vendredi 24 avril 2009

les bras, les organes génitaux, les jambes et autres membres amputés des albinos procureraient de grosses sommes d’argent

Likamb'oyo eza somo!! Ndundu aza moto lokola biso bandeko, bozua ye lokola eloko te. Botika discrimination mpe racisme envers ba ndundu. Epayi boye mobali aboyi muasi mpo aboti ndundu. Bamususu balingaka kopesa ye mbote na maboko te. Soki asengi mayi bakopesa ye na kopo oyo bato nyonso bamelelaka te. Mingi baza kobenga ndundu ndoki. Makambo eza ebele oyo basalaka ba ndundu. Na ba mboka mosusu soki akufi bakobuaka ebembe naye na ebale. Babuakabuaka ba bébés mingi ya ndundu vivants na ebele mpo bakende libela. Na ba écoles, bandundu bamona pasi. Lelo, kuna na Kivu bakomi koteka bitendi na bango mpo na kosala kisi. Mawa!
MEV

Kinshasa, 24/04/2009 / Société
La société civile dénonce la lenteur avec laquelle est traitée par les instances judiciaires compétentes le dossier d’enquête sur la mort d’un jeune élève albinos dont le corps décapité a été découvert à Kamituga.
La société du territoire de Mwenga en collaboration avec les activités des droits de l’homme de la cité de Kamitunga vient d’adresser une lettre aux autorités politico-administratives et judiciaires de cette partie du Sud-Kivu, a annoncé à l’ACP, une source de la société civile.La société civile dénonce la lenteur administrative avec laquelle est traitée par les instances judiciaires compétent le dossier d’enquête sur la mort d’un jeune élève albinos dont le corps décapité a été découvert le 07 février dernier à Kamituga. Selon le mensuel d’information de la LDGL (Ligue des Droits de l’Homme des pays des grands Lacs) paraissant à Kigali au Rwanda, les bras, les organes génitaux, les jambes et autres membres amputés des albinos procureraient de grosses sommes d’argent. Ce mensuel indique que les os des albinos, selon une rumeur répandue en Tanzanie et à Bujumbura au Burundi permettraient aux pêcheurs tanzaniens d’attraper beaucoup des poissons dont des fretins et à leurs bateaux ou pirogues de flotter sans aucun risque de chavirer. L’or immergé dans le sang d’un albinos tué, brillerait davantage et se vendrait très facilement.
Mais tout cela est à mettre sur le compte de la sorcellerie, de la cartomancie et de la course effrénée vers ce minerai. Mais en réalité, indique-t-on, il n’en est rien, les albinos sont des êtres humains créés à l’image de Dieu malgré cette absence remarquée de pigmentation de la peau. Il faut les mettre à l’abri des agresseurs superstitieux.(BT/Th/GW/Yes)Acp
Last edited: 24/04/2009 16:16:05
















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Un homme a essayé de vendre sa femme Albinos en Tanzanie

La police dans le Sud Ouest de la Tanzanie accuse un hommme d’avoir essayé de vendre son épouse à deux “hommes d’affaires” congolais pour une somme de 3000 dollars.La situation des Albinos en Tanzanie s’est dégradée ces derniers mois après une série d’assassinats, dus en partie à la croyance selon laquelle une partie du corps d’un Albinos rendrait efficaces des potions magiques. Au moins 27 Albinos ont été tués depuis mars y compris un bébé de sept mois. Le président Jakaya Kikwete a ordonné à la police de sévir dans les milieux impliqués dans ces assassinats. Au moins 170 marabouts ont été arrêtés. Mais selon la BBC, il arrive que certains officiers de police soient achetés pour fermer les yeux quand de tels crimes se produisent.
Selon le chef régional de la police, Damian Mantage, c’est un “tuyau” fourni à la police qui aurait permis d’arrêter le pêcheur projetant de vendre son épouse. Sa femme n’était pas consciente de ce qui se tramait selon la police. Ses parents fâchés ont en tout cas décidé de la ramener au domicile familial. Les “hommes d’affaires” de leur côté auraient réussi à s’échapper, et pourraient avoir regagné la RDC ; La police tanzanienne les a signalé à Interpol.
Les récentes attaques contre les Albinos ont été imputées aux marabouts qui surfent sur la croyance selon laquelle des potions faites à partir de mains, de jambes, de cheveux, voire de sang de personnes Albinos peuvent rendre quelqu’un riche. Il est même arrivé que des tombes de personnes Albinos soient scellées afin que les cadavres ne soient pas déterrés.

La Route de Matadi sur le point de « tomber »

Likambo ya kokamua. Ba ingenieurs en construction ebeleebele oyo toza na bango batalela biso likambo oyo te! Ba kartiers mibimba ekomi kolimua na mabulu! Bakonzi batalaka ata moke te. Sokibapesi mbongo mpo na kobongisa kaka bango moko wana bafonder ba societés de construction bangobango, bakamati mbongo balei, moto ya kotuna moninga likambo aza te. Kinshasa ebebi boye! Nani mobikisieeeeeee!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
MEV

Commune de Ngaliema, Binza/Ozone se meurt

(Jasbey ZEGBIA/Stagiaire Ifasic)
Certains quartiers de Binza Ozone, dans la commune de Ngaliema, risquent d’être effacés de la carte géographique de Kinshasa, sous l’oeil impuissant de ses résidents. En effet, ceux-ci voient leurs cris de détresse se perdre dans le désert,chaque fois qu’ils perdent maisons et biens, sous la poussée des érosions ou des eaux de pluies...L’avenue de l’Ecole, qui longe les quartiers Musey et Mfinda de part et d’autre, en passant par le quartier Kinsuka/Pêcheurs, communément appelé Brikin, et débouche au quartier Pompage, est une artère stratégique pour les habitants des quartiers Pompage, Mbudi, Kimbwala, Malueka, etc. Elle a été détruite au mois de novembre 1997, à la suite d’une pluie torrentielle qui s’est abattue sur toute la ville de Kinshasa. Et depuis lors, elle n’a jamais été réparée, malgré les lamentations de la population des quartiers que longe l’avenue.
Plusieurs tentatives de réparation ont été entreprises, mais sans succès. Ce qui est étonnant est que, en RDC, la création d’entreprises fictions de construction est à la mode. Chaque fois qu’un projet de réhabilitation de cette route est annoncée, c’est une entreprise fictive qui se crée automatiquement ou une autre, mal équipée et sans personnel, qui se positionne, pour gagner le marché, synonyme de millions de dollars.Vers l’année 2000, le gouvernement avait ordonné une sortie des fonds pour la réhabilitation de cette avenue. Comme c’est la mode, une entreprise était née spontanément pour la circonstance. Hélas, elle louait tout, même les brouettes pour le transport des caillasses et du sable.Actuellement, l’avenue de l’Ecole se trouve sous l’emprise d’une grande érosion, dont la profondeur peut atteindre jusqu’à 20 mètres. Quant à l’avenue Mama Yemo, grâce à l’appui de l’ONG World Vision pour son asphaltage, elle est redevenue fréquentable par les automobilistes et relie facilement le quartier Ozone à Pompage.La Route de Matadi sur le point de « tomber »Une autre érosion s’est déclarée à Binza/Ozone, du quartier Mfinda à Manenga, engloutissant bon nombre de maisons sur son passage et sinistrant de nombreuses familles. Elle s’était pourtant annoncée ,sur l’avenue Kimpu, il y a plusieurs années. Et rien n’avait été fait pour arrêter ses ravages. Aujourd’hui, elle a déjà atteint l’avenue Kinsimba en aval, et en amont, elle est sur l’avenue Binza, à trois parcelles de la Route Matadi, à moins de 80 m. Dans quelques semaines sinon jours, cette partie de la Nationale n°1 va « tomber », coupant du coup Binza/Delvaux de Binza/Ozone.Qu’attend l’autorité urbaine pour réagir ? Le budget des cinq chantiers ? Les Kinois s’interrogent. Ils souhaiteraient notamment que les recettes que génèrent les campagnes sur la vignette et l’impôt foncier aient des effets positifs sur la voirie de Kinshasa.
2009-04-23

