Mawa!
Kinshasa, 27/01/2010
C’est généralement dans les anciennes communes notamment celles de Kinshasa, Lingwala et Barumbu que des annexes à pièce unique ou, par la force des choses, à deux pièces, se multiplient pour accueillir de nouveaux locataires.
Dans la plupart des quartiers de la ville de Kinshasa, des chefs de localités ne se préoccupent guère de la très forte concentration des foyers rencontrés dans des parcelles dites résidentielles en location.En effet, des bailleurs (voire des bailleresses) souvent avides de grosses sommes dues au loyer, le manquent plus d’imagination. Après s’être assuré par la hausse exagérée de la garantie locative, les propriétaires qui mettent leurs maisons en location ont encore eu l’ingéniosité de multiplier des annexes.Devenu en vogue depuis d’une décennie dans la capitale, ce phénomène consacre un nouveau mode d’occupation des parcelles qui de plus, sont encombrées de constructions annexes aux conséquences incalculables.C’est généralement dans les anciennes communes notamment celles de Kinshasa, Lingwala et Barumbu que des annexes à pièce unique ou, par la force des choses, à deux pièces, se multiplient pour accueillir de nouveaux locataires. L’on y construit les innombrables taudis faits de murs en tôles et d’autres infrastructures d’une vieille génération. L’essentiel est donné.
Dans la plupart des quartiers de la ville de Kinshasa, des chefs de localités ne se préoccupent guère de la très forte concentration des foyers rencontrés dans des parcelles dites résidentielles en location.En effet, des bailleurs (voire des bailleresses) souvent avides de grosses sommes dues au loyer, le manquent plus d’imagination. Après s’être assuré par la hausse exagérée de la garantie locative, les propriétaires qui mettent leurs maisons en location ont encore eu l’ingéniosité de multiplier des annexes.Devenu en vogue depuis d’une décennie dans la capitale, ce phénomène consacre un nouveau mode d’occupation des parcelles qui de plus, sont encombrées de constructions annexes aux conséquences incalculables.C’est généralement dans les anciennes communes notamment celles de Kinshasa, Lingwala et Barumbu que des annexes à pièce unique ou, par la force des choses, à deux pièces, se multiplient pour accueillir de nouveaux locataires. L’on y construit les innombrables taudis faits de murs en tôles et d’autres infrastructures d’une vieille génération. L’essentiel est donné.
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