Les femmes au teint noir sont en voie de disparition
Ba Africaines bakomi koyokisa biso soni, baboyi loposo Nzambe apesa bango balingi bakoma ba mindele kasi tala ndenge loposo ekomi.
Khessal ou le phénomène de la dépigmentation de la peau en Afrique noire
« Femme nue, femme noire Vêtue de ta couleur qui est vie, De ta forme qui est beauté J'ai grandi à ton ombre ; Et voilà qu'au cœur de l'Eté et de Midi, Je te découvre, Terre promise, du haut d'un haut col calciné Et ta beauté me foudroie en plein coeur, comme l'éclair d'un aigle Femme nue, femme noire Je chante ta beauté qui passe, forme que je fixe dans l'éternel Avant que le destin jaloux Ne te réduise en cendres pour nourrir les racines de la vie ».
Au commencement, il y avait en Afrique Noire, des femmes au teint couleur de café grillé, des femmes couleur banane d'or, des femmes couleur terre des rizières. Aujourd'hui, lorsqu'on se promène dans la plupart des villes africaines, on remarque que les femmes au teint noir sont en voie de disparition. La majeure partie de nos sœurs pratiquant la dépigmentation de la peau communément appelée "tchatcho" au Mali ; « bojou » au Bénin, « xeesal » au Sénégal et « kobwakana » ou « kopakola » dans les deux Congo.
Il n'est donc pas étonnant de rencontrer des femmes à deux ou trois couleurs de peau. Les plus malchanceuses se retrouvent avec un visage brûlé au second degré, des tâches et points noirs sur le corps, des vergetures sur les seins, poitrine et cuisses...
Les motivations sociologiques profondes qui sous-tendent un tel phénomène, les multiples conséquences socioculturelles, économiques et surtout cliniques sont autant de prétextes qui ralentissent souvent la lutte contre la pratique de dépigmentation.
L'ampleur de ce nouveau phénomène de société nous a poussés à nous intéresser à la question.
Léopold Sédar Senghor
Au commencement, il y avait en Afrique Noire, des femmes au teint couleur de café grillé, des femmes couleur banane d'or, des femmes couleur terre des rizières. Aujourd'hui, lorsqu'on se promène dans la plupart des villes africaines, on remarque que les femmes au teint noir sont en voie de disparition. La majeure partie de nos sœurs pratiquant la dépigmentation de la peau communément appelée "tchatcho" au Mali ; « bojou » au Bénin, « xeesal » au Sénégal et « kobwakana » ou « kopakola » dans les deux Congo.
Il n'est donc pas étonnant de rencontrer des femmes à deux ou trois couleurs de peau. Les plus malchanceuses se retrouvent avec un visage brûlé au second degré, des tâches et points noirs sur le corps, des vergetures sur les seins, poitrine et cuisses...
Les motivations sociologiques profondes qui sous-tendent un tel phénomène, les multiples conséquences socioculturelles, économiques et surtout cliniques sont autant de prétextes qui ralentissent souvent la lutte contre la pratique de dépigmentation.
L'ampleur de ce nouveau phénomène de société nous a poussés à nous intéresser à la question.
1 commentaire:
je crois que nous africaine devons être fieres de notre couleur en la valorisant c'est à dire que nous arrêtions une fois pour toute de copier si pas singer les femmes blanches:revenons à nos coiffures africaines ,à l'habillement en mode africaine tout en sachant s'adapter bien sûr aux saisons ....
ET QUE NOS FRERES AFRICAINS ARRETENT DE NOUS FAIRE CROIRENT QUE UNE BELLE FEMME DOIT ETRE ABSOLUMENT BLANCHE ensuite mettons nous ensemble pour defendre notre RACE ,notre COULEUR en creant des ASSOCIATION ( l'union fais la force ).....
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