vendredi 14 mars 2008

Les femmes n'ont pas le droit d'avoir plusieurs époux. La polygamie est cependant autorisée pour les hommes

Muasi oyo azalaki ko vivre na mibali mabale au même moment, tembe na mibali quoi! Bakangi ye ba condamner ye, bayebisi ye ké muasi akoki ko vivre na mibali mibale te.

Une célèbre chanteuse sénégalaise condamnée pour bigamie

Illustration de l'articleUne célèbre chanteuse sénégalaise condamnée pour bigamie
La justice sénégalaise a condamné une célèbre chanteuse à une amende avec sursis de 30 euros et de 1.524 euros de dommages et intérêts pour bigamie après une plainte déposée par un homme estimant être toujours marié avec elle, a-t-on appris auprès de sa défense.


Le tribunal "a déclaré Fatou Guéwel Diouf coupable pour le délit de bigamie et l'a condamnée à payer une amende de 20.000 FCFA (30 euros) avec sursis et un million de FCFA (1.524 euros) de dommages et intérêts" à Mbaye Guèye, dit "Petit La", un percussionniste qui assure être toujours marié à Mme Diouf, a déclaré une des avocates de la chanteuse. Il a prononcé "la relaxe pour Fatou Guéwel (Diouf) et Mapenda Seck pour le délit d'adultère", a-t-elle poursuivi. Mme Diouf et Mapenda Seck, son nouvel époux, également un chanteur réputé au Sénégal et dans la sous-région, avaient été accusés de "bigamie et adultère" par Mbaye Guèye qui dans une plainte déposée en décembre 2007, réclamait aux deux accusés 50 millions de FCFA (plus de 76.000 euros) de dommages et intérêts. Les médias sénégalais se sont passionnés pour cette affaire, d'autant que ses protagonistes sont célèbres et qu'au Sénégal, les femmes n'ont pas le droit d'avoir plusieurs époux. La polygamie est cependant autorisée pour les hommes. (SAB)

Ce diamant estimé à une valeur d'au moins $700 million USD était le seul port du salut

Moyibi ya leta congolais eleki, bake koyiba diamnt ya ba pauvres citoyens!

J. Kabila et le diamant de Bena Tshiswaka : à quand la fin de la recréation et l'Ordre Nouveau promis?

Lors de la campagne du premier tour du scrutin présidentiel d'août 2006, le chef de l'État congolais avait promis de restituer le diamant de près de 822 carats appartenant au peuple de Bena Tshiswaka dans le grand Kasaï.

Près de 2 ans après, cette promesse apparaît clairement comme un simple présent de campagne électoral, plongeant les Bena Tshiswaka dans une profonde déception et farouche méfiance à l'égard de la personne du Raïs congolais... Que d'argent et du temps perdu par les propriétaires de cette pierre ! Des pères des familles ont quitté leurs villages pour suivre l'évolution de ce dossier à Kinshasa pendant au moins 3 ans jour pour jour. En même temps, il y a manque à gagner car ceux-ci ne peuvent même plus surveiller leurs activités tant commerciales qu'agricoles.

Pendant qu'ils attendent toujours à Kinshasa la manifestation dans les faits de " l'Ordre Nouveau " du Raïs congolais, sur place dans leurs villages les familles se sont déstabilisées. Les enfants qui hier fréquentaient l'école, font maintenant l'école buissonnière. Les jeunes garçons s'organisent en bandes des gangsters au détriment du paisible citoyen, et les jeunes filles sont devenues des dangers public : une honte à la société du Kasaï.

Une habitante nous a déclaré qu'elle commençait à croire que le Kasaï était un océan de malheur et de misère, et que leur diamant estimé à une valeur d'au moins $700 million USD était le seul port du salut.

diamant.jpg

D'aucun pensent que si ce diamant avait concerné le village de Moba ou de Manono, le président Kabila l'aurait déjà restitué; mais comme il ne s'agit pas des siens, il prend son temps. Entretemps, les enfants du Kasaï grandissent dans l'angoisse et le désespoir, les adultes vieillissent précocement et les vieillards partent avec beaucoup d'amertume et de rancœur dans le cœur.

