jeudi 28 janvier 2010

La violence au sommet

Mbok'oyo ekomi kobangisa biso. Oyo nini lisusu bandeko?



Lubumbashi : quatre députés provinciaux tabassés au siège de leur institution
Katanga Jeudi 28 Janvier 2010 à 12:53:31
Quatre députés de l'assemblée provinciale du Katanga ont été passés à tabac ce jeudi par des jeunes venus assister à la plénière. Leur tort c'est d'avoir décidé de quitter la salle pour protester contre ce qu'ils considéraient comme la mauvaise police des débats par le président de l’institution, rapporte radiookapi.net

Monga Tutu, l'un des députés provinciaux du Katanga passés à tabac
La plénière n'a duré qu’une dizaine des minutes. Après l’adoption de l’ordre du jour, le député Monga Tutu, membre du RCD, demande une motion incidentielle. La parole lui est accordée. Il lit un article du règlement intérieur pour convaincre le président Gabriel Kyungu wa Kumwanza de l'Unafec, à accepter leur motion contre le questeur de l’assemblée. Le président refuse de prendre la motion en plénière. Par contre, il exige que chaque député signataire de la motion confirme, à tour de rôle, sa signature. Les députés ayant déposé la motion quittent la salle. Aussitôt sortis, ils sont rattrapés par plusieurs jeunes non autrement identifiés. Selon ces jeunes gens, les députés ont fait montre d'un outrage envers la personne du président de l'assemblée provinciale du Katanga. Ils se mettent donc à tabasser les parlementaires, blessant au front l'un d'entre eux, le député Monga. Ce dernier rentre dans la salle avec les habits en sang. Ce qui révolte ses collègues députés qui refusent de continuer à siéger, contraignant le président de l'institution, Gabriel Kyungu wa Kumwanza, à suspendre la séance.
Copyright Radio Okapi

mercredi 27 janvier 2010

Mawa!

Kinshasa, 27/01/2010
C’est généralement dans les anciennes communes notamment celles de Kinshasa, Lingwala et Barumbu que des annexes à pièce unique ou, par la force des choses, à deux pièces, se multiplient pour accueillir de nouveaux locataires.
Dans la plupart des quartiers de la ville de Kinshasa, des chefs de localités ne se préoccupent guère de la très forte concentration des foyers rencontrés dans des parcelles dites résidentielles en location.En effet, des bailleurs (voire des bailleresses) souvent avides de grosses sommes dues au loyer, le manquent plus d’imagination. Après s’être assuré par la hausse exagérée de la garantie locative, les propriétaires qui mettent leurs maisons en location ont encore eu l’ingéniosité de multiplier des annexes.Devenu en vogue depuis d’une décennie dans la capitale, ce phénomène consacre un nouveau mode d’occupation des parcelles qui de plus, sont encombrées de constructions annexes aux conséquences incalculables.C’est généralement dans les anciennes communes notamment celles de Kinshasa, Lingwala et Barumbu que des annexes à pièce unique ou, par la force des choses, à deux pièces, se multiplient pour accueillir de nouveaux locataires. L’on y construit les innombrables taudis faits de murs en tôles et d’autres infrastructures d’une vieille génération. L’essentiel est donné.

mardi 26 janvier 2010

Sonieeeeeeee

Aza koteka mboka RDC aza koseke! Mawa trop.

« Ce qui se passe au Congo est un drame inconcevable. En tant qu’être humain, je n’aurais pas pu me résoudre à avoir un entretien agréable avec Kabila, un verre de bière à la main », a déclaré M. De Gucht, l’un des prédécesseurs de M. Vanackere aux Affaires étrangères. Ce dernier avait rencontré mardi le chef de l’Etat congolais, au cours d’une escale à Lubumbashi lors d’un déplacement de plusieurs jours en Afrique centrale.

Les Chinois sont des dictateurs



Ba Chinois baza komonisa ba Congolais pasi na kati ya ba kompagnies na bango. Baza kotraiter bato lokola ba nyama.
Epayi boye baza kobotisa bana basi pambapamba, ba batards chinois baleki ebele partout.


