons que pour louer ou adorer Dieu, enfermement dans un monde parallèle, jeûnes sans arrêts... Je dis cela moi même étant chrétienne et engagée. Je confirme que ce mouvement n'a pas porté de bon fruits dans la vie de ma mère ni même dans la mienne à travers elle.
Je prie que les personnes qui se sentent enfermées dans ce schéma que des prédicateurs spécialistes en lavage de cerveaux, trouvent la Grâce auprès de Dieu pour s'en sortir et vivre une vie libérée en harmonie avec tout le monde: chrétiens et non chrétiens!! Jésus n'est pas venu pour nous éloigner du monde même si nous sommes de son Royaume.
Gloire soit rendue à Dieu!!
Publié par DEBOUT CONGOLAIS1 à 16:12 1 commentaires
Publié par DEBOUT CONGOLAIS1 à 15:51 0 commentaires
Na ndimaki te ke nakokoma! Ba avions eza kotambola na likolo awa eza lokola fulafula oyo tomonaka na balabala awa. Mokolo nakendeki na Kisangani kotala noko azalaki maladi, nakoti na eloko moko lokola wangon, topombwe n'ango lokolo, bavandisi biso na ba kiti ya plastique, ba pese na ba puku eza kotambola na kati, ah ba avions ya RDC mawa!
Cliquez ici:
PARTIE 1
http://www.youtube.com/watch?v=50mMeM02v2I
PARTIE 2
http://www.youtube.com/watch?v=50mMeM02v2I
Publié par DEBOUT CONGOLAIS1 à 16:50 0 commentaires
Baza koteka MIBA mpo na nyongo, ve dire, bakotisi ye nyongo balobi que soki okokoka kofuta yango te tobotoli compangnie. ossilonta ke, bango moko bayebi ete akokoka kofut'ango eza polele ke MIBA basi bantimbeli ye esilieeeeeee...Gecamines na Kilomoto etekama kala! Bat'oyo baza na moyibi na kati ya makila, bamela'ango na libele to boni?
Scandale minier
Par Le Potentiel Edition 4028 du Mardi 22 Mai 2007
Quelque chose se passe maintenant en République démocratique du Congo. Comme si soudain, l’on était pris dans une certaine agitation à l’idée que le gouvernement entend voir clair dans le domaine des mines pour y remettre de l’ordre. Selon les premières estimations, il y aurait au moins 63 contrats miniers qui devraient être revisités.
Mais plus grave, après la Gecamines qui n’existe plus que de nom, c’est autour de la Miba de changer peut-être de « patron », l’entreprise ayant contacté de prêts, mais se trouve dans l’incapacité de rembourser la dette. Alors ses créanciers ont décidé tout simplement de s’accaparer de la société, à défaut de disposer d’autant de concessions à exploiter pour rentrer dans leurs frais. A l’allure où se déroulent ces « OPA » (Offres pour achat), la République démocratique du Congo, pays aux immenses ressources minières ne disposera plus de mines propres. Quel scandale !
Publié par DEBOUT CONGOLAIS1 à 20:25 0 commentaires
Likolo ekoyinda mokol'ango. Putulu ekomata makala makotikala. Moto kozanga ve...
L'Udps dans l'attente du retour de son Président National - Tshisekedi : ce sera le 3 juin
(KGM)
Annoncé pour le 1er juin (Le Phare n°3878 du 15 mai 2007), le retour d'Etienne Tshisekedi, Président national de l'Udps, a été différé de 48 heures. Ce sera désormais le dimanche 3 juin, " pour des raisons indépendantes de la bonne volonté du PN ", explique un membre du Comité national (Parlement de l'Udps). Parti de Kinshasa le 07 avril, Tshisekedi devait rencontrer ses médecins en Afrique du Sud pour un check-up général."Tout s'est bien déroulé, au point d'obliger le leader à écourter un séjour initialement prévu pour trois mois ", poursuit le même membre du Comité National, se réjouissant à la fois de la bonne santé du leader et de son prochain retour dans la capitale.