jeudi 23 avril 2009

le maintien d’Etienne Tshisekedi à la tête du parti, ainsi que sur le choix porté sur sa personne pour être le porte-étendard de l’Udps

Ndeko Mutombo, topesi yo melesi na ndenge otindeli biso bilili oyo. Eloko tokoki kosenga bino eza se boyokani. Botosa mokonzi na bino Tshisekedi mpe bosalela liloba naye.
MEV

JOURNAL LE PHARE

Congrès de l’UDPS: Clôture en apothéose
(Jean- Pierre Nkutu)
C’est hier mardi, en début de soirée, qu’a pris fin le premier congrès de l’UDPS. Tout est bien qui finit bien : la fille aînée de l’opposition congolaise a un nouveau projet de société et des statuts réaménagés. Détail capital, les congressistes ont renouvelé à l’unanimité leur confiance au Président national du parti pour continuer à conduire l’Udps, en même temps qu’ils ont ouvertement levé l’option de concourir désormais à la conquête du pouvoir en participant aux différentes échéances électorales. L’ambiance était donc visiblement à la fête mardi, sur l’avenue Malula à Righini, siège provisoire du parti et lieu retenu pour l’organisation du congrès. Bravant la canicule, les congressistes s’étaient tôt et avec stoïcisme déployés dans l’immense concession pour écouter le rapport général des travaux et suivre la lecture des résolutions. Connue pour son enthousiasme débordant et très communicatif, l’intarissable Denise Lupetu accompagnée d’un autre cadre du parti a chauffé l’immense concession. Drapelets en mains, les deux doigts levés en signe de victoire, les délégués ont repris avec ferveur et à l’unisson les extraits des œuvres religieuses de la cantatrice l’Or Mbongo ainsi que d’autres airs populaires. Des chants à la gloire d’Etienne Tshisekedi étaient également au programme.
Léonard Kabeya Tshikuku : « Tout peut basculer d’un moment à l’autre » L’intermède musical terminé, le rapporteur Nzeza a fait la synthèse des travaux. On retiendra de cette lecture que les congressistes ont pris une dizaine de résolutions coulées sous forme d’actes. Ces derniers portent notamment sur le maintien d’Etienne Tshisekedi à la tête du parti, ainsi que sur le choix porté sur sa personne pour être le porte-étendard de l’Udps lors des présidentielles de 2011. L’on retiendra en passant la réaffirmation unanime, par les congressistes, de la ferme volonté des combattants de l’UDPS de s’enrôler massivement dès le mois de juin afin de prendre part aux prochaines échéances électorales. On notera également, comme un profond appel au rassemblement et à l’unité, la résolution portant « amnistie » en faveur des membres exclus du parti pour diverses raisons…. D’autres résolutions ont porté sur l’adoption d’un nouveau règlement intérieur compatible avec les statuts amendés, la création d’une structure chargée de préparer les élections locales, législatives et présidentielles de 2011… Président du bureau définitif du congrès, Kabeya Tshikuku a retracé à l’occasion de la clôture du congrès le parcours et le sens de la lutte historique de l’UDPS, parti né dans la douleur et le sang qui a contribué de manière significative à l’avènement de la démocratie en RDC. L’UDPS, a regretté Kabeya Tshikuku, tarde à savourer les acquis de cette lutte, frustrant nombre de ses cadres et combattants. « Camarades congressistes, tout peut basculer d’un moment à l’autre. Notre destin d’hommes libres peut hélas basculer. Restez toujours éveillés », a-t-il exhorté les délégués. Avant de féliciter Etienne Tshisekedi pour avoir compris que le parti était à la croisée des chemins. « L’avènement du congrès était une nécessité vitale et les congressistes viennent de mettre sur les rails un nouveau projet de société, des nouveaux statuts, un nouvel esprit. Et tout cela pour redynamiser le parti et la conquête du pouvoir », a ajouté Léonard Kabeya Tshikuku. Pour le patriarche Bernard Nkwedi, Président du Collège des fondateurs,
« Les dates du 15, 16, 17 avril 2009… sont des journées historiques. Elles sont intervenues après une longue attente. Notre désir est exaucé », s’est-il félicité. Bernard Nkwedi est longuement revenu sur le combat d’arrière-garde mené par les anti-congrès, ainsi que sur les brutalités dont sont régulièrement victimes les combattants lors des manifestations. Il a enfin demandé à ces derniers de s’en tenir aux consignes du parti et de s’inspirer de l’exemple des fondateurs. Nous y reviendrons.
2009-04-22

mardi 21 avril 2009

Pour se faire un peu d'argent, des policiers du Bas-Congo enlèvent des filles et les vendent



Nayebisaki bino nini! Basilisi kote ba richesses ya mboka, basili koteka ba bitendi ya mabele, lelo bakomi koteka biso. Bakomi koteka ba Congolaises na ba mbka mopaya! Tokosala bonieee!!!! Ba Angolais babotoli biso mabele lelo bango wana bakomi kosomba ba êtres humains! Somo!
MEV