MEV



Cliquez ici: http://news.bbc.co.uk/2/hi/programmes/newsnight/7347686.stm

Au Congo, une ONG dénonce les conditions de travail dans une entreprise chinoise
le 26/1/2010 à 10h45 par AFP

L'Association africaine de défense des droits de l'Homme (Asadho) a dénoncé lundi les conditions de travail "inacceptables" des Congolais dans une entreprise chinoise de construction engagée dans la reconstruction de la République démocratique du Congo (RDC). Dans un rapport intitulé "Les conditions de travail des Congolais au sein de l'entreprise chinoise Crec sont inacceptables", remis à la presse, l'Asadho dénonce "l'absence de contrat de travail, le non respect des heures de travail, le paiement de salaire à un taux inférieur au taux officiel, le licenciement abusif, l'absence des mesures de sécurité et la faible prise en charge médicale".
Dans le cadre de la reconstruction de la RDC, le gouvernement congolais avait signé en 2008 une convention de collaboration avec un groupement d'entreprises chinoises (Crec, China Railway Engineering Corporation) pour la réhabilitation ou construction de plus de 6.000 km de routes, plus de 3.000 km de voies de chemin de fer, deux barrages, des hôpitaux, logements et écoles à travers le pays.
L'entreprise "participe à l'appauvrissement des travailleurs locaux", affirme l'Asadho, qui a mené une enquête mi-novembre 2009 dans les différents sites où Crec exécute les travaux de construction des routes. En novembre, "le dollar valait 890 francs congolais mais Crec avait un taux de 420 francs pour un dollar", selon le rapport qui cite également les cas de deux ouvriers licenciés pour n'avoir pas exécuté un ordre donné en mandarin.
L'ONG stigmatise en outre "l'impuissance et la peur" des inspecteurs du travail qui "refusent" d'agir contre les responsables de Crec, qui "jouirait de certaines faveurs qui l'exonèreraient de ses obligations légales à l'égard des travailleurs" congolais.
Aucun responsable de Crec n'était disponible lundi pour commenter ce rapport mais l'ambassadeur de Chine en RDC, Zexian Wu, met en doute la crédibilité du rapport de l'Asadho. "Pourquoi seulement les entreprises chinoises alors que les entreprises des autres pays font la même chose. Elargir le champ d'enquête aurait donné plus de crédibilité à ce rapport", a-t-il déclaré à l'AFP

lundi 25 janvier 2010

Soki libala ekufi esengeli kokanisa situation ya bana

Divorce eza pasi mingi mpo na bana. Ba conflits ya baboti ekomi kopenaliser bana.
Kinshasa, 25/01/2010 / Société
Suite à l’indiscipline dont l’un des enfants du couple divorcé était l’auteur, les ex-conjoints se sont partagés de manière équitable et définitive les deux enfants qui sont de sexe différent.
Un couple divorcé habitant la commune de Ngiri-Ngiri à Kinshasa s’est partagé de manière « équitable et définitive » les deux enfants qu’il a mis au monde, a-t-on appris d’un responsable d’une école située dans la même municipalité où fréquente un des enfants du couple divorcé. Selon la source, les ex-conjoints, lors de leur divorce, se sont partagés de manière « équitable et définitive » les deux enfants qui sont de sexe différent.Ce partage, indique-t-on, implique que l’enfant à charge du père est séparé définitivement de sa mère et cette dernière perd tous ses droits sur sa progéniture et vice-versa. C’est suite à un acte d’indiscipline dont l’un des enfants du couple divorcé était l’auteur, au niveau de l’école où il fréquente, que le père biologique sera convoqué par le chargé de discipline de l’établissement scolaire en question.
Surpris, le chargé de discipline qui ignorait la situation de partage des enfants créé par le divorce, apprendra du père de l’élève que ce dernier n’est plus son enfant et qu’il n’a plus aucun droit sur lui. C’est plutôt sa mère biologique qui en est la responsable. Stupéfait, le chargé de discipline ne savait plus à quel saint se vouer du fait que la mère est absente de Kinshasa.ACP

mardi 19 janvier 2010

Yaya était partie se faire avorter chez ce charlatan qui se faisait passer pour un médecin