Contexte politique et diplomatique
Le leader de l'Udps a-t-il profité de son séjour sud-africain pour prendre quelques contacts discrets, avec qui et dans quel objectif ? Il est vrai que beaucoup de spéculations ont entouré le déplacement d'Etienne Tshisekedi en Afrique du Sud, mais personne, ni sur rue Pétunias Limeté - résidence d'Etienne Tshisekedi - ni au siège du parti sur la 10è rue n'est en mesure de confirmer un quelconque contact.
Publié par DEBOUT CONGOLAIS1 à 19:04 0 commentaires
Population aza na kanda makasi mikol'oyo. Toyebi te, mokolo piololo libération ekobeta ekozala matata...
Kimbanseke
Trois morts à Mikondo dans une bavure policière
Par Le Potentiel
L’après-midi du dimanche 20 mai dernier n’a pas été de tout repos au quartier Mikondo, dans la commune de Kimbanseke. Trois morts dont un civil par balle perdue et deux policiers au cours des représailles de la population à la suite d’une affaire qui aurait pu se régler à l’amiable.
Selon les témoins du drame, un jeune homme du quartier venu de l’Angola était en difficulté avec quelques-uns de ses amis. Leur différend tournait autour du partage de leur butin ramené d’un long voyage. Ainsi, les amis déçus dans ce partage ont eu l’idée de recourir aux agents de renseignements généralement appelés Bureau 2 pour rentrer dans leur droit.
A l’arrivée de ceux-ci, vêtus en tenue civile, ils ont réussi à mettre la main sur l’homme soupçonné d’être à la base du mauvais partage. Pendant que les deux agents le tiraient de son fief, une fuite d’information a circulé au quartier. Les jeunes du coin se sont interposés pour la libération d’un de leur. Les agents ont été obligés de tirer en l’air pour se frayer le passage. Une des balles perdue a fait mouche dans une famille : un garçon innocent de 17 ans a été atteint.
Acheminé à l’hôpital, il y a succombé à ses blessures.
Pendant ce temps, les agents, leurs éclaireurs et l’accusé se sont éclipsés, laissant derrière eux la population courroucée. Pour se venger de ce mort innocent qui n’était même pas sur le lieu des altercations, les jeunes du quartier se sont livrés à la chasse à la sorcière. Ils se sont dirigés vers le sous commissariat le plus proche avec bâtons, bêches et autres armes blanches en signe de représailles.
Deux policiers trouvés sur place y furent lynchés, ramenant le bilan macabre à trois. A cause de la gâchette facile, des familles entières sont endeuillées sans espoir de réparation des préjudices.
H.K. ET G. NGAMYS
Publié par DEBOUT CONGOLAIS1 à 18:53 0 commentaires
Yo étudiant mobimba obanda kobeta molakisi nayo ebandi boni? Mosala ya monganga eza mosala ya kotika mbulukutu nyonso oyo asala te, esengeli moto azala bien formé mpo na kosala yango. Bakonzi toza na bango, lokola baza ba ignorants, baza ko komprendre ata eloko moko te...mawa!
Université de Kinshasa : Gué-guerre entre les étudiants et professeurs de la faculté de Médecine
Les étudiants et professeurs de la faculté de Médecine dite « faculté mère » sont à couteau tiré. Qu'est-ce qui est à l'origine de ce conflit à l'université de Kinshasa, colline inspirée ? Les étudiants qui affrontent les professeurs sont ceux de la deuxième année de doctorat qui est l'avant dernière année pour passer en troisième année de doctorat qui marque la fin des études en médecine. En effet, il a été organisé des examens pour évaluer le niveau des étudiants et une fois avoir satisfait avec succès, les admettre à la promotion supérieure. Il est arrivé que le jury de la deuxième année de doctorat, en examinant la régularité de chaque étudiant, s'est rendu compte que certains parmi eux n'auraient pas dû être en cette promotion.