RD CongoBas-Congo : des policiers vendent des filles aux militaires angolais
Pour se faire un peu d'argent, des policiers du Bas-Congo enlèvent des filles et les vendent à des militaires angolais. Dénoncés par des organisations de la société civile, une dizaine d'entre eux ont été arrêtés. Mais la plupart des filles sont toujours aux mains de leurs "maris" en Angola.
L’affaire fait grand bruit depuis le début de cette année dans toute la province du Bas-Congo. Depuis des mois, des policiers congolais enlèvent des jeunes filles qu’ils vendent aux militaires angolais, à la frontalière de Kikuangu Mbemba dans le territoire de Tshela, à 255 km du chef-lieu de la province (Matadi). Selon le service de l’Etat-civil de Tshela, 32 filles de 12 à 16 ans ont ainsi été enlevées de janvier et la mi-mars 2009. "Les policiers perçoivent une dot des militaires qui opèrent dans la zone rouge (territoire angolais bordant la Rd Congo jadis occupé par les ex-rebelles de Flec – Forces de libération de l'enclave de Cabinda - et placé sous haute surveillance, Ndlr), capturent ensuite les filles qu’ils donnent en mariage aux Angolais, à l’insu de leurs parents et sans leur consentement", explique Jonas Tshundu Tshundu, président de l’Ambassade chrétienne pour la paix au Congo, une Ong de défense des droits de l’homme basée à Boma.Cette Ong a mené en janvier une enquête sur le terrain, avant de confirmer les faits et de les dénoncer publiquement. Elle a notamment recueilli les témoignages de deux filles qui ont pu s’échapper des mains de militaires angolais. "Je me rendais aux champs quand j’ai été prise de force début janvier, raconte l’une d’elles, Fanny Nlandu Teko, à peine 16 ans, qui accuse le chef du Bureau 2 de la police à Kikuanga-Mbemba. Il m’a livré à la merci des combattants angolais qui m’ont soumis à des atrocités sexuelles moyennant 100 $..." Se couvrant le visage, Alphonsine Umba Makaya se refuse, elle, de donner les détails sur les sévices qu’elle a subis. "Les deux filles ont déposé chacune une plainte à l’auditorat militaire de Tshela", explique Jonas. Des policiers aux arrêtsLes autorités de la police du district du Bas-fleuve dont dépend le territoire de Tshela, confirment ces faits. "J’ai moi-même sauvé de justesse une fille de 13 ans que quelques policiers tentaient de marier de force au poste frontalier de Mayili", déclare un officier sous couvert de l’anonymat. Depuis février, huit policiers et deux chefs de villages accusés de se livrer à ce trafic ont été arrêtés. L’un des policiers sous les verrous a tenté de se justifier : "Si nous faisons cela, c’est pour compléter notre maigre solde…", a-t-il déclaré avant la tenue de leur procès. L’affaire est encore au niveau de l’instruction…Depuis 2008, des avis de recherche sur la disparition des filles mineures étaient régulièrement diffusés sur les ondes des radios communautaires locales, sans que cela n’interpelle les autorités. "J’ai dénoncé cette pratique déjà l’année dernière mais personne n’y avait prêté attention", regrette Valentin Vangi de la Société civile du Bas-Congo. L’affaire fait aujourd’hui fait bondir l’Inspecteur provincial de la police, Raus Chalwe, qui exige plus de discipline et de vigilance de ses hommes. "Désormais toute personne qui traverse la frontière avec une fille doit être interpellé et prouver au préalable sa paternité avec elle", tempête-t-il. De nombreuses familles victimes de ces rapts sont dans le désarroi. Certains parents vivent dans la peur de subir des représailles, depuis qu’ils ont eu le courage de dénoncer la disparition de leurs filles au bureau de l’Etat-civil et que des policiers ont été arrêtés. "Je reçois des sms des inconnus qui me promettent la mort…", raconte un père de famille qui a perdu les traces de sa fille de 14 ans. D’autres organisent carrément un deuil au bout d’un temps de recherches infructueuses…"Mariées…sans défense"Rentré récemment d’Angola, un jeune congolais rapporte des témoignages sur quelques filles enlevées qu’il a rencontrées là-bas. Notamment Euphrasie Tsumbu (16 ans), disparue en décembre 2008. "J’ai bavardé avec elle au mois de mars. Pâle, amaigrie, elle cuisinait sous l'oeil vigilant d'un soldat qu'elle m'a discrètement présenté comme étant son mari", affirme-t-il. "Certaines de nos amies sont restées dans ces mariages forcés sans moyen de défense", ajoute Alphonsine Umba, l’une de rares filles rescapées de ce trafic. Elle souhaite qu’une enquête mixte soit vite menée entre la Rd Congo et l’Angola pour, dit-elle, "établir les responsabilités des auteurs de ces actes ignobles."

vendredi 17 avril 2009

FELICITATIONS A Monsieur Ferdinand Kashama pour sa nomination

Félicitations de notre Camarade Jean Joseph Mukendi wa Mulumba à Monsieur Ferdinand Kashama pour sa nomination au poste de coodinateur de l'UDPS-Médias










Monsieur le Coordinateur, Messieurs les Membres,
Le Service Communication &Médias du COC/STOC vous présente ses félicitations pour cette promotion. Nous sommes certains que vous continuez à mettre votre dévouement et vos talents au service du Parti. Nous avons la conviction que vous donnerez le meilleur de vous même pour la réussite du 1er Congrès.
S/e Jean Joseph Mukendi wa Mulumba
Service Communication &Médias du COC/STOC

Toute personne qui décède laisse une succession mais les neveux du défunt ont plus des droits que ses enfants


Makab'oyo esila te. Ba noko na ba neuveux nde bakolo biloko ya muweyi. Muasi na bana na ye baza na droit ata moko te. Eza motema mabe. Na Batone, soki olingi kotia tembe bakolia yo na ba ndoki, yango wana bana ya muweyi na muasi naye bakendeke kofunda te, babangaka coutume na kindoki ya noko. Eza mawa trop.
MEV







Kinshasa, 16/04/2009 / Société
Au Bas-Congo, province où les habitants sont très liés à la coutume, beaucoup de problèmes de succession se posent avec acuité. Ce pendant, les héritiers ne les portent que rarement devant la justice.
Dans la province du Bas-Congo, moins de problèmes de succes­sion sont portés en justice. La cou­tume et la croyance en la sorcellerie dissuadent les héritiers lésés à ester en justice.Le dernier samedi de mois mars 2009, la place du stadium Damar à Matadi, chef-lieu de la province, est noire de monde. Des personnalités diverses prennent part à la veillée mortuaire de Simon Ngiler Buana Kitoko, un journaliste de la Radio Télévision Nationale Congolaise (RTNC), chaî­ne provinciale.Quelques heures après, la dé­pouille mortelle sera acheminée à Kinshasa dans sa famille pour être inhumée. A côté de son cercueil, sont entassés les biens du disparu que sa famille expédiera aussi à Kinshasa.« C’est ce que recommande no­tre coutume », explique un habitant. Pourtant, c’est une pratique qui va à l’encontre du Code de la famille. Celui-ci stipule en son article 175 que « la succession s’ouvre là où le défunt vivait ».Au Bas-Congo, province où les habitants sont très liés à la coutume, beaucoup de problèmes de succes­sion (ensemble du patrimoine de la personne morte, NDLR) se posent avec acuité. Cependant, les héritiers ne les portent que rarement devant la justice. « Un peu moins d’un sur dix cas de succession sont enregistrés au Tribunal de Grande instance », signale Camille Niandu, greffier titu­laire. « Pourtant, rappelle Chenne Lu­zaïsu, avocate au barreau de Matadi, toute personne qui décède laisse une succession ».Coutume et croyance en la sorcellerieHonorine Luzoto, une dame ha­bitant Mbanza-Ngungu, à 245 km de Matadi, a perdu son époux, un enseignant. Elle et ses quatre en­fants ne s’attendaient pas à perdre une bonne partie des biens au profit des neveux de son regretté époux. Se confiant à Dieu, ils ont refusé de porter plainte.Selon les « Bakongo » (originaire du Bas-Congo, NDLR) qui ont matrilinéaires, les neveux du défunt ont plus des droits que ses enfants. Pourtant, « la Code de la famille, en son article 758, attribue 75% de succession aux enfants du défunt nés dans le mariage et ceux nés hors mariage, mais affiliés de son vivant, ainsi que les enfants qu’il a adopté ».Ils sont appelés héritiers de la 1ère catégorie. Les autres héritiers, dont les neveux, se partagent les 25% restants. Parmi les pesanteurs qui dissuadent les gens à se présenter devant les juges, se trouve notam­ment la peur de certaines personnes d’être « mangées » par les sorciers. Selon Chetine Luzaïsu, d’autres cas n’arrivent souvent pas au tribunal parce que des avocats conseillent aux héritiers de les régler à l’amiable. « C’est une façon d’éviter de souiller la mémoire du disparu, déclare l’avocate qui vient de convaincre les 20 héritiers (issus de sept femmes) de la catégorie d’un notable de Matadi d’ester en justice pour entrer en possession de leur héritage.(GM/Milor/Yes)Alphonse Nekwa makwala/Journal du Citoyen