Abombi ebembe, amemi yango na kaiti ya sake mpe akondi yango butubutu, kiadieeee


Kinshasa, 16/12/2009 /
Selon cette source, la défunte Yaya était partie se faire avorter chez ce charlatan qui se faisait passer pour un médecin auprès de qui elle trouvera la mort.
Mme Yaya Catherine, femme mariée et mère de sept enfants résidant sur l’avenue Katanga dans la commune de Lukemi a Kikwit, disparue du toit conjugal depuis près de deux semaines a été retrouvée morte et enterrée clandestinement au cimetière de Kibangu dans le même quartier par un charlatan répondant au nom de Willy Mulembwisa en fuite, a-t-on appris le week-end de source de service de sécurité. Selon cette source, la défunte Yaya était partie se faire avorter chez ce charlatan qui se faisait passer pour un médecin auprès de qui elle trouvera la mort.
Son corps fut gardé toute la journée dans ce prétendu centre de santé avant d’être enterré nuitamment et clandestinement dans ce cimetière réservé aux musulmans. Ce sont ces derniers qui ont constaté la présence d’une nouvelle tombe sans qu’il y ait un mort dans leur rang. Après une enquête de la police, on découvrira alors le corps de Yaya qui sera reconnue par ses enfants et ses voisins. Une enquête est ouverte au niveau du parquet pour arrêter le charlatan en fuite.ACP


Balobaka ke, moto moyindo akufaka microbes te. Tanga likamb'oyo oyoka.


Trop d'hygiène pourrait nuire à la santé
Vendredi 15 janvier, 13h57
Sandrine Cabut

Faut-il laisser les enfants se salir pour les protéger des maladies cardiovasculaires à l'âge adulte ? C'est ce que suggère une étude conduite aux Philippines, publiée récemment dans la revue médicale Proceedings of the Royal Society B . «Nos recherches laissent penser que des environnements ultrahygiéniques dans l'enfance peuvent augmenter le risque d'inflammation à l'âge adulte, ce qui à son tour accroît le risque de contracter un grand nombre de maladies, notamment cardiovasculaires», a déclaré Thomas McDade (Northwestern University, Evanston), premier auteur de l'article.
Ce n'est pas la première fois que l'excès d'hygiène est pointé du doigt. Depuis quelques années, cette tendance de la vie moderne a été incriminée - aux côtés d'autres facteurs, dont la pollution et une diversification alimentaire trop précoce - comme l'une des causes de l'explosion des allergies. L'augmentation du niveau d'hygiène, mais aussi le recours très large aux vaccins et aux antibiotiques, empêcheraient le système immunitaire d'être stimulé par des infections dans la petite enfance. Ce qui le rendrait en quelque sorte plus disponible pour le développement d'allergies.
Des études ont confirmé que les enfants vivant en milieu rural souffrent moins d'allergies que les citadins. Ce qui pourrait même commencer dès la vie intra-utérine. Selon une enquête conduite en Nouvelle-Zélande, les bambins dont la mère avait passé une partie de sa grossesse au contact d'animaux de ferme avaient un risque diminué de 50 % de développer un asthme ou un eczéma par rapport à ceux dont la mère était restée citadine.
Plus de 1 500 enfants suivis
Les chercheurs américains se sont pour leur part intéressés à une cohorte d'enfants nés aux Philippines dans les années 1980, dont plus de 1 500 ont été suivis régulièrement de leur naissance jusqu'à 22 ans. Leurs conditions de vie et d'hygiène (notamment la cohabitation avec des animaux et le type de toilettes utilisé) étaient consignées, tout com...

samedi 16 janvier 2010

Quel courage! Oyo eza kisi to ndokiéee?


























Visionner en cliquant dessus

Keba!

Les conseils pour vivre sans problèmes

Sala neti:
1. omoni te,
2. oyoki te,
3. koloba mpe eloko te
4. mpe kosala yango te...







Lekisaka ba makambo mosusuee!

























1. Ne rien voir 2. Ne rien entendre 3. Ne rien dire 4. Ne pas faire...
Lekisaka ba makambo mosusuee!



















vendredi 15 janvier 2010

Kuiti ebomaka

Un homme a été trouvé mort tôt le matin par les habitants du quartier SNEL à Kananga.