Le jury allègue que ces quelques étudiants ont usé de la magouille pour passer de promotion. En conséquence, le jury a décidé de les rétrograder, c'est-à-dire, les retourner à la promotion inférieure. Il y a quatre-vingts étudiants rétrogradés, renseignent les sources fiables. Ceux-ci étant mécontents de leur sort, ont traduit l'Université de Kinshasa en justice par devers la brigade criminelle de Matete.
Mais cette juridiction, une fois saisie de cette affaire, l'a qualifiée d'irrecevable vu que cette matière n'est pas de sa compétence. C'est une matière qui relève de la compétence de la Cour d'Appel. Comme si cela ne suffisait pas, ces étudiants sont allés saisir le secrétaire du Conseil d'Administration des universités du Congo. Ce dernier s'est imposé en demandant qu'on les maintienne en deuxième année de doctorat dans le but de les admettre plus tard en troisième année de doctorat. Le auditoires
Voici dans quelles conditions les étudiants suivent les cours à U. de Kin
De leur côté, les étudiants qui ont repris l'année, à savoir la deuxième de doctorat de manière objective, exigent aussi de passer de promotion, car ils considèrent cela comme une injustice, surtout que parmi ces rétrogradés figurent la progéniture des professeurs de cette faculté. Les professeurs membres du jury qui a sanctionné ces étudiants se sentent blessés dans leur amour propre. Ils tiennent à leur décision, refusant de les admettre à la promotion supérieure. Les étudiants, déçus, déclenchent les hostilités contre les professeurs. Ils les pourchassent, leur font de guet à pan, les surprennent à leurs domiciles où ils explosent en tapages nocturnes, en casses, en destruction méchante. Le professeur Kalala, vice - doyen chargé de l'enseignement de ladite faculté, a été victime des coups de balle par des inconnus.
Finalement, les professeurs se demandent s'ils doivent continuer à enseigner ou faut-il qu'ils abandonnent cette profession. Faut-il qu'ils acceptent d'être membres du jury ou le refuser ? Cette situation est déplorable. Que vaut l'université aujourd'hui ? Les étudiants ne sont pas studieux. Il suffit d'avoir des billets de banque pour avoir des points. Il suffit d'être enfant de professeur pour avoir de bonnes notes dans tel ou l'autre cours. Il suffit d'avoir des relations avec un homme politique puissant pour passer de promotion. Il suffit d'exposer le sexe féminin pour réussir. Certes, l'enseignement va la dérive enchaînée ! L'éducation subit l'influence négative de la politique. Qui forme-t-on et pour quel avenir ? Forme-t-on des guérisseurs ou des tueurs de la population ?
L'expérience a démontré que la plus part des malades meurent à cause de l'incompétence des médecins et des infirmiers. Il sied de dire aussi que l'admission des étudiants à la faculté de médecine ne tient compte d'aucun critère. Il suffit d'avoir son diplôme d'Etat obtenu par n'importe quel moyen pour se faire inscrire en médecine. En principe, l'admission à la faculté de médecine devait être exigeante : avoir fait la section scientifique, littéraire, pédagogique…
Mais la réalité démontre le contraire. Mêmes les mécaniciens, les couturiers sont malheureusement admis en médecine. Avec quelle base vont-ils affronter des études si délicates ?
Justin Mukwanga
Publié par DEBOUT CONGOLAIS1 à 06:23 0 commentaires
Nouvelles:
NECROLOGIE
Eza mawa mingi, atiki trous monene na motema ya bato ebele... Nzambe ayamba molimo naye na royaume naye na boboto.
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Publié par DEBOUT CONGOLAIS1 à 05:47 0 commentaires
Société MIBA ekotekama mikol'oyoeee! Bofongola misoeee...Bamoyibi oyo basi babandi ndenge basalaki GECAMINES...