mercredi 15 avril 2009

La volonté du DEFUNT : Une tombe comme une chambre, boisson, ornements etc.

VANITE DE VANITE
Ndeko tala yo moko oyo babengaka vanité de vanité. Moto oyo azalaki na ba lard ya trop, un vuandu koi!. Atiki maloba ke soki akufi basala lilita lokola chambre mpe ba meubler yango. Batia ba masanga na ba mbongo na ba armoirs.
Balalisa ye na mbeto kitoko mpe bazipa ba dales likolo ya lilita mpo mabele esimba ye na nzoto te. Tala yo moko ba photos oyo okokamua!

MEV


Ata basaleli ye boye nzoto naye ekopola kaka. Biloko nyonso oyo bati na lilita akosalela yango te.

Les mesures prises par Ferdinand Kashama, Membre du Comité National de l'UDPS

N/Réf. : UDPS- MEDIAS/002-10/CUM/CA/08

Objet : Note d’information sur la réorganisation des Médias UDPS.


Mesdames et Messieurs, Chers Camarades,

En application de l’Acte N° 06/UDPS/COC-ENP/BKFX/AM/08, la Coordination de l’UDPS- MÉDIAS a tenu deux réunions de travail en date des 05 et 26 octobre 2008 dans une démarche de fiabilisation des outils de communication portant le Label UDPS

pour qu’ensemble nous puissions proposer à la Direction Politique des solutions viables pour l’amélioration de la qualité de nos outils et mettre en place une meilleurs stratégie de communication pour le Parti.

La Coordination remercie les Responsables des Sites et FORUMS ayant pris part à ces réunions tout en regrettant les absences non justifiées des Gestionnaires des sites UDPS.ORG, UDPS.BE, UDPS- LIÈGE et du Forum UDPS-LIST.

En visitant ces différents sites, on peut se rendre à l’évidence que pour un Parti à la dimension de l’UDPS avec toutes les compétences que comptent nos Fédérations, l’image du Parti et de son Chef ne sont pas assez valorisées pour tout visiteur extérieur.

-- Se référant à la décision N° 073/UDPS/PN/08 du 06 août 2008 du Président National qui invitent tous les membres à travailler dans l’unité et l’harmonie tel que stipulé à l’Article Premier, nous citons : Dans l’intérêt supérieur du Parti, tous les membres sont appelés collaborer entre eux et à travailler dans l’unité et harmonie pour la réalisation de ses objectifs ;
-- Considérant la mission qui a été confiée à l’équipe UDPS- MÉDIAS par le COC-ENP ;
-- Considérant que les Médias de l’UDPS doivent être un et indivisibles tant au niveau de la forme que du fond ;
-- Tenant compte des recommandations relatives à la redynamisation et à l’uniformisation des Médias de l’UDPS pour une meilleure visibilité de la démarche politique des Organes Centraux ;
-- Vu l’urgence à la veille du Premier Congrès du Parti et des prochaines échéances électorales qui recommandent que le Parti soit doté de ses propres outils de communication, fiables et de meilleurs qualité, capables de refléter la nouvelle vision et l’approche politique du Parti sur le plan national et international ;
-- Animé par le seul souci de redorer le blason de l’UDPS terni par la gestion privatisée de différents sites et forum en plus de la qualité des informations diffusées sur ces différents médias sans aucun rapport avec les positions officielles du Parti ;

La Coordination de l’UDPS- MÉDIAS porte à la connaissance des Gestionnaires des Sites et Forums portant le Label UDPS qu’elle transmet ce jour à l’Exécutif National du Parti pour disposition, les propositions de réorganisation des outils de communication du Parti tel que décidé par la Direction Politique du Parti conformément à l’esprit de l’Acte N° 06 mettant en place UDPS- MÉDIAS comme structure technique afin de doter le Parti de ses propres outils permettant la fluidité des informations, l’éducation de masse sur les acquis démocratiques et les fondements de la liberté.

A ce titre, les décisions qui seront prises par la Direction Politique du Parti sur base de ces propositions seront opposables à tous étant donné qu’UDPS est une marque déposée.

Veuillez agréer Mesdames et Messieurs, l’expression de nos salutations distinguées.

LA COORDINATION UDPS- MÉDIAS

Ferdinand KASHAMA
Coordinateur

Les Kinois déplorent la disparition des oeuvres d’art qui étaient des repaires historiques pour les passants

Omona wapi balongola ba monuments na biso bakende na yango na mboka mopaya!

Makambo ba Chinois baza kosala eza kokamuisa. Balobaki bakoya na mbongo mpo na kosalisa biso. Lelo Kabila akomi kobimisa mbongo mpe kopesa bango basala n'ango misala. Misal'ango ekomi ya kolongola ba monuments ya boulenard du 30 juin! Ba nzela nyonso oyo ebebabeba bakoki kobongisi
yango te? Oyo nde ba chantiers balobaki?

Ba Chinois bakomi keteka mikate partout! Babalibali ba jeunes filles mikemike, bakomi kobotisa bango bana ebele ebele orke na mboka na bango bapekisa bango kobota bana ebele! Plan nini ba chintoka oyo baza n'ango?