La restitution de ce diamant estimé à plusieurs centaines de millions de dollars, contribuerait tant soit peu à la réussite de fameux 5 chantiers du quinquennat de Joseph Kabila . Car outre les taxes dues à l'État, les Bena Tshiswaka vont investir sur place au Congo, plus précisément dans le Sankuru. Non seulement dans les infrastructures, mais aussi et surtout dans l'industrie agricole et pastorale.... La restitution de ce diamant devient donc un véritable "Enjeu économique" pour tout le peuple de cette grande Province de la R.D.C., grand comme le Sénégal. Lorsque ce diamant sera restitué, les Bena Tswiswaka se battront la poitrine et diront : « Rien n'est vanité sous le soleil ».

Alphonse Vuka di Masiala
Pentagon City, Virginia, U.S.A
alphonsevuka@yahoo.com

jeudi 13 mars 2008

Ce Bébé à 11 mois et pèse: 52,5kg

Oyo tango akokola akozala monene ndenge nini bandeko! Tala yo moko ndeko na nga.
[]
Les miracles du monde

Ce Bébé à 11 mois et pèse: 52,5kg avec un régime alimentaire de:
1 kg
de riz, 5 litres de lait et 2 litres de miel par jour.
il est né en Inde-rajasthan.

les taxis-motos commencent juste à faire leur apparition à Kinshasa

Ba motos ekomi kosala taxi na Kin! Toza kokende wapi? Kabila omemi biso wapi?
Lobi kuna ekokoma taxis-vélos!

Transport en commun

Les habitants des quartiers enclavés découvrent les taxis-motos

Par Le Potentiel

Appréciés dans nombre de villes de la République démocratique du Congo, les taxis-motos commencent juste à faire leur apparition à Kinshasa où les gens préfèrent les voitures. Ils soulagent les habitants des quartiers enclavés et donnent de l’emploi aux jeunes. Reste à légaliser cette nouvelle activité.

Croiser une moto sur les grands axes de la capitale de la République démocratique Congo (RDC), est rare. Pour se déplacer, les Kinois préfèrent, en effet, de loin la voiture aux deux roues (moto ou vélo). Mais, depuis 2007, le taxi-moto a fait son apparition dans certains quartiers enclavés de Kinshasa. A Masina, commune populeuse et pauvre de l’Est de la ville, des jeunes se lèvent tôt et enfourchent sans complexe leurs Hadjin (motos de marque chinoise) pour faire le taxi sur la route du marché, la seule voie goudronnée qui relie leurs quartiers au boulevard Lumumba. « Nous travaillons de 5 à 22 heures », explique Pierre Nsumbu, l’un de ces jeunes taximen nouveau genre.

Très pratiques, ces taxis apportent un soulagement aux habitants de cette commune de plus de 500 mille âmes. Ils appliquent des tarifs qui sont à la portée de petites bourses : 50 Fc (0,6$) pour un trajet d’un kilomètre, 100 Fc (0,13$) au-delà. En taxis voitures ou taxis-bus, le tarif le plus bas est de 200 Fc (0,27 $). « Avec ces engins, je peux maintenant aller et venir à ma guise alors qu’avant, cela n’était pas possible », explique Linda, une habitante de Masina Rail, un quartier où les voitures ont difficilement accès …

Les oubliés de Cecomaf: Faute de routes, le transport se fait à pied

C’est depuis longtemps que la route N’Djili-Brasserie est hors d’usage. Cette importante bretelle qui fait normalement jonction avec la nationale n°1 est à l’abandon. On ne peut y accéder que par de véhicules tout terrain ou par d’autres moyens de transport rudimentaires, tels que le vélo et les chariots. Et pour la population locale privée d’électricité, d’eau courante et des structures sanitaires de proximité, le seul moyen de déplacement reste la marche à pied.

Ceux qui s’opposent au port du string ostensible accusent les vedettes américaines de détourner du droit chemin les Congolaises

Oyo makambo ya soni boye! Elateli nini oyo? Bana basi oyo baza koluka nini?

La police du string
Les Congolaises ne doivent plus laisser dépasser ce sous-vêtement
Cachez ce string que je ne saurais voir. Depuis plusieurs mois, des agents de police du Congo Brazzaville interpellent les jeunes femmes qui laissent dépasser de leur pantalon ce sous-vêtement sexy. Cette mode n’est pas du goût des autorités, qui la jugent malsaine et potentiellement dangereuse pour l’ordre public. Sans l’interdire légalement, ils s’emploient à chasser cette coquetterie brocardée comme « déplacée ». Tous les moyens sont bons pour dissuader les contrevenantes : des cours d’instruction civique, aux insultes, en passant par les violences physiques.