MIBA : vers la cession des titres miniers contre un prêt de 11 millions USD
Par Ben-Clet
Catastrophique ! Telle est la situation de la MIBA en mai 2007. Chute dramatique de la production. Endettement de l’ordre de 170 millions de dollars. Perte de confiance de la part des banques et des fournisseurs. Remous sociaux et arrêt de travail ayant entraîné la désignation d’un autre comité de gestion. L’enfer est proche à la suite du dernier prêt usuraire de 11 millions USD, gagés sur ses titres miniers.
En vue de faire face à ses «besoins urgents d’équipements de production, d’intrants et de charges fixes récurrentes pour l’année 2007», l’ancien comité de gestion de la Minière de Bakwanga (MIBA), dirigé alors par Gustave Luabeya, avait obtenu du ministère du Portefeuille l’aval pour solliciter, en avril 2007, un prêt de 11 millions de dollars US auprès de la RawBank, à Kinshasa.
En toute logique, RawBank n’ayant pas la vocation d’un organisme philanthropique, a offert de prêter à court terme les 11 millions, sous la garantie du gouvernement. Qui plus est, elle a exigé, par précaution, que lui soient remis à titre d’hypothèque les Titres miniers de la MIBA sur les deux provinces du Kasaï.
Toute subjectivité mise à part, il convient de reconnaître au banquier son bon droit de réclamer de telles garanties car, en expert, il sait que la MIBA ne sera pas capable d’effectuer le premier remboursement fin juin prochain, soit cinq semaines seulement après la mise à disposition des fonds. Or, le prêt consenti doit couvrir, sur papier, l’achat de nouveaux équipements qu’il faudra acheminer à Mbujimayi. En outre, il faudra attendre la production et la première vente afin de générer un cash-flow minimum nécessaire aux remboursements.
L’INCAPACITE DE LA MIBA A REMBOURSER
Il est à craindre que la transaction de 11 millions de dollars n’ait excité la boulimie du gouvernement qui laisserait dans la précipitation tomber la MIBA de Charybde en Scylla. Et ce, dans la mesure où l’incapacité évidente de la MIBA à rembourser le prêt conforterait RawBank dans la jouissance, directement ou indirectement, de ses droits et titres miniers...
Publié par DEBOUT CONGOLAIS1 à 19:53 0 commentaires
Publié par DEBOUT CONGOLAIS1 à 19:10 0 commentaires
Date ya 17 mai eza mokolo Mze a permetaki ba Rwandais ba okipe RDC, sima na liwa naye muana na ye Kabila ateki mboka. Situation toza ko vivre yango wana. Ezalaki liberation te kasi occupation...
MEV
Un cadre de l'Udps enlevé par des éléments de la GR à Bukavu
(Castro) Encore un acte d'intolérance caractérisée ! Alors que la journée était déclarée chômée et payée sur toute l'étendue du territoire national pour commémorer le 17 mai, voilà que des esprits non encore forgés aux valeurs de la démocratie et de la non violence viennent de rappeler à la mémoire collective, l'enlèvement d'un paisible citoyen et cela à 9 heures du matin dans un salon de coiffure situé dans la commune urbaine d'Ibanda à Bukavu.
L'infortuné qui répond au nom d'Augustin KALALA a eu le malheur d'échanger ses opinions avec d'autres compatriotes sur cette date du 17 mai considérée par les uns comme le jour de la libération du joug de la longue dictature mobutienne et par d'autres comme le début d'un long conflit armé qui va mettre le pays à feu et à sang. La situation d'Augustin KALALA s'est aggravée, car ce sont des éléments de la Garde républicaine qui ses sont emparés de lui, avant de le passer à tabac et de le déshabiller devant une foule des gens ahuris et scandalisés de voir quelqu'un torturé pour avoir réfléchi à haute voix sur un évènement à caractère national.