Chers compatriotes de "Debout Congolais", je vous envoie ces photos attachés demontrant une scene bizarre qui s'est passé à kananga dans la nuit du 12 au 13 janvier 2010.
Un homme a été trouvé mort tôt le matin par les habitants du quartier SNEL à Kananga.
En effet, le type était dans un deuil la veille, à pris trop de tshitshampa (soupou na tolo), et à son retour , il est tombé et est mort surplace.
Les photos montrent le bourgmestre de la Commune de Kananga venu inspecté les lieux.
Prière diffuser ces images pour interpeller les adeptes de cette sale pratique.
Dr Dominique BADIBANGA KANKU
+243 99 740 7170
+243 81 603 5822



samedi 9 janvier 2010

Bana basi babebieee




Lokola moto ya kobala bango aza te bango ba preferer kozala ba LESBIENNES



Kinshasa, 09/01/2010 / Société
Dans les rues de Matete, en effet, les lesbiennes se constituent en groupes et se font remarquer. Elles sont généralement en pantalons jeans ou en culottes, et repoussent intentionnellement les présences mâles.
Etre lesbienne ou en donner des apparences est de­venue, pour maintes jeunes filles de Matete, une mode. Ce qui se passe dans cette com­mune n’est pas assimilé à un scandale, à en croire certains habitants de l’entité. Cela est par contre une mouvance en­tretenue par des filles qui se connaissent entre elles et font des suiveuses. Aussi inconve­nant que puisse paraître le fait que des filles se mettent en pantalons et en taille basse, une chose est courante, les lesbien­nes se veulent des garçons en apparences.Elles adoptent égale­ment des attitudes mâles sur d’autres filles. Dans les rues de Matete, en effet, les lesbiennes se constituent en groupes et se font remarquer. Elles sont gé­néralement en pantalons jeans ou en culottes, et repoussent intentionnellement les présen­ces mâles. Dans des bars, el­les forment leur petit coin et, lorsqu’il leur est donné de danser, c’est à des personnes de même sexe qu’elles recourent comme cavalières. Un terme est entré dans le parle courant des jeunes de Matete, désignant ces filles qui pullulent. « Dju bek, balingaka te! ». (Entendez : Celles qui ne séduisent pas !). « Dans les commu­nes de Kinshasa, à chaque entité correspondent des réalités familières aux habi­tants. Si à Bandalungwa, Barumbu et Matete des les­biennes fourmillent, Kalamu, Kasa-Vubu et Lemba pour ne citer que ces cas, excellent en pédéras­tes. Beaucoup de jeunes de Matete qui frôlent 25 ans, sont entrain d’entraîner leurs jeu­nes sœurs à ce qui s’assimile aujourd’hui à un mouvement.Certaines sont violentes et se font craindre car elles pra­tiquent l’haltérophilie ou des sports de combat. Il y a 20 ans, la société avait fait face à la montée du phénomène « carinage » qui, du reste, n’était qu’une facette de la manifesta­tion lesbienne. A ce jour, ces marginales non seulement croissent sur le plan de leur nombre, mais aussi ne se voi­lent plus la face. Il est temps que la société prenne cons­cience d’un dérapage collectif devenu caractéristique des Kinois. C’est que les personnes qui se marginalisent se prennent pour des acteurs ou actrices du cinéma. Et le reste de la so­ciété, plutôt que de les re­dresser, les admire et les applaudit, a déploré un père de famille.C’est le cas des ban­dits à l’arme blanche appe­lés couramment « kuluna ».Dans le même ordre d’idée figurent les chansons et danses obscènes de cer­tains musiciens kinois. Ceux-ci présentent à la po­pulation des danseuses dé­nudées en recourant au ser­vice des médias locaux. Pendant ce temps, la Com­mission nationale de cen­sure inquiète par son mu­tisme. Tout, en effet, rappelle les craintes exprimées en sont temps par le philosophe congo­lais Kangafu Vingi Gudumbangana. Celui avait dé­ploré en des termes propres à sa spécialité, le fait de la « voyoucratie » prédominante.Payne/L’Avenir

jeudi 7 janvier 2010

Mobali ya basi! Elombe!

Jacob Zuma et trois de ses femmes, Nompumelelo MaNtuli-Zuma, Thobeka Mabhija et Sizakele Khumalo. Photo Archives


Ah muana mayi!
Un chef de l'ETAT, ba momies mitano(5)! Eza soni mingi. Exemple nini okopesa na population!
Ata ko balingaka ba nzele ya vieux oyo eleki! Mandela azalaka boye te!


