lundi 16 novembre 2009

Les deuils sont devenus un lieu de débauche où les hommes viennent rencontrer les femmes et vice versa


Kinshasa

Les femmes trouvent les astuces pour valoriser leurs seins


Avoir une forte poitrine n'est plus ridicule à Kinshasa. L'arrivée de Makoma et celle de Nastou, actrice de la série télévisée " Ma famille " à Kinshasa, a incité les kinoises à valoriser leurs seins. Depuis cette période, les femmes congolaises à la poitrine proéminente se sentent à l'aise quand elles sont interpellées à travers les rues. A entendre certaines, avoir une forte poitrine est une fierté ou encore une richesse que les autres n'ont pas. Les «Nastou» ou encore les «Makoma» s’habillent plus décolletée pour mettre en exergue leur poitrine. La question qui se pose est de savoir comment s'habiller Le corps d'une femme est synonyme de volupté et de chaleur. Il suffit de s'habiller léger, chic sans jamais tomber dans la vulgarité. Voici quelques conseils et modèles d'un spécialiste.


Les deuils sont devenus un lieu de débauche où les hommes viennent rencontrer les femmes et vice versa. Les relations de concubinage naissent et renaissent.
Le Deuil engendre une tristesse causée par la mort d’un proche (Un frère, une sœur, un père, une mère ou d’une connaissance). Jadis, dans la marche du deuil, il y régnait une discipline totale même chez les amis et connaissances qui venaient assister la famille éprouvée, même chez les membres propres de la famille. Le respect du mort se faisait remarquer sans aucun commentaire ce qui n’est plus le cas aujourd’hui à Kinshasa.En comparaison aux années passées, nous remarquons que l’évolution des mœurs étant tel que le respect des morts n’existe plus. Le nombre de décès et l’érosion du tissu social sont tels qu’ils banalisent le deuil.De surcroît, il devient un événement banal où les liens familiaux et les traditions se perdent. L’habillement, qui traduisait la circonstance, est devenu déplorable de la part des jeunes filles qui rivalisent entre elles et cherchent à se vêtir de manière la plus sexy, s’exposant presque nues.Cet habillement inapproprié est choquant et provoque des préoccupations auprès de certaines personnes. Il peut parfois pousser à adopter des comportements immoraux dans pareils endroits. En effet, nous assistons à des scènes immorales où les jeunes filles et garçons se promènent à moitié nus portant des pantalons tailles basses laissant voir leurs sous-vêtements ou même les parties les plus intimes. Surtout chez la jeune fille qui est appelée à garder son corps uniquement pour la personne qui la prendra en mariage.La vocation première du deuil, c’est-à-dire compatir et assister la famille éprouvée, est devenue malheureusement un endroit de fête. C’est-à-dire les gens viennent boire, manger, danser, et trouver un compagnon.Un milieu incontrôlé où les insanités, les chansons et danses obscènes sont tolérées au vu et au su de tout le monde. Le Deuil est devenu un lieu de rencontre et de l’accroissement de la prostitution.Les deuils sont devenus un lieu de débauche où les hommes viennent rencontrer les femmes et vice versa. Les relations de concubinage naissent et renaissent. Aujourd’hui, les deuils sont devenus impersonnels, on prend en location un lieu pour exposer le corps du défunt pendant une durée déterminée.Parmi ces endroits nous citerons entre autres: La place YMCA ou place du 4 Janvier (Stadium), la place Moto na Moto Abongisa de Bandal, les maisons communales, la Salle du Zoo, la salle du Jardin Botanique de Kinshasa.- Un autre fait à retenir est que le jour de l’enterrement, les gens adoptent un nouveau système qui est celui de porter l’uniforme que ça soit du côté de la famille, des amis du quartier ou les collègues de service pour enfin aller clôturer l’événement dans les bars.Jeunes, comportons-nous bien et habillons-nous convenablement dans les milieux de deuil car le respect du mort est indispensable et ce chemin nous est tous réservé.Le Palmarès

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