La famille et les amis de M. Augustin KALALA sont inconsolables, car ils ignorent l'endroit où a été transféré ce dernier et dans quel état physique il se trouve du fait que les coups lui administrés lors de son enlèvement ont été d'une rare violence.
Ce qui est grave, c'est que ces éléments de la Garde républicaine sont restés sourds aux supplications des personnes de bonne volonté, notamment des religieuses et même certaines autorités politiques et administratives accourus sur le lieu. La question que l'on est en droit de se poser est celle de savoir qui a alerté ces éléments de la Garde républicaine ? Lesquels ne se sont pas rendus compte des conséquences fâcheuses de leurs agissements violents aussi bien sur le plan politique que militaire. La balle se trouve donc du côté de la justice militaire pour sanctionner sévèrement ces éléments et probablement celui qui les a alertés.
Affaire à suivre.
Le phare
Publié par DEBOUT CONGOLAIS1 à 18:52 0 commentaires
Eloko nyonso ya mboka na biso ekomi kaka ya bampaya! Sucre na biso moko ekomi ya kotekela bampaya! Ata ko bamonelaka bato!!!!!!!! Sucrière -Kwilu Ngongo |
Vendredi, 18/05/2007 La vente du sucre : les commerçants étrangers privilégiésAcheter du sucre actuellement à la Compagnie sucrière de Kwilu-Ngongo relève du miracle. Surtout lorsqu’on est opérateur économique national. Il faut plusieurs jours avant d’être servis.Faudra –t-il encore l’être. Ils sont très nombreux, les opérateurs économiques nationaux à se plaindre des difficultés qu’ils éprouvent à acheter du sucre à Kwilu-Ngongo – même une petite quantité – où les opérateurs économiques étrangers – comme TransBenz - sont privilégiés. Par le directeur commercial, M. Nobre, qui y entretient un commerce triangulaire. Vive la hausse de prix. Cette situation a failli dégénérer à Kwilu-Ngongo lundi 14 mai. Où les chauffeurs des commerçants, qui y étaient depuis une semaine sans être servis, se sont soulevés pour protester contre cette situation. Il n’a pas fallu plus pour pousser la Sucrière à fermer momentanément pour se concerter. La situation de la Compagnie sucrière de Kwilu-Ngongo date de quelque trois années. Alors qu’auparavant, le problème de stocks ne se posait pas, depuis août 2004, la Sucrière a commencé à buter au problème de stocks, lorsqu’elle s’est mise à exporter du sucre. Ce qui favorisa la magouille parmi certains cadres de cette société. Au rang desquels, le directeur commercial qui s’est lancé dans le commerce du sucre, avec tous les dividendes financiers que cela lui procure. Tricherie commerciale Selon notre source, il n’y a que quelque 4 000 sacs de sucre en stocks à la Sucrière pour une armée de commerçants candidats à l’achat. Depuis une semaine, ils sont en train de poireauter à Kwilu-Ngongo, attendant d’être servis. La demande est telle que la quantité disponible est loin de satisfaire tout le monde. Soit. Mais, à ne favoriser que quelques expatriés pour des raisons inavouées au détriment des nationaux, voilà qui irrite. Et pourtant, c’est ce qui se passe à Kwilu-Ngongo où des commerçants étrangers font la loi, favorisés par le directeur commercial de la Sucrière. Alors que TransBenz peut se procurer facilement plus de 3 000 sacs de sucre, les commerçants nationaux, eux, doivent se contenter de 10 à 1000 sacs à obtenir avec mille et une peines. Alors qu’à TransBenz, par exemple, on offre la facilité d’obtenir du sucre en sachet vendu au prix intérieur, c’est-à-dire moins cher et destiné exclusivement à la vente à l’intérieur, aux nationaux est vendu du sucre en vrac, un peu plus cher. Mais, le plus souvent, au lieu d’être vendu à l’intérieur, ce sucre est vendu à Kinshasa. Conséquence : puisque acheté légèrement moins cher, il sera vendu plus et