Répondant il y a quelques années aux critiques concernant sa pratique de la polygamie, Zuma aurait déclaré qu'à la différence de beaucoup d'hommes politiques qui cachaient leurs maîtresses et leurs enfants, lui aimait ses femmes et était fier de ses enfants!
cliquez ici:


mardi 5 janvier 2010

Meje 30 : la jeune chanteuse fait parler d’elle

Basi balimbisi yo, kozongela lisusu te muana!














Cliquez ici:

Kinshasa, 05/01/2010 / Musique
Mise à part son succès, Meje 30 a également fait parler d’elle au courant de cette même année touchant à sa fin, lorsqu’elle a été découverte nue sur Internet lors d’un spectacle en Ouganda avec Tshala Muana.
La chanteuse Meje 30 s’est aussi imposée durant l’année 2009. Elle a réussi, avec Tshala Muana dit « Mamu nationale », à lancer sur le marché du disque, un opus intitulé « Sikila » qui a connu beaucoup de succès.Après « délestage », chanson contenue dans Sikila, qui a fait connaître la jeune coqueluche de la musique congolaise, l’on peut aussi remarquer la démarcation de cette chanteuse dans les chansons telles que « Deux raisons », « Fimbu ya Bakandja »…Mise à part son succès, Meje 30 a également fait parler d’elle au courant de cette même année touchant à sa fin, lorsqu’elle a été découverte nue sur Internet lors d’un spectacle en Ouganda avec Tshala Muana.Ces images ont suscité la curiosité de plus d’une personne dont certaines ont estimé que c’était des images montées de toutes pièces. Meje 30 se sentant humiliée, s’est vouée à l’arbitrage des autorités de la ville dont le ministre provincial de la Culture, Roddy Mpika Massamba, qui en a appelé à l’apaisement des esprits et a mis en garde quiconque récidivera dans ce genre de pratique informatique.Dieumerci Mayambi/Forum des As

lundi 4 janvier 2010

Le drame est intervenu en pleine journée

Une sexagénaire tuée par une vipère à Nganza (Kananga)

Kinshasa, 31/12/2009 / Société
Le drame est intervenu en pleine journée dans le champ de manioc de la victime qui s’était fait accompagner par son mari qui l’a immédiatement acheminée vers un centre de santé.
Une sexagénaire habitant le quartier urbain de Nganza-Nord, dans la commune de Nganza à Kananga, au Kasaï Occidental, est morte des suites de la morsure d’une vipère, ont rapporté mardi à l’ACP des habitants dudit quartier.Selon ces derniers, le drame est intervenu en pleine journée dans le champ de manioc de la victime qui s’était fait accompagner par son mari qui l’a immédiatement acheminée vers un centre de santé. Hélas, tous les soins administrés à la victime pour sauver sa vie sont restés vains, a-t-on indiqué de même source.La défunte laisse derrière elle un veuf, plusieurs enfants et des petits enfants.ACP

MOYIBI ELEKI!

Radio Okapi - Kinshasa : 3,8 tonnes de cobalt interceptées à l'aéroport de N'djili
Les agents de la Direction générale de migration (DGM) ont saisi, jeudi à l’aéroport de N’djili, 3,8 tonnes de Coltan en provenance du Sud-Kivu. Cette information a été confirmée, dimanche à radiookapi.net, par le directeur de cabinet du ministre des Mines du gouvernement central, Alexis Mikandji. Ce colis appartiendrait à Patra Investment, un comptoir d’achat des minerais non agréé par le ministère des Mines.