Kinshasa, 13/04/2009 / Société

Ces derniers se demandent, nous sommes un peu inquiets de voir que certains endroits qui nous servaient de repère ont été changés. Il y avait quand même un monument de la paix ici. Où va-t-on l’ériger, pour quelle raison ? On ne sait pas.
Depuis le vendredi dernier, les ingénieurs chinois sont passés à l’asphaltage de la chaussée, au départ du croisement boulevard du 30 juin, avenue Batetela, en direction de la gare centrale à Gombe. Seulement, des Kinois déplorent la disparition des oeuvres d’art qui étaient des repaires historiques pour les passants.C’est depuis fin janvier que les travaux de réhabilitation du boulevard du 30 juin ont commencé. Selon le vice-premier ministre chargé de la reconstruction, c’est le gouvernement congolais qui finance ces travaux exécutés par une entreprise chinoise. Cependant, s’ils apprécient les travaux, certains kinois, se plaignent de la disparition des ouvrages d’art. Tel ce passant qui l’explique, pour le monument du rond point Mandela : « Nous sommes un peu, inquiets de voir que certains endroits qui nous servaient de repère ont été changés. Il y avait quand même un monument de la paix ici. Mais on l’a déboulonné. Où va-t-on l’ériger, pour quelle raison ? On ne sait pas. »Le gouvernement justifie cette situation par le souci de modernisation du boulevard du 30 juin. Professeur Emile Bongeli, vice 1er ministre chargé de la reconstruction, explique : « Tout ce qui se fait là, c’est parce qu’on doit refaire la route selon des normes modernes. Les arbres qui seront replantés répondront aux normes modernes. Tout ce qui va être mis à là-bas, ce seront de belles oeuvres que les gens pourront venir admirer. » La même autorité déclare que les travaux vont se terminer dans quelques semaines.En attendant, le monument de la colombe de la paix, en mémoire de Nelson Mandela, se trouve sur l’avenue de la justice, juste en diagonale du collège Boboto.(Milor/GM/PKF)Le Palmarès

jeudi 9 avril 2009

Oyoki ndenge esuaka!!!

Bakonzi ya biso ya Afrika mosala na bango koboma, kobomisa. Ye moko Sassou aboma boni? Lelo oyo ayoki ndenge esuwakaeeee!!!!!!!!!!!!!Lelo ayoki ndenge ba famili mingi oyo abumisa ba ndeko bayokakaeeee!!!!!!!!!!!
Mes condoléances mon président.

MEV

CONGO-BRAZZAVILLE : IL VOUS ARRIVE AUSSI DE PLEURER MONSIEUR LE PRÉSIDENT.
C’est difficile à croire. Voir le très fort et tout puissant président de la République du Congo pleurer, soutenu par deux femmes, prouve qu’il s’agit bien d’un être humain, de chair et de sang. Monsieur Sassou N’Guesso pleure sa fille Edith Lucie Bongo Ondimba, épouse du président gabonais Omar Bongo Ondimba, décédée le samedi 14 mars 2009 à Rabat, au Maroc.

Sassou, un dictateur congolais pleurant sa fille Edith Lucie Bongo lors des obsèques officielles à Libreville Sassou et Bongo, deux dictateurs unis dans la tristesse, lors des obsèques officielles à Libreville de Edith Lucie Bongo (fille de Sassou et épouse de Bongo)

Cette photo me rappelle bizarrement la guerre sanglante de 1997 au Congo/Brazzaville. Je me souviens des coups de feu, des obus traversant le fleuve et faisant des victimes sur certaines habitations à Kinshasa, mais aussi de tous ces gens qui ont traversé la frontière pour se réfugier à Kinshasa.
A cette époque, le général Sassou, avec l’aide des forces tchadiennes et des forces supplétives de l'armée angolaise, fait la guerre à Pascal Lissouba, qui l’avait battu aux élections cinq ans plus tôt.
Je me souviens de tous les enfants qui se retrouvaient tous seuls dans les rues de Kinshasa, une ville qu’ils ne connaissaient pas, leurs parents ayant péri dans une guerre dont les intérêts n’étaient connus que des belligérants.
Toutes mes condoléances, monsieur le Président, pour la disparition de votre fille. Je comprends votre peine et j’espère que vous réalisez au moins ce qu’ont ressenti tous ces parents qui ont perdu leurs enfants pendant la guerre qui vous a ramené au pouvoir.
J’espère que vous vous rendez aussi compte que l’argent, le pouvoir, les villas et voitures de luxe en France n’ont pas aidé à sauver votre fille. Le fait qu’elle ait été admise dans un hôpital 5 étoiles au Maroc n’a rien changé non plus. Son heure était venue et elle s’en est allée, comme tous ces Congolais lambda qui n’ont pas accès aux soins de santé les plus élémentaires et qui

meurent dans le silence.

Papa président, mari président. Deux croco qui ont besoin de sang à boire chaque année. Chance ya survie eza très mince.

















Que ton AME REPOSE EN PAIX Edith.

mardi 7 avril 2009

Il n'est donc pas étonnant de rencontrer des femmes à deux ou trois couleurs de peau

Likambo ya ''tshoko'' toloba tolemba. Tango nalekaka na nzela nomonoko ba mama mosusu poso ekomi lokola ya likododo. Ba mosusu bakoma na ba mbata na matama, moyen ba produits esalisa eza lisusu te. Nyonso wana kaka mpo na koluka pembe na makasi. Akoki kozanga bilei ya kolia kasi azanga produit ya kopakola te. Eza mawa tro.


Le phénomène de la dépigmentation de la peau en Afrique noire
Il n'est donc pas étonnant de rencontrer des femmes à deux ou trois couleurs de peau. Les plus malchanceuses se retrouvent avec un visage brûlé au second degré, des tâches et points noirs sur le corps, des vergetures sur les seins, poitrine et cuisses...

U commencement, il y avait en Afrique Noire, des femmes au teint couleur de café grillé, des femmes couleur banane d'or, des femmes couleur terre des rizières. Aujourd'hui, lorsqu'on se promène dans la plupart des villes africaines, on remarque que les femmes au teint noir sont en voie de disparition.
La majeure partie de nos sœurs pratiquant la dépigmentation de la peau communément appelée "tchatcho" au Mali ; « bojou » au Bénin, « xeesal » au Sénégal et « kobwakana » ou « kopakola » dans les deux Congo. Il n'est donc pas étonnant de rencontrer des femmes à deux ou trois couleurs de peau. Les plus malchanceuses se retrouvent avec un visage brûlé au second degré, des tâches et points noirs sur le corps, des vergetures sur les seins, poitrine et cuisses... Les motivations sociologiques profondes qui sous-tendent un tel phénomène, les multiples conséquences socioculturelles, économiques et surtout cliniques sont autant de prétextes qui ralentissent souvent la lutte contre la pratique de dépigmentation.
L'ampleur de ce nouveau phénomène de société nous a poussés à nous intéresser à la question.
Le phénomène de dépigmentation de la peau est apparu en Afrique à la fin des années 60. L'éclaircissement de la peau par différents procédés est pratiqué dans plusieurs régions d'Afrique, mais les principaux pays touchés par ce phénomène sont le Togo, le Sénégal, le Mali, le Congo (où beaucoup d'hommes s'éclaircissent la peau également) et l'Afrique du Sud.
Il semblerait que près de 90% des femmes qui utilisent des produits éclaircissants le font pour un ordre esthétique. Plusieurs personnes invoquent le fait que si les femmes s'éclaircissent la peau c'est pour l'unique raison que les femmes sont persuadées que les hommes préfèrent les femmes claires, un peu comme on avait l'habitude d'entendre que les hommes préfèrent les blondes.
C'est à se demander si cette pratique est saine… Pour Ferdinand Ezembe, psychologue à Paris spécialisé dans la psychologie des communautés africaines : « Cette attitude des noires par rapport à la couleur de leur peau, procède d'un profond traumatisme post-colonial. Le blanc, symbolisé par sa carnation, reste inconsciemment un modèle supérieur. Pas étonnant dans ces conditions qu'un teint clair s'inscrive effectivement comme un puissant critère de valeur dans la majeure partie des sociétés africaines. D'ailleurs, ce sont les pays aux passés coloniaux les plus brutaux qui affichent le plus une attirance pour les peaux claires. Dans les deux actuels Congo, même les hommes s'y mettent et travaillent, comme leurs compagnes, à parfaire leur teint. Il faut même rajouter à cela, l'influence majeure du christianisme en Afrique. La représentation exclusivement blanche des grandes figures de la bible a forcément affecté les peuples noirs dans leur inconscient. Cette idée est renforcée par l'allégorie des couleurs dans l'univers chrétien, basée sur des oppositions entre le clair et l'obscur, les ténèbres et les cieux, où le noir s'oppose toujours à la pureté du blanc. Ce phénomène est si profond qu'il va même plus loin que le simple blanchiment de la peau. On remarque beaucoup de femmes Africaines qui se défrisent les cheveux, qui portent des perruques pour avoir les cheveux lisses comme les occidentaux. Le complexe est là. C'est un peu facile de dire qu'un noir qui se teint les cheveux en blond n'est agit que par une simple mode. Ce qu'il y a, c'est que les africains n'assument pas des attitudes qui sont souvent inconscientes. Toutes les sociétés noires subissent le joug d'un culte de la blancheur. Les Africains ne se sont pas affranchis d'un poids colonial qui pèse de tout son poids sur leur propre identité ».

