18 millions d'analphabètes en RDC, mawa!
Toloba epai tozonga epai, ba analphabètes baza kobakisama kaka. Okokuta na kati ya famille awa na Kin, soki moto aza na bana 6, 7 to 8 akokoka kofutela bango nyonso kelasi te, akopono 3 to 4 oyo baza na mua mayele asali ba sacrifices akotisi bango kelasi, oyo ba mosusu bavandi na ndako mpo moyen eza te. Kelasi eza kokuter cher moyen te! Minerval, uniforme, ba kayers, kofina molakisi etc... D,ici 10 ans nombre ya ba bulumbulu ekomata makasi mpo na ba mboka (villages) mingi kelasi eza te.
Kinshasa, 11/09/2009 / Société
Etant un droit humain et un facteur de développement, l’alphabétisation est considérée cette année comme facteur d’autonomisation. Ce thème développe un accent sur le rôle que joue l’alphabétisation dans l’épanouissement de l’individu.
Selon Boubakar Diara, représentant résident de l’Unesco /RDC, ce moment d’arrêt et de réflexion au cours de l’année offre l’opportunité de rappeler l’importance de l’alphabétisation dans la vie des citoyens et citoyennes. Etant un droit humain et un facteur de développement, l’alphabétisation est considérée cette année comme facteur d’autonomisation. Ce thème développe un accent sur le rôle que joue l’alphabétisation dans l’épanouissement de l’individu.
Malgré le fait que l’alphabétisation joue un rôle de plus en plus important dans l’autonomisation, les statistiques montrent que près de 776 millions de personnes, sur la planète, sont analphabètes. A cela s’ajoute 75 millions d’enfants qui sont exclus du système scolaire. Ces chiffres montrent à suffisance l’ampleur de la tâche qui est celle de l’alphabétisation. Pour ce qui est de la RDC, la situation n’est pas satisfaisante, a confirmé le représentant résident de l’Unesco. Avec ses 18 millions d’analphabète, la RDC est placée parmi les 35 pays où l’analphabétisme représente un danger public.Pour leur part, les instructeurs en alphabétisme de la RDC ont exigé la relecture, par le Parlement, de la loi-cadre sur l’enseignement national. Au gouvernement, la prise en charge des établissements de l’éducation informelle pour leur fonctionnement. Car ces établissements fonctionnement jusqu’à ce jour dans un bénévolat. Pour ce qui est des partenaires bilatéraux et multilatéraux du gouvernement, ces instructeurs ont exigé un appui significatif.Représentant le ministre des Affaires sociales, Actions humanitaires et Solidarité nationale, le secrétaire général de ce ministère, Jean de Dieu Kaseya, a soutenu que cette célébration coïncide avec la 7ème année de la décennie des Nations Unies pour l’alphabétisation déclarée en février 2003 à New York. Celle-ci a pour but la réduction de moitié du taux de l’analphabétisme d’ici 2012. Comme le représentant de l’Unesco, le représentant du ministre a aussi déclaré que cette situation demeure préoccupante.Car avec ces 18 millions d’analphabètes, la RDC est classée parmi où l’analphabétisme constitue un enjeu critique. Il est vrai que devant ce défi, quelques réalisations sont accomplies à travers le pays. Il s’agit de la formation des instructeurs en alphabétisme à travers le pays.Et ce, avec l’appui de la Banque africaine de développement (BAD). La sensibilisation et formation des éducateurs au centre de rattrapage scolaire dans le pays avec l’appui de l’Unicef.La récolte des données statistiques de l’éducation non formelle à travers les territoires nationale avec l’appui de l’Unesco et BAD. Il faut par ailleurs signaler que plusieurs bénéficiaires en alphabétisme ont démontré, à travers des récits leurs performances en alphabétisme.(Milor/GM/PKF)Yves K./Le Potentiel
Etant un droit humain et un facteur de développement, l’alphabétisation est considérée cette année comme facteur d’autonomisation. Ce thème développe un accent sur le rôle que joue l’alphabétisation dans l’épanouissement de l’individu.
Selon Boubakar Diara, représentant résident de l’Unesco /RDC, ce moment d’arrêt et de réflexion au cours de l’année offre l’opportunité de rappeler l’importance de l’alphabétisation dans la vie des citoyens et citoyennes. Etant un droit humain et un facteur de développement, l’alphabétisation est considérée cette année comme facteur d’autonomisation. Ce thème développe un accent sur le rôle que joue l’alphabétisation dans l’épanouissement de l’individu.
Malgré le fait que l’alphabétisation joue un rôle de plus en plus important dans l’autonomisation, les statistiques montrent que près de 776 millions de personnes, sur la planète, sont analphabètes. A cela s’ajoute 75 millions d’enfants qui sont exclus du système scolaire. Ces chiffres montrent à suffisance l’ampleur de la tâche qui est celle de l’alphabétisation. Pour ce qui est de la RDC, la situation n’est pas satisfaisante, a confirmé le représentant résident de l’Unesco. Avec ses 18 millions d’analphabète, la RDC est placée parmi les 35 pays où l’analphabétisme représente un danger public.Pour leur part, les instructeurs en alphabétisme de la RDC ont exigé la relecture, par le Parlement, de la loi-cadre sur l’enseignement national. Au gouvernement, la prise en charge des établissements de l’éducation informelle pour leur fonctionnement. Car ces établissements fonctionnement jusqu’à ce jour dans un bénévolat. Pour ce qui est des partenaires bilatéraux et multilatéraux du gouvernement, ces instructeurs ont exigé un appui significatif.Représentant le ministre des Affaires sociales, Actions humanitaires et Solidarité nationale, le secrétaire général de ce ministère, Jean de Dieu Kaseya, a soutenu que cette célébration coïncide avec la 7ème année de la décennie des Nations Unies pour l’alphabétisation déclarée en février 2003 à New York. Celle-ci a pour but la réduction de moitié du taux de l’analphabétisme d’ici 2012. Comme le représentant de l’Unesco, le représentant du ministre a aussi déclaré que cette situation demeure préoccupante.Car avec ces 18 millions d’analphabètes, la RDC est classée parmi où l’analphabétisme constitue un enjeu critique. Il est vrai que devant ce défi, quelques réalisations sont accomplies à travers le pays. Il s’agit de la formation des instructeurs en alphabétisme à travers le pays.Et ce, avec l’appui de la Banque africaine de développement (BAD). La sensibilisation et formation des éducateurs au centre de rattrapage scolaire dans le pays avec l’appui de l’Unicef.La récolte des données statistiques de l’éducation non formelle à travers les territoires nationale avec l’appui de l’Unesco et BAD. Il faut par ailleurs signaler que plusieurs bénéficiaires en alphabétisme ont démontré, à travers des récits leurs performances en alphabétisme.(Milor/GM/PKF)Yves K./Le Potentiel
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