Oyoki ndenge esuaka!!!
Bakonzi ya biso ya Afrika mosala na bango koboma, kobomisa. Ye moko Sassou aboma boni? Lelo oyo ayoki ndenge esuwakaeeee!!!!!!!!!!!!!Lelo ayoki ndenge ba famili mingi oyo abumisa ba ndeko bayokakaeeee!!!!!!!!!!!
Mes condoléances mon président.
MEV
CONGO-BRAZZAVILLE : IL VOUS ARRIVE AUSSI DE PLEURER MONSIEUR LE PRÉSIDENT.
C’est difficile à croire. Voir le très fort et tout puissant président de la République du Congo pleurer, soutenu par deux femmes, prouve qu’il s’agit bien d’un être humain, de chair et de sang. Monsieur Sassou N’Guesso pleure sa fille Edith Lucie Bongo Ondimba, épouse du président gabonais Omar Bongo Ondimba, décédée le samedi 14 mars 2009 à Rabat, au Maroc.
Sassou, un dictateur congolais pleurant sa fille Edith Lucie Bongo lors des obsèques officielles à Libreville Sassou et Bongo, deux dictateurs unis dans la tristesse, lors des obsèques officielles à Libreville de Edith Lucie Bongo (fille de Sassou et épouse de Bongo)
Cette photo me rappelle bizarrement la guerre sanglante de 1997 au Congo/Brazzaville. Je me souviens des coups de feu, des obus traversant le fleuve et faisant des victimes sur certaines habitations à Kinshasa, mais aussi de tous ces gens qui ont traversé la frontière pour se réfugier à Kinshasa.
A cette époque, le général Sassou, avec l’aide des forces tchadiennes et des forces supplétives de l'armée angolaise, fait la guerre à Pascal Lissouba, qui l’avait battu aux élections cinq ans plus tôt.
Je me souviens de tous les enfants qui se retrouvaient tous seuls dans les rues de Kinshasa, une ville qu’ils ne connaissaient pas, leurs parents ayant péri dans une guerre dont les intérêts n’étaient connus que des belligérants.
Toutes mes condoléances, monsieur le Président, pour la disparition de votre fille. Je comprends votre peine et j’espère que vous réalisez au moins ce qu’ont ressenti tous ces parents qui ont perdu leurs enfants pendant la guerre qui vous a ramené au pouvoir.
J’espère que vous vous rendez aussi compte que l’argent, le pouvoir, les villas et voitures de luxe en France n’ont pas aidé à sauver votre fille. Le fait qu’elle ait été admise dans un hôpital 5 étoiles au Maroc n’a rien changé non plus. Son heure était venue et elle s’en est allée, comme tous ces Congolais lambda qui n’ont pas accès aux soins de santé les plus élémentaires et qui
C’est difficile à croire. Voir le très fort et tout puissant président de la République du Congo pleurer, soutenu par deux femmes, prouve qu’il s’agit bien d’un être humain, de chair et de sang. Monsieur Sassou N’Guesso pleure sa fille Edith Lucie Bongo Ondimba, épouse du président gabonais Omar Bongo Ondimba, décédée le samedi 14 mars 2009 à Rabat, au Maroc.
Sassou, un dictateur congolais pleurant sa fille Edith Lucie Bongo lors des obsèques officielles à Libreville Sassou et Bongo, deux dictateurs unis dans la tristesse, lors des obsèques officielles à Libreville de Edith Lucie Bongo (fille de Sassou et épouse de Bongo)
Cette photo me rappelle bizarrement la guerre sanglante de 1997 au Congo/Brazzaville. Je me souviens des coups de feu, des obus traversant le fleuve et faisant des victimes sur certaines habitations à Kinshasa, mais aussi de tous ces gens qui ont traversé la frontière pour se réfugier à Kinshasa.
A cette époque, le général Sassou, avec l’aide des forces tchadiennes et des forces supplétives de l'armée angolaise, fait la guerre à Pascal Lissouba, qui l’avait battu aux élections cinq ans plus tôt.
Je me souviens de tous les enfants qui se retrouvaient tous seuls dans les rues de Kinshasa, une ville qu’ils ne connaissaient pas, leurs parents ayant péri dans une guerre dont les intérêts n’étaient connus que des belligérants.
Toutes mes condoléances, monsieur le Président, pour la disparition de votre fille. Je comprends votre peine et j’espère que vous réalisez au moins ce qu’ont ressenti tous ces parents qui ont perdu leurs enfants pendant la guerre qui vous a ramené au pouvoir.
J’espère que vous vous rendez aussi compte que l’argent, le pouvoir, les villas et voitures de luxe en France n’ont pas aidé à sauver votre fille. Le fait qu’elle ait été admise dans un hôpital 5 étoiles au Maroc n’a rien changé non plus. Son heure était venue et elle s’en est allée, comme tous ces Congolais lambda qui n’ont pas accès aux soins de santé les plus élémentaires et qui
meurent dans le silence.
Papa président, mari président. Deux croco qui ont besoin de sang à boire chaque année. Chance ya survie eza très mince.
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