C’est la faute aux Etats-Unis
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Le port du String varie selon le continent AB_String
Ceux qui s’opposent au port du string ostensible accusent les vedettes américaines de détourner du droit chemin les Congolaises. « Des jeunes filles de 13 à 18 ans se lancent dans cette mode. Mais pas seulement : des femmes d’une trentaine d’années la suivent aussi », certifie Béatrice, 40 ans. Comme la majorité des parents, elle est scandalisée par la visibilité que prend ce sous-vêtement et n’autoriserait jamais sa fille de 13 ans à adopter un tel style vestimentaire. Toutefois, elle considère que « cela constitue surtout un problème lorsque la fille est majeure. Dans ce cas, c’est un vrai manque de pudeur ».

A_String"La nudité de Maman est une bénédiction pour Papa mais une malédiction pour les enfants!"





Salon du mariage

Oyo nde salon ya malamo penza. Libala eza likambo ya motuya makasi, Nzambe akopambola moto asali likambo oyo.
Un salon du mariage a ouvert ses portes le 14 février à Gabon Expo, à Libreville, à l’initiative de « Négoces », une PME gabonaise spécialisée dans l’événementiel pour favoriser les contacts entre les futurs mariés et les professionnels de l’organisation d'un mariage.

Ouvert le 14 février à l'initiative de la PME "Négoces" le Salon du mariage et de l'évènement qui a lieu à Gabon expo à Libreville vise à réunir les futurs mariés et les responsables des PME spécialisés dans l'organisation de mariages et d'évènements de tout genre à échanger sur les conditions à remplir pour réussir l'organisation d'un mariage.

mercredi 12 mars 2008

Les femmes au teint noir sont en voie de disparition

Ba Africaines bakomi koyokisa biso soni, baboyi loposo Nzambe apesa bango balingi bakoma ba mindele kasi tala ndenge loposo ekomi.

Khessal ou le phénomène de la dépigmentation de la peau en Afrique noire


Le phénomène de la dépigmentation de la peau en Afrique noire« Femme nue, femme noire Vêtue de ta couleur qui est vie, De ta forme qui est beauté J'ai grandi à ton ombre ; Et voilà qu'au cœur de l'Eté et de Midi, Je te découvre, Terre promise, du haut d'un haut col calciné Et ta beauté me foudroie en plein coeur, comme l'éclair d'un aigle Femme nue, femme noire Je chante ta beauté qui passe, forme que je fixe dans l'éternel Avant que le destin jaloux Ne te réduise en cendres pour nourrir les racines de la vie ».


Léopold Sédar Senghor

Au commencement, il y avait en Afrique Noire, des femmes au teint couleur de café grillé, des femmes couleur banane d'or, des femmes couleur terre des rizières. Aujourd'hui, lorsqu'on se promène dans la plupart des villes africaines, on remarque que les femmes au teint noir sont en voie de disparition. La majeure partie de nos sœurs pratiquant la dépigmentation de la peau communément appelée "tchatcho" au Mali ; « bojou » au Bénin, « xeesal » au Sénégal et « kobwakana » ou « kopakola » dans les deux Congo.

Il n'est donc pas étonnant de rencontrer des femmes à deux ou trois couleurs de peau. Les plus malchanceuses se retrouvent avec un visage brûlé au second degré, des tâches et points noirs sur le corps, des vergetures sur les seins, poitrine et cuisses...

Les motivations sociologiques profondes qui sous-tendent un tel phénomène, les multiples conséquences socioculturelles, économiques et surtout cliniques sont autant de prétextes qui ralentissent souvent la lutte contre la pratique de dépigmentation.
L'ampleur de ce nouveau phénomène de société nous a poussés à nous intéresser à la question.

mardi 11 mars 2008

les conducteurs distraits

Les images que vous allez voir sont très violentes et peuvent heurter la sensiblité des plusieures personnes.
Nous les diffusons juste pour sensibiliser les conducteurs distraits et essayer d'en sauver plusieurs!
Soyez prudents au volant, évitez d'écrire les sms pendant que vous conduisez.