Aéroport international de Ndjili
Le ministère des Mines attend des explications de la part des autorités du Sud-Kivu. Elles devront fournir les éléments qui leur ont permis d’autoriser l’embarquement de 3,8 tonnes de Coltan ou cassitérite et accompagnateurs, parce qu’on n’a pas encore ouvert le colis saisi pour faire des tests appropriés. C’est ce qu’a indiqué le directeur de cabinet du ministre des Mines du gouvernement central, Alexis Mikandji.«Nous avons reçu l’information le 31 décembre, selon laquelle un colis irrégulier était embarqué. Nous avons dépêché les inspecteurs de Mines à l’aéroport de N’djili. On a prévenu tous les services. Heureusement, avant même l’arrivée de nos inspecteurs, la DGM qui était prévenue, a agit à temps. Le colis a été saisi et consigné au dépôt de la compagnie aérienne CAA », a expliqué M. Mikandji. Ce colis appartiendrait au comptoir Patra Investment. « Or, en ce qui nous concerne au ministère des Mines, nous n’avons pas connaissance d’un comptoir d’achat des minerais agréé à ce nom-là. Et, nous ne connaissons pas le destinateur final de ce colis. Evidemment, il faudra voir toute la documentation qui l’accompagne pour en avoir plus de précisions», a-t-il ajouté.Le 18 décembre, un ressortissant indien a été condamné par le tribunal de grande instance de Kinshasa à 6 mois de servitude pénale et au payement de 10.000 USD pour avoir tenté d’exporter frauduleusement un colis de diamant de près de 44 000 carats. Et c’était toujours les agents de la DGM qui l’avaient arrêté après avoir fouillé ses bagages à l’aéroport de N’djili.
Copyright Radio Okapi

Etudier dans pareilles conditions !

Le Katanga est mal géré, selon un député national

Le député national Mwenze Nkundu, élu de Kamina, accuse le gouvernement provincial du Katanga de mal gérer cette province.
« Le nord du Katanga est complètement oublié ; il n'y a aucune réalisation palpable. Tout est fait dans la partie sud de la province », a-t-il déclaré vendredi à Kamina au cours d'un entretien avec les membres de la société civile de la place, rapporte radiookapi.net

Une école à Nganyie au Nord Katanga
La rétrocession que la province du Katanga fait aux entités territoriales décentralisées est insignifiante par rapport aux besoins, selon l’élu de Kamina. Et même, affirme le député Mwenze, les tracteurs agricoles envoyés dans les territoires sont presque tous déclassés parce qu'ils ne sont pas adaptés aux grandes cultures. Il voudrait voir le gouvernement provincial tourner aussi son regard vers le nord de la province. « Je me pose la question de savoir si le Nord du Katanga fait toujours partie de cette province. Parce qu’il est totalement oublié ! L’argent rétrocédé à la province du Katanga depuis 2007 par le gouvernement central n’est dépensé que pour le sud », a affirmé M. Mwenze. Rien n’est encore fait par l’exécutif provincial pour le développement de toute la partie nord, a insisté ce parlementaire. Il a cité notamment les territoires de Kabalo, Nyunzu, Kongolo… Il déplore aussi le fait que cette province est maintenant « géré par des dons » ; alors qu’il existe des recettes à caractère tant national que provincial. De son coté, le gouvernement provincial n’a pas voulu réagir à chaud à cette accusation. Mais, des sources proches du gouvernorat du Katanga ont affirmé que l'exécutif provincial agit avec les moyens du bord pour jeter des jalons du développement de la province ; même si cela n'est pas encore palpable pour toutes les populations Katangaises.
Copyright Radio Okapi

PAIX, JUSTICE et TRAVAIL

Cliquer sur l’image …







Nous vous proposons désormais de visiter notre site en 6 langues différentes.
Certaines versions sont encore en cours de préparation.

Nous restons ouverts à toutes vos propositions dans les emplacements réservés à cet effet dans le site.

En attendant, nous vous souhaitons une bonne année 2010
et une bonne navigation.
Culturellement,



Serge Diantantu

Contact skype : Diantantu


FAIRE SUIVRE CET E.MAIL …

LA RESURRECTION DE TSHISEKEDI

Dr Etienne tshisekedi
fête en famille, le 25 décembre 2009







Retour à kinshasa bientôt!
Elombe asi abiki naye!

Cinq sentiers

La vie d'un être humain n'a pas de valeur au Congo.

Train à Kananga

Pour la RDC c'est inhumain de faire voyager les gens dans ces conditions . Nous ne sommes pas des animaux !!! même les vaches dans un camion pour l'abattoir ont de l'espace !!! Votons ! Votons ! c'est çà ? mais il ne faut pas oublier que chaque chose à sa fin.