Pourquoi ce choix ?
Le choix de recourir à la dépigmentation par les femmes africaines n'est pas un choix libre. Car ces femmes subissent une forte influence. Si ce ne sont pas les amies, c'est le conjoint qui les poussent à acheter le premier tube...

SYSTEME YA KONDOKO

Ya solo tokomi na mikolo ya suka mpo makambo tokoki komono yango te. Bana mikemike ya basi, bakomi kowelela batata mibimba lokola marchandises na libongo! Soni batekakoteka batikala pamba! Ezala na N'djili, Limete, Lemba, Makala to Selembao situation eza kaka ndenge moko. Babombanibombani na molili, soki bamoni moto babimi lokola ba imbwa balingi kosuwa moto. Ba policiers oyo batindi mpo na kobengana bango bakomi ko se servir ndenge balingi, mawa!


« Sodome et Gomore » version congolaise
(A.Vungbo )
L’affaire fait de nouveau grand bruit à l’entrée de la commune de N’djili.
Il n’est pas rare de voir ces jeunes filles en tenue qui frisent l’indécence, se jeter à corps perdu sur un homme, telle une marchandise comme cela se passe dans nos ports et arrêts de bus.

En effet, on croyait le phénomène totalement disparu avec la présence dissuasive des éléments de la police présents pour sécuriser le terrain, après l’opération coup de poing initiée à l’époque par l’ancien gouverneur de la ville de Kinshasa, Jean Kimbunda. Opération dont l’objectif était de débarrasser Kinshasa de nombreux bars et débits de boisson.Malheureusement, c’était sans compter avec la témérité de jeunes prostituées qui battent le pavé à cet endroit à des heures indues et qui ont transformé ce bois en lieu de passe. La population du coin se plaint de plus en plus de la multiplication des actes d’atteinte aux mœurs et à la pudeur à répétition qui se passent en ce lieu au vu et su de nombreux habitants. Il n’est pas rare de voir ces jeunes filles en tenue qui frisent l’indécence, se jeter à corps perdu sur un homme, telle une marchandise comme cela se passe dans nos ports et arrêts de bus, question d’arracher ses faveurs. Cette manière d’opérer baptisée par les habitués « système ya Kondoko », est aujourd’hui un gagne-pain pour ses jeunes filles qui attendent patiemment dans les nombreux « nganda » d’en face. Une fois, le client accroché, c’est sous les eucalyptus, baptisés « Sodome et Gomore » que tout se règle.
Face à ce marché qui indigne plus d’un Ndjilois, certains habitants dénoncent une certaine complicité tacite des éléments de la police qui ferment les jeux moyennant des espèces sonnantes et trébuchantes. Et cela est de notoriété publique La dernière victime en date se nomme Claude B qui tient une maison de publicité le long du boulevard Lumumba du côté du quartier 1 Masina. Selon cette victime qui s’est confiée au Phare, sa mésaventure est survenue mardi 31 mars autour de 22 Heures. Alors qu’il longeait seul ce coin sombre, il a été pris d’assaut par trois jeunes filles qui l’ont brutalisé sans ménagement. L’une d’elles s’est dévêtue avant de tenter déshabiller à son tour sa victime. Et l’infortuné n’a eu la vie sauve que grâce à ses cris de détresse qui ont alerté tout le voisinage.Par crainte d’une poursuite, la meute s’est dispersée. Et pourtant, il y a de cela quatre ans, les recommandations du Forum pour le développement de N’djili sont restées lettre morte. Surtout en ce qui concerne l’éradication de ce phénomène par le bourgmestre de l’époque Makengo Tuluka.. Cependant, on enregistre un peu partout dans la ville le retour en force de ce phénomène qui a tendance à prendre de l’ampleur. Notamment à Kingabwa, au centre commercial de Limete , à Lemba Super non loin de l’hôtel l’Avenir. Aux autorités de sévir.
2009-04-02

Attention!!!!!!!!!

Papa Simon Kimbangu: un vraie prophète de Dieu
Tozongeli likambo oyo mpo na kokebisa population. Eglise kimbanguiste etikali kosalema sima ya liwa ya papa Simon Kimbangu. Ye moko azalaka chretien, mondimi ya solo mpe prophete ya solo. Bana naye batikali, bachanger makambo, bakomisi ye Nzambe. Bango moko, mpo opesa ye mbote esengeli ofukama, okoki kosolola naye debout te. Lelo ba koko naye balobi ke Noel na bango echanger eza lisusu mbotama ya Yesu te ekomi mbotama ya moko na bango. Toza kokende wapi?







Papa Simon Kimbangu: un vraie prophète de Dieu
Les tensions observées entre les différentes tendances de l’église Kimbanguiste ne font pas honneur à Papa Simon Kimbangu.