Diffusez ces images à toutes les personnes qui vous sont chères.
Mieux vaut prevenir que guérir!!!


....Ne cherchez pas ça...s'il vous plaît!!!
Vous avez été prévenu (e) s...





Les images suivantes montrent ce qui est arrivé au corps du conducteur de la voiture noire.
Elles sont violentes, JE DIRAI même très violentes.





La femme congolaise

Chouna Mangondo : ‘‘ Nous invitons les femmes à plus utiliser plutôt leurs têtes que leurs corps’’

Chouna_Mangondo__1_.JPG Chouna Mangondo est non seulement présentatrice et productrice des émissions ‘‘Mémorial des stars’’, ‘‘Souvenir Souvenir’’, ‘‘Recto verso’’ et ‘‘Hit du passé’’ sur la Télévision publique (RTNC), mais aussi réalisatrice des documentaires. Elle en compte déjà 3 dans son répertoire. ‘‘Le marché de la mort’’, pour jeter une lumière sur le commerce qui s’est développé autour des obsèques à Kinshasa, documentaire sélectionné et projeté au festival ‘‘Yambi 2007’’ en Belgique, ‘‘Maman Bipupula’’, qui relate le calvaire des femmes jouant le rôle ingrat de partager un sac de manioc entre des acheteurs contre un salaire de quelques cossettes de manioc, et enfin ‘‘Ligne 11’’, qui retrace le chemin de croix des Kinois pour leur mobilité...

photo Black (scale: 100%)
Pour conclure Chouna Mangondo exhorte les femmes à ne pas travailler seulement avec l’idée de l’argent. ‘‘Le métier n’est pas facile. Les femmes doivent beaucoup utiliser leurs têtes que leurs corps, les embûches, ça ne manquent jamais’’, a-t-elle martelé. Lucie Mulumba

« Le sage ne se montre pas, il brille. Il ne s'impose pas, on le remarque. Il ne se vante pas, on lui trouve des mérites. Il ne se pousse pas, il progresse» (Lao Tseu).


Chorégraphe, pédagogue, comédienne, danseuse. Sans style préconçu, à partir d’une large gamme de formes d'expression artistiques, allant du théâtre à la danse traditionnelle africaine en passant par le Ndombolo, elle signe un parcours atypique.

D'origine congolaise (République Démocratique du Congo); Odile Wanuke habituée aux voyages depuis son enfance, bercée par les diverses coutumes et les cultures de son pays, son parcours d'artiste débute avec les traditions populaires de sa région et passe par les conservatoires de Kinshasa pour la comédie et conservatoire national supérieur de musique et de danses de Paris (CNSMDP) pour la notation Laban.



Après ses études en biologie - chimie, une année de médecine, elle s'oriente vers les arts. Médiatisée par ses participations aux émissions "Barza" de Wamushala Kamba où elle déclamait de poèmes du poète Ungenda N'sélé... Parallèlement, elle ouvre avec Biyela Nzenza une formation de cours de danse aérobic, où elles enseignent au centre culturel Belge de Kinshasa dirigé alors par Geneviève François Masquelin .


WANUKE enseigne la danse africaine en France depuis 1988. Son expérience pédagogique va de l’enfant de 3 ans à l'adulte de 65 ans; de la personne valide à l'handicapée motrice; de l'amateur au professionnelle, de l'apprenti au formateur, de la tradition à la création en passant par les métissages.


Elle a élaboré une approche pédagogique conservant l'esprit libre de danse, reliant le passé (techniques et répertoires) au présent (recherche et créations). En plus des cours enseignés à Paris et en île de France, Elle privilégie la notion d'échange et d'université en organisant des stages d'été en Afrique, elle est régulièrement conviée à donner des stages dans le monde en :

Kinshasa: vente des bébés aux étrangers

Baboti mingi bakomi koteka bana mpo moyen ya kobokola bango eza te. Leta akipaka te, ata muasi moko azalaki na muana mikolo eleki akomi pamba, muana alimue, moto ya kotuna ye aza te. Leta kutu ayebi nombre ya bato te. Bana mingi bazalaka lisusu na attestation de naissance ya etat civili te, nani ayebi bango?