aussi moins cher que celui en vrac. Cela a pour nom : une tricherie commerciale sur l’application des prix Importation, gros, demi-gros, détail aux mains des expatriés Parfois, les expatriés, forts d’une quantité importante de sucre, se mettent à les revendre aux commerçants nationaux, obligés, eux, à les revendre aux consommateurs à un prix prohibitif. C’est le commerce triangulaire. Voilà, entre autres, qui anéantit les activités commerciales des opérateurs économiques nationaux qui ne savent plus à quel gouvernement s’adresser pour trouver une solution à leurs problèmes qui minent leur secteur. Le sucre devenu rare, TransBenz en a profité pour se faire marchand de sucre, ce qu’il n’était pas en temps normal. Le cas de la Sucrière n’est qu’un échantillon de tout ce qui se passe dans d’autres sociétés commerciales qui se livrent à ce genre de pratiques qui torpillent l’économie nationale. Partout, les expatriés bénéficient d’un traitement de faveur, alors que les nationaux suent sang et eau pour s’approvisionner en produits. Le plus souvent, aux commerçants étrangers on livre des produits qui s’écoulent bien et facilement sur le marché, alors qu’aux nationaux on préfère vendre ceux qui se vendent difficilement. La République démocratique du Congo est l’un des rares pays où le commerce se pratique dans un désordre tel que les opérateurs économiques étrangers assurent à eux seuls tous les circuits commerciaux : ils sont en même temps importateurs, grossistes, demi grossistes et détaillants. Ce qui est loin d’être admissible sous d’autres cieux. Le cas de la Sucrière Kwilu-Ngongo est un échantillon de nombreux cas rencontrés par les commerçants congolais. Il constitue l’un des dossiers prioritaires auxquels doit s’atteler le gouvernement. ? Kléber Kungu Direction Générale : |
Publié par DEBOUT CONGOLAIS1 à 15:34 1 commentaires
Que signifie alors la date du 17 Mai 1997 pour le RD Congo? Libération ou tout simplement le début des misères profondes,des carnages au RD Congo?
Après tout on assiste à une période des carnages,pillages,viols,occupation du pays orchestrés sous plusieures formes par la présence du Rwandais Kabila au RD Congo et pas celle de la libération du peuple Congolais.
Qui peut alors me donner la signification du mot libérer?
Est-ce que libérer selon les Kabilistes signifie massacrer,pillier,violer, faciliter l'occupation de notre pays par les forces étrangères, approfondir la misère de la population,...??
Pourquoi alors célébrer cette date qui marquait le début des misères très approfondies au R D Congo?
Pour terminer,je vous invite de lire les info ci-dessous. (J.Eldder).
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De : rolain mena
À : Rolain MENA
Envoyé le : Jeudi, 17 Mai 2007, 0h54mn 55s
Objet : Libération ? Mon oeil !
Libération ou catastrophe nationale ?
C’est un anniversaire particulièrement douloureux que la RD Congo « célèbre » ce jeudi 17 mai 2007.
Il s’agit de dix années du régime Kabila. Père et fils.
Il semble qu’une parade militaire est prévue pour marquer "l’événement". On apprend qu’une dizaine de militaires ont perdu la vie lors des préparatifs de cette manifestation.
Peut-on affirmer aujourd’hui sans rire que les Zaïro-Congolais ont été libérés un certain 17 mai 1997 ? Allons donc ! Quelque chose a-t-elle changé depuis la chute de Mobutu Sese Seko ? Quoi ?
Toute révolution vise en effet un changement qualitatif. Une transformation de la société en termes d’amélioration du cadre de la vie collective. « Mobutu a détruit le Zaïre. Les Kabila ont liquidé le Congo », écrivait un journal parisien.
Publié par DEBOUT CONGOLAIS1 à 19:38 0 commentaires
Election au Sénat;
ne vous trompez pas d'analyse
Publié par DEBOUT CONGOLAIS1 à 19:58 0 commentaires