Kinshasa, 26/05/2004 / Société
Les Kimbanguistes ont fęté Noël hier, 25 mai 2004. C’est depuis prčs de 3 ans que les Kimbanguistes ont commencé ŕ fęter Noël le 25 mai au lieu du 25 décembre. Ceci sortirait d’une déduction faite par les fidčles kimbanguistes le 25 mai 2000 lorsque Papa Dialungana, qui fętait son anniversaire de naissance cria ŕ trois reprises « Noël, Noël, Noël ». Les Kimbanguistes ont trouvé en cela l’explication de ce que leur disait auparavant Papa Diangenda qu’ils découvriraient un jour la véritable date de la naissance du Christ
Rameaux en mains, les visages joyeux et criant ŕ tue-tęte « Noël », des milliers de kimbanguistes se sont dirigés sur l’avenue Monkoto ŕ Ngiri Ngiri et au Centre d’Accueil pour célébrer la naissance de Jésus Christ.
Prophète biologique
Et comme il fallait s’y attendre, le schisme intervenu chez les adeptes de Simon Kimbangu a été largement évoqué ce mardi 25 mai 2004. Pourront-ils un jour retrouver leur unité? En tout cas, certains kimbanguistes le croient. En attendant, c’est avec force détails qu’ils se sont ingéniés ŕ expliquer pourquoi ils fętent Noël au mois de mai de chaque année.
Interrogé par Le Phare, le Révérend Sakuameso Matambuta, le n°1 de l’Eglise kimbanguiste dans la capitale s’est de bonne grâce pręté ŕ cet exercice.
S’agissant de la date du 25 mai, il a rappelé que depuis la reconnaissance
officielle de leur communauté, les Kimbanguistes célébraient Noël le 25 décembre. Mais Diangenda leur disait toujours ceci qu’ils finiraient par découvrir un jour la véritable date de la naissance du Christ. Un certain 25 mai 2000, date anniversaire de la naissance de Dialungana, ce dernier avait pris la parole et répété Noël trois fois. Ce message avait interpellé les Kimbanguistes. Ces derniers rappellent qu’au regard des écrits bibliques, il est clairement démontré que l’ange Gabriel avait annoncé ŕ Marie la nouvelle de la naissance du Christ au sixičme mois. Or, selon le calendrier juif, cette période correspond au mois de septembre. Jésus devrait donc naître l’année suivante mais au mois de mai.

lundi 6 avril 2009

Cycle court

Ba melanges bakomi kosala na lutuku eza ya kokamua. Bakomi kosangisa na ba kasa ya liamba mpo eya makasi elanguisa bato noko. Simba to tembo?



Lubumbashi: Lutuku, l’alcool qui noie les soucis et ses consommateurs
Souvent situées derrière des demeures des quartiers périphériques de Lubumbashi, noircies par la fumée permanente, des installations rudimentaires de distillation d’alcool de maïs servent de lieu de retraite pour plusieurs Lushois.
Par dizaines, des jeunes désœuvrés, des employés journaliers de diverses usines, des travailleurs d’entreprises publiques insuffisamment et irrégulièrement rémunérés se fixent rendez-vous sous des paillotes, dans des cabanes destinées à la consommation de l’alcool indigène appelé “Lutuku”.
Toutes les affaires se discutent dans ces lieux de rencontre un peu particuliers : sport, politique, vie des peoples, … Assez fréquemment, la bagarre clôture les discussions de ceux qui ne savent trouver un compromis après leur discussion. Les maisons de Lutuku sont généralement tenues par des femmes souvent âgées. Elles gagnent leur pain quotidien au prix des propos souvent désobligeants à supporter de la part de leurs clients et des risques d’actes de vandalisme caractérisant les consommateurs du Lutuku.
« La distillation et la vente du Lutuku est ma seule source de revenus », confirme Mamu Mwadi, veuve que j’ai trouvé derrière sa maison en pleine opération de distillation.
N’allez pas poser des questions sur la teneur en alcool de ce breuvage, personne ne saura vous répondre. Les autorités publiques ont plusieurs fois essayé en vain d’en interdire la vente, à cause de sa nuisance sur la santé des consommateurs et des fabricants. « Lorsque je prend du Lutuku, je me sent soulagé et même déchargé de tous problèmes qui me semble être difficiles à résoudre à cause de mes maigres moyens », confie Mr Bruno Kankolongo, fidèle client de Mamu Mwadi.
Quoi de plus facile pour le buveur Lushois de pouvoir noyer ses soucis du quotidien dans l’alcool à 250 Francs Congolais, soit près de 0,3 $US ? Les conséquences du lutuku sur la santé de ses consommateurs ne se font pas attendre longtemps. Et là, plutôt que de se contenter de noyer les soucis, cet alcool artisanal finit souvent par noyer aussi son consommateur.

dimanche 5 avril 2009

Chaque fille a déjà un mari dans la famille de son père. "Pour conserver la souche de la famille

Kobala muana ngashi eza malamo mbala mosusu mpo au lieu bandeko ya famili batula bakozua mobali mpe boyebani bizaleli na kati ya famili. Bana basi bakomi kosala mutu makasi, bakomi koboya libala na kati ya famille. Coutume eza eloko ya kosakana n'ango te.


Bandundu : le mariage consanguin recule




RD Congo Badylon Kawanda



Les jeunes filles du Bandundu, proche de Kinshasa, refusent de plus en plus souvent de se marier à un homme de la famille de leur père comme le veut la coutume. Certains parents préfèrent aussi maintenant "vendre" leurs filles à meilleur prix…"Beto zolaka ve kukanga chance ya mwana ne beto (Nous n’avons pas voulu empêcher notre fille de saisir sa chance)" ", explique en kikongo mâtiné de français, Modeste Mpenteng, entouré des vieux sages de sa famille. Ce père de famille tenait ce discours à Kikwit, ville commerçante de la province de Bandundu à environ 500 km de Kinshasa, lors du versement de la dot pour le mariage de sa fille. Le prétendant n’était pas de la famille de Modeste, dont la coutume veut pourtant que l’on donne à une fille un mari dans la famille du père. Cette pratique, appelée Kitchuil commence, en effet, à être abandonnée par certains parents des tribus Yansi, Mbala et Ambun de la province qui respectaient jusque-là scrupuleusement cette vieille tradition. Basée sur un principe appelé Ekwoon (système bananier) ou Muking alél ibà (la liane inséparable du palmier), cette coutume prône le raffermissement des relations familiales. Suivant cette tradition, chaque fille a déjà un mari dans la famille de son père. "Pour conserver la souche de la famille…", explique Benjamin Bitabor Luzingu, un sage yansi. Selon les croyances ancestrales, ceux qui s’opposent à cette forme de mariage encourent des risques : stérilité, mort, myopie et autres malédictions. "Ma fille avait refusé cette histoire et depuis, elle ne met plus jamais au monde", avoue Pombo Marie, une habitante de Kikwit. Mais ils oublient de dire que ces mariages consanguins sont aussi risqués que les enfants qui en sont issus peuvent avoir des malformations génétiques.Les filles se libèrentAvec le temps, cependant, cette coutume tombe peu à peu en désuétude. Les filles qui ont été à l’école et qui vivent en milieu urbain la rejettent vigoureusement. "C’est dégradant et dépassé, ce système-là. Je suis libre de choisir mon partenaire conjugal", soutient Chantal Mutshumalala, une diplômée en sciences infirmières et hospitalières, qui a refusé fermement le mari que lui proposaient ses parents. Ne pouvant l’y contraindre, ces derniers ont dû rembourser la petite dot qu’ils avaient déjà perçue de son prétendant. La révolte des filles est d’autant plus vigoureuse que les hommes qu’on leur donne en mariage ne répondent pas toujours à leurs attentes. "Celui qu’on m’a proposé n’était pas de mon goût et était très avancé en âge", fulmine Ester Tabala, 29 ans, qui a dû, elle aussi, dire fermement non à ses parents. Les hommes aussi regimbent. Enseignant à l’Institut Way-Way de Kikwit, Lily Mumba a notamment divorcé d’avec son épouse, une Kitchuil comme on les appelle couramment. "Elle me manquait du respect, au motif que je l’avais eue gratuitement…", explique-t-il. Même certains parents ne veulent plus de ce mariage familial, car la dot versée lors de ce type de mariage est souvent symbolique. Appelée Buluum, elle est généralement constituée de cinq litres de vin de palme et d’un peu d’argent (un dollar américain). Mais aujourd’hui, avec l’évolution de la société, les filles sont de plus en plus considérées comme une richesse pour leurs familles. La dot exigée à la famille du mari dépasse parfois les 1000 $ en ville. "Je n’avais rien gagné lorsque ma fille était donnée en mariage comme Kitchuil et je veux que ce système disparaisse. Que les parlementaires adoptent une loi dans ce sens", tempête Jean-Pierre Nsangate, un père de famille de 49 ans. Une forme de violence sexuelleMême si, à l’état-civil, ce mariage consanguin est enregistré sans problème, Géraldine Mazina du Centre culturel Mwinda de Kikwit, l’assimile à l’inceste. "Pourquoi les gens d’une même famille doivent-ils se marier entre eux ? ", interroge-t-elle, claquant les mains en signe de désapprobation. Elle pense qu’avec le brassage de cultures, "ces histoires doivent changer."Activiste des Droits de l’homme, Me Valentin Mbalanda se dit "choqué" par cette coutume. "C’est une violence faite à la femme, car ce genre de mariage est souvent forcé et précoce", affirme-t-il. Il précise que cette tradition va à l’encontre de la nouvelle loi de 2006, qui considère le mariage forcé comme une forme de violence sexuelle. Selon cette loi, l’auteur d’un tel acte encourt une peine allant de 1 à 12 ans de servitude pénale, et est contraint de payer une amende d’au moins 100 000 Fc (environ 200 $). Mais "vendre" les filles à celui qui apporte une grosse dot plutôt que l'offrir gratuitement à un membre de sa famille est une autre forme d'aliénation des femmes…