Une affaire type Arche de Zoé à Kinshasa ?

zoearche.jpgAu coeur du débat, une mère nourricière, ayant ramassé et obtenu la garde d'un bébé à Mikonga (N'Sele), qui accuse un orphelinat de lui avoir subtilisé ledit bébé, pour le « vendre » à un couple d'étrangers. La gérante du centre d'hébergement, Sr Victorine, par ses conseils, réfute l'accusation portée contre sa personne.

La semaine écoulée, les téléspectateurs kinois ont suivi en direct comme en rediffusion, des émissions télévisées sur la chaîne Molière traitant d'un sujet brûlant. Il s'agit du trafic supposé d'enfants abandonnés ou orphelins hébergés à l'orphelinat de Mme Véronique situé sur l'avenue Nzundu n°9 du quartier Nzuzi wa Mbombo, dans la commune de Masina à Kinshasa. L'émission dénommée « L'Arche de Zoé à Kinshasa ? » a d'abord présenté une jeune mère, la trentaine d'années, répondant au nom de Mme Chantal, habitant le quartier Mikonga, dans la commune de la N'Sele. Celle-ci s'est plainte en ces termes : « En décembre 2007, j'ai ramassé un bébé enfoui dans une poubelle à Mikonga. Après avoir sollicité un acte d'hébergement auprès du chef de quartier, je me suis occupée du bébé. Malgré la présence de trois autres enfants au foyer, son poids est passé de 1,900 à 3,100 kg.»

Et d'ajouter : « Pendant ce temps, un ami à mon mari, avocat de profession et conseil de la soi disante soeur Victorine, qui se dit religieuse catholique mais sans congrégation connue, nous a rendu visite Curieusement, quelques jours après, sous un fallacieux motif d'offre de travail par son centre, le bébé me sera arraché contre quelques présents (250$US, sac de farine et du lait). L'acte d'hébergement aussi. Il se fera confectionner un autre document auprès du bourgmestre de la N'Sele. En fin de compte, plus d'emploi miroité. Pendant les réclamations du bébé, j'apercevrai un couple d'étrangers s'exprimant en italien aux trousses du bébé. Les pensionnaires du centre me confieront que des Blancs avaient l'habitude de venir acheter des enfants à l'orphelinat ».

Bref, répondant à la question de l'animateur de l'émission, Mme Chantal a tranché : « Je veux mon bébé et rien d'autre. En dépit de mes revenus insuffisants, je veux continuer à m'occuper de ma petite Daniela. Que Daniela me soit rendue.»

Commentant ces propos, le présentateur de l'émission a laissé entendre qu'il règne « un doute sur l'identité de la tenancière de l'orphelinat ». Et qu'elle a usé de « ruse pour s'approprier le bébé ». Enfin, se référant aux résultats de l'enquête de son investigateur, il a déploré la contradiction entre les effectifs des pensionnaires. Sur 360 membres déclarés, une cinquantaine seulement est visible dans les installations de l'orphelinat.
Source: Lepotentiel/Molière TV

samedi 8 mars 2008

LA JOURNEE MONDIALE DE LA FEMME
A toutes les femmes du monde, je vous souhaite une très bonne fête. A toi ma mère chérie que j'aime tant, je te souhaite une très bonne fête de femme, trouve ici l'expression de mon amour. Je ne t'oublierai jamais, toi qui m'a donné jour sur cette terre des hommes!
Ti na moyi ya lelo, na Kin awa, mibali mingi baza ko continuer kobata basi na bango, leta aza kosala bango ata eloko moko te. Bango moko ba ministres baza kobeta basi na bango kaka na Masina to Kingasani nde bakotika?
Courage, la femme !

Mars, un mois de l’espoir ou de plaidoyer pour les injustices que subit la femme. Plusieurs années après le lancement du mois, on retombes sur les mêmes plaintes. Et les femmes de leur côté n’évoluent pas dans leurs mentalités, du moins pour celles de la RDC.

Seulement à y voir de très près, la femme auarait tout. Ainsi se demande-t-on si les femmes n’enfoncent pas une porte ouverte? Les femmes ne s’ignorent-elles pas vraiment? La femme a cette force de porter son bébé pendant neuf mois, d’accoucher, parfois dans des conditions très difficiles, de l’élever dans ls pires des conditions, de continuer à laver son garçon parfois jusqu’à l’âge de 11 ans.

