La force de Biberon
C'est quoi?
Kolia na muasi kolia na ndoki. Yo mokonzi mobimba, okanga motema te! Motema ekosi yo okueyi kaka boye! Yebaka ke, na jardin EDEN, Eva asalaki se motindo moko, Adamu akokaki kokanga motema te. Ata na ndako, mobali soki asiliki, muasi akosala ye jeu moke mpo alueyisa ye. Ata na ba églises, ba pasteurs mingi bakpeya kaka na ba jeunes filles ya chorale, kaka na kati ya ba veillées wana. Ata oza na motema makasi ndenge nini, soki muana muasi azuiweli décision okobika te. Ozala sango, ozala pasteur to soda oko...
MEV
Kinshasa makambo!
Un jeune cadre d’entreprise se montre correct, en tout cas strict dans son travail, évitant surtout de plonger dans la légčreté avec les femmes avec lesquelles il travaille. Ceci n’est pourtant pas du goűt de ces femmes. Un jour, une certaine Judith ose et réussit de faire tomber le chef. Ceci brise le mystčre du sérieux de Arnold, le jeune cadre
A fleur d’âge Arnold est cadre dans une grande entreprise d’Etat encore prospčre. Son caractčre ferme et honnęte lui attire la sympathie mais aussi la méfiance de certains agents. Son poste est clé, et le jeune homme s’en tire merveilleusement en traitant sans discrimination ses collaborateurs. Seul compte, la compétence lorsqu’il faut attribuer des tâches, męme rémunératrices. Rien dans son comportement ne trahit une prédisposition ŕ s’ouvrir ŕ ses collaboratrices.
Pourtant, c’est ŕ ce point précis que le chef s’attire le dépit de ses collaboratrices. D’aucuns auraient voulu le voir procéder par rotation pour les missions de service locales comme en dehors de la capitale. Personne n’ose lui faire la proposition ou la suggestion, craignant d’ętre rebouté par ce jeune cadre réputé intčgre.
Mais voilŕ qu’une mission de service, articulée autour d’une enquęte ŕ mener dans la capitale, est en vue. Encore des lamentations dans le for intérieur des agents qui crient au « toujours les męmes ». Déterminée ŕ figurer sur la liste des enquęteurs, une jeune demoiselle décide de se jeter au feu. Un matin, au moment oů Arnold s’affaire dans la paperasse, Judith surgit. Elle approche et laisse tomber ses habits comme par accident, sursaute et observe la réaction du chef. La voie est tracée ; la fille progresse et serre l’homme ŕ sa poitrine. Pour toute réaction, le chef marmonne : « Pas ici, je t’en prie ! ». Convaincue d’avoir réussi, la jeune demoiselle referme la porte du bureau ŕ clé. Elle propose un « vite fait » au chef ; ce dernier cčde et le pacte est scellé.
Un baobab au pied d’argile
Il ne s’agit plus d’un instantané ; Arnold veut perdurer, sans savoir qu’il répond justement au souhait le plus ardent de sa collaboratrice. « Arręte de baver », lui crie la jeune demoiselle, étonnée par l’avidité avec laquelle l’homme se régale. « Olakisaki lokola okata nzoloko te » (Tu donnais l’impression d’en ętre immunisé, non !), poursuit Judith qui en profite pour poser son problčme.
L’homme récupčre ŕ la vitesse de la lumičre son stylo et inscrit en lettres capitales le nom de Judith. Désormais Arnold est comme traîné par le bout du nez ; il est soumis ŕ la cadence de Judith et de ses amies. Car la fille en a parlé avec ses collčgues. Qui a dit que la rigueur, la personnalité ont de l’ascendant sur le sexe ? En tout cas n’osez point développer la these devant Arnold ; le Jeune homme ŕ le visage courbé devant celles qui lui obéissaient ŕ la lettre.
A fleur d’âge Arnold est cadre dans une grande entreprise d’Etat encore prospčre. Son caractčre ferme et honnęte lui attire la sympathie mais aussi la méfiance de certains agents. Son poste est clé, et le jeune homme s’en tire merveilleusement en traitant sans discrimination ses collaborateurs. Seul compte, la compétence lorsqu’il faut attribuer des tâches, męme rémunératrices. Rien dans son comportement ne trahit une prédisposition ŕ s’ouvrir ŕ ses collaboratrices.
Pourtant, c’est ŕ ce point précis que le chef s’attire le dépit de ses collaboratrices. D’aucuns auraient voulu le voir procéder par rotation pour les missions de service locales comme en dehors de la capitale. Personne n’ose lui faire la proposition ou la suggestion, craignant d’ętre rebouté par ce jeune cadre réputé intčgre.
Mais voilŕ qu’une mission de service, articulée autour d’une enquęte ŕ mener dans la capitale, est en vue. Encore des lamentations dans le for intérieur des agents qui crient au « toujours les męmes ». Déterminée ŕ figurer sur la liste des enquęteurs, une jeune demoiselle décide de se jeter au feu. Un matin, au moment oů Arnold s’affaire dans la paperasse, Judith surgit. Elle approche et laisse tomber ses habits comme par accident, sursaute et observe la réaction du chef. La voie est tracée ; la fille progresse et serre l’homme ŕ sa poitrine. Pour toute réaction, le chef marmonne : « Pas ici, je t’en prie ! ». Convaincue d’avoir réussi, la jeune demoiselle referme la porte du bureau ŕ clé. Elle propose un « vite fait » au chef ; ce dernier cčde et le pacte est scellé.
Un baobab au pied d’argile
Il ne s’agit plus d’un instantané ; Arnold veut perdurer, sans savoir qu’il répond justement au souhait le plus ardent de sa collaboratrice. « Arręte de baver », lui crie la jeune demoiselle, étonnée par l’avidité avec laquelle l’homme se régale. « Olakisaki lokola okata nzoloko te » (Tu donnais l’impression d’en ętre immunisé, non !), poursuit Judith qui en profite pour poser son problčme.
L’homme récupčre ŕ la vitesse de la lumičre son stylo et inscrit en lettres capitales le nom de Judith. Désormais Arnold est comme traîné par le bout du nez ; il est soumis ŕ la cadence de Judith et de ses amies. Car la fille en a parlé avec ses collčgues. Qui a dit que la rigueur, la personnalité ont de l’ascendant sur le sexe ? En tout cas n’osez point développer la these devant Arnold ; le Jeune homme ŕ le visage courbé devant celles qui lui obéissaient ŕ la lettre.
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