samedi 4 avril 2009

DV: Tembe na ba Chinois


Bandeko na biso ba DV (Kasaiens) bafongoli ya bango 6e chantier, lokola daimants aza kopesa bango lisusu mosolo ya kodondua na yango te, bamemi ba motos nyonso ya Kananga na ya Mbuji-Mayi ekiti Kin. Ba motos yonso oyo bazalaki kokende n'ango na diamants ekomi kosala moto-taxi na Kin. Kende otala na croisement ya avenues Assossa na Makanza okokuta bango esika wana, tshiluba eza kotoko, mawa! Ba ex-diamantaires bakotelikoteli ba misala mikemike nyonso boyebi wana. Tembe na ba Chinois. Fransa franga?
MEV

DEGRADATION DE LA VOIRIE, LES KINOIS SE LANCENT DANS LES MOTOS-TAXIS
Au croisement des avenues Assossa et Makanza, se trouve le salut. Cinquante motos sont par­quées leurs conducteurs, on une particularité : ils échangent tous en tshiluba (une des quatre langues nationales de la Républi­que démocratique du Congo, parlée dans les deux provinces du Kasaï : NDLR). Ce sont des an­ciens creuseurs et acheteurs du diamant d’exploitation artisanale. Une Kinoise de naissance les taquine : « Bosuki, diamant na bino esili, sik’ oyo bokumi na tukutuku (Ndlr c’est fini pour vous, votre diamant a tari et vous êtes maintenant dans les motos) ».

Kinshasa, 02/04/2009 / Société
Mère mata noki tokende ko!
Le transport en commun sur des motos, bientôt, les engins à deux roues envahiront toutes les provinces congolaises.
A cause de la vétusté de la voire urbaine, les taxis motos, une pratique en vogue dans l’Afrique de l’Ouest, sont en passe de de­venir le moyen de transport le plus prisé dans certains coins du Congo démocratique. Et les Kasaïens en sont les grands arti­sans. A Kinshasa, le gouverneur André Kimbuta Yango n’a pas tenu ses promesses, la plupart d’artères principales sont deve­nues impraticables. Les habitués du trajet qui mène du marché Bayaka de la commune de Ngiri-­Ngiri juqu’à la maison commu­nale de Bumbu l’accusent même d’avoir aggravé l’état de leurs routes avec ses tranchées en terre inachevées. C’est donc avec joie que les habitants ont accueilli avec joie l’apparition des motos taxis.
Ce lundi 30 mars 2009, il a plus sur la ville-province, femmes et hommes pataugent dans la boue. Les véhicules ne peu­vent pas s’y risquer. Mais au croisement des avenues Assossa et Makanza, se trouve le salut. Cinquante motos sont par­quées leurs conducteurs, on une particularité : ils échangent tous en tshiluba (une des quatre langues nationales de la Républi­que démocratique
du Congo, parlée dans les deux provinces du Kasaï : NDLR). Ce sont des an­ciens creuseurs et acheteurs du diamant d’exploitation artisanale. Une Kinoise de naissance les taquine : « Bosuki, diamant na bino esili, sik’ oyo bokumi na tukutuku (Ndlr c’est fini pour vous, votre diamant a tari et vous êtes maintenant dans les motos) ». L’un des motocyclis­tes rétorque : « Baninga Bazali kosala mbongo no ba motos. bino bana Kin bozali kolala (Quand les uns amassent l’argent grâce aux motos, vous les vrais kinois vous êtes dis­traits) ».Ces intrépides font sourde oreille aux invectives du genre : « Ces Balubas exagèrent ». Ils crient à tue-tête : « Commune ya Bumbu..., commune ya Bumbu 300 Fc ». Et cela, pour une dis­tance d’environ trois kilomètres. Ici, il y a toutes marques de motos.Chaque motocycliste transporte deux passagers. Le plus difficile est de se frayer la voie. C’est ainsi que ces engins débordent même dans les véran­das de certaines parcelles. Ce qui leur attire une pluie d’insultes. Malgré cela, ils ne désarment pas et pétaradent à tout vent.Mais cela ne va pas sans risque, les passagers sont obligés de descendre aux endroits les plus dangereux et on enregistre parfois des chutes Aussi certains maris deviennent jaloux quand ils observent comment leurs con­jointes sont étreintes aux reins par les passagers mâles.
Mardi 31 mars 2009, ces hommes entreprenants étaient en train d’entreprendre un travail de génie sur l’avenue Katanga, aux confins des com­munes de Ngiri-Ngiri et Bumbu. Certains avaient des bêches, d’autres transportaient des sacs remplis de terre. En effet, ils étaient en train d’aménager une voie pour le passage de leurs engins.Voila ce qui reste à faire là où l’Office de la voirie urbaine (O.V.D.) et l’Hôtel de ville de Kinshasa ont failli. Il faut souli­gner que ce genre de transport est aussi pratiqué sur l’avenue Elengesa dans la commune de Makala et au quartier Kingabwa de la commune de Limete.(Milor/GM/PKF)Donatien Ngandu Mupompa/Le Potentiel