Pendant tout ce temps, la femme s’occupe tant bien que mal de son foyer, particulièrement de son mari et des autres enfants. Qui est réellement chef, n’est-ce pas le serviteur de tous. Mais qu’arrive-t-il que soudain, le garçon de 11 ans est mis par la femme elle-même dans une position de chef. Elle lui dit qu’il est chef et que ces soeurs, mêmes les plus âgées lui doivent de l’égard. C’est là le hic.

Les capacités de la femme sont minimisées par elle-même. Ne dit-on pas par exemple que lorsqu’une femme se défend à égal de son partenaire masculin, on choisit la femme? N’est pas là un indice de reconnaissance de la communauté ?

E.Mus
Les femmes congolaises sont décidées à travailler en faveur d’une culture d’auto dépendance, d’autonomisation qui doit remplacer celle de la main tendue que le commun des mortels désigne sous le vocable de « SOPEKA » ou « Sombela ngai, pesa ngai, kabela ngai ».
MAMOU

LA JOURNEE MONDIALE DE LA FEMME


Fille_jet__e.jpgUne fillette d’environ une semaine a été trouvée abandonnée morte dimanche 20 janvier dans une ruelle (habituellement appelée ‘‘tunnel’’ à Kauka I dans la commune de Kalamu. La chef du quartier, Mbombo Kalombo qui était sur les lieux a indiqué qu’elle attendait les magistrats et les éléments de la Croix rouge pour procéder à l’enlèvement. Elle a déploré l’inconscience des jeunes filles de Kauka qui procédaient à ce crime.
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Babengani nga na classe mpo na minerval

Kosomba uniforme, kofuta minerval, kopesa "SOPEKA" na molakisi...eza pasi mpo na faimille nombreuse, tala yo moko, famille ya bana neuf mobimba... calculer yo moko!

‘‘Babengani’’. Le mot a pris un autre sens et à Kinshasa, on sait de quoi il s’agit. Le refrain est repris par tous les enfants non encore en règle avec les frais scolaires en cette fin du mois et devant une échéance capitale qui est les examens du second semestre. Même pour un petit rien, l’accès aux salles de classes leur sont purement et simplement interdit.
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les complications fréquentes et potentiellement graves de ce que les initiés appellent ‘‘kopakola’’

bamama botika bipakola pakolaee! tala nzutu ya muasi oyo ndenge ekomi suite ya ba produits azalaki kopakola mpo na koya pembe, kitoko. Nani akotala ye lisusueeeeeeee!!!!!!!!!!!!!!!!

D__pigmentation.jpgA Brazzaville au Congo, l’utilisation à visée cosmétique de produits dépigmentant connaît un essor inquiétant. Chez les femmes (voir photo), mais aussi chez les hommes. Des médecins mettent en garde contre les complications fréquentes et potentiellement graves de ce que les initiés appellent ‘‘kopakola’’. C’est en effet ce que révèle une étude réalisée à Brazzaville, dans le cadre d’une mission humanitaire, par le Dr Mohamed Boui et son équipe de l’hôpital militaire Mohammed V de Rabat au Maroc. Sur les 450 hommes qui ont été examinés, 18 soit 4%, présentaient des signes cliniques liés à cette pratique.
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vendredi 7 mars 2008

...le jour de votre divorce peut devenir le plus beau jour de votre vie

Oyo eza salon ya satana. Oyo Nzambe asangisi moto akoki kokabola yango te. Naza kokamua na komono ké baza ko permettre makambo ya motindo boye esalema!

Un salon du divorce pour rompre sans tracas
'Autriche accueillera à la fin du mois le premier salon du divorce, destiné à aider les couples à rompre leurs unions avec un minimum de tracas. Baptisé "Nouveau départ", ce salon permettra à ceux qui cherchent à retrouver leur célibat de communiquer avec des juristes, des médiateurs, des détectives privés, des agences immobilières ou encore des agences de voyage. Le salon, qui se tiendra à Vienne fin octobre puis à Linz, conseillera également les parents sur la manière de ne pas causer de tort aux enfants lors d'une séparation. "Si vous réussissez à vous séparer à l'amiable, le jour de votre divorce peut devenir le plus beau jour de votre vie", affirme Anton Barz, l'organisateur de "Nouveau départ", qui s'occupe également d'un salon sur le mariage. Pour ceux qui n'auraient pas abdiqué dans leur quête du grand amour, une agence matrimoniale sera d'ailleurs présente.