A Brazzaville au Congo, l’utilisation à visée cosmétique de produits dépigmentant connaît un essor inquiétant. Chez les femmes
(voir photo), mais aussi chez les hommes. Des médecins mettent en garde contre les complications fréquentes et potentiellement graves de ce que les initiés appellent ‘‘
kopakola’’. C’est en effet ce que révèle une étude réalisée à Brazzaville, dans le cadre d’une mission humanitaire, par le Dr Mohamed Boui et son équipe de l’hôpital militaire Mohammed V de Rabat au Maroc. Sur les 450 hommes qui ont été examinés, 18 soit 4%, présentaient des signes cliniques liés à cette pratique.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire