récupérer des vidanges en plastique ou en verre jetées à la poubelle
Toloba toloba tolembi. Ba milangi oyo basokolaka yango malamo te. Mosusu ezalaki na ba produits toxiques, okomono ba mamans baza kosomba yango mpo na kotia tangawusi to mafuta. Mosoto eza koboma bato koleka SIDA.
Les bouteilles retirées des poubelles, un danger pour les consommateurs du jus de gingembre
Kinshasa, 27/03/2009 / Société
Même si ces vidanges sont lavées, les microbes vont y demeurer et constituer un danger pour la santé humaine.
Dans la ville de Kinshasa, les notions élémentaires d’hygiène sont foulées aux pieds par certains Kinois.Preuve : l’évacuation des matières fécales des parcelles résidentielles vers la voie publique pendant les pluies diluviennes et la vente de la nourriture non couverte sur la voie publique. Cette énumération n’est pas exhaustive.Ces derniers temps, un spectacle frappe les bonnes consciences. Il s’agit de la présence des personnes jouissant apparemment d’une bonne santé mentale dans les décharges publiques disséminées à travers la capitale. C’est le cas de celles que l’on voit quotidiennement sur l’emplacement de l’ancien marché Type K (dans la commune de Kinshasa), devant les Facultés catholiques de Kinshasa (FCK), au pont Funa (sur l’avenue Lwambo Makiadi, ex-avenue Bokassa), au pont Bongolo non loin de l’Université Kimbanguiste.A ces endroits se trouvent des décharges publiques où les personnes se livrent au tri. Objectif visé : récupérer des vidanges en plastique ou en verre jetées qu’elles vont proposer à certaines vendeuses de jus de gingembre. On a d’autres pour la conservation de différentes huiles de cuisine. Ou encore à certains tradi-praticiens pour la conservation de leurs médicaments.« Même si ces vidanges sont lavées, les microbes vont y demeurer et constituer un danger pour la santé humaine », a affirmé un médecin sous le sceau de l’anonymat.A noter que pendant le tri, ces personnes ne portent ni gant, ni couvre-nez. Cette pratique les expose ainsi à des maladies de toutes sortes.D’où l’interpellation à l’endroit de l’autorité pour que des mesures soient prises afin d’éviter la fréquentation des décharges publiques, qui sont des endroits insalubres.(GM/Yes)Delphin Bateko/Le Potentiel
Même si ces vidanges sont lavées, les microbes vont y demeurer et constituer un danger pour la santé humaine.
Dans la ville de Kinshasa, les notions élémentaires d’hygiène sont foulées aux pieds par certains Kinois.Preuve : l’évacuation des matières fécales des parcelles résidentielles vers la voie publique pendant les pluies diluviennes et la vente de la nourriture non couverte sur la voie publique. Cette énumération n’est pas exhaustive.Ces derniers temps, un spectacle frappe les bonnes consciences. Il s’agit de la présence des personnes jouissant apparemment d’une bonne santé mentale dans les décharges publiques disséminées à travers la capitale. C’est le cas de celles que l’on voit quotidiennement sur l’emplacement de l’ancien marché Type K (dans la commune de Kinshasa), devant les Facultés catholiques de Kinshasa (FCK), au pont Funa (sur l’avenue Lwambo Makiadi, ex-avenue Bokassa), au pont Bongolo non loin de l’Université Kimbanguiste.A ces endroits se trouvent des décharges publiques où les personnes se livrent au tri. Objectif visé : récupérer des vidanges en plastique ou en verre jetées qu’elles vont proposer à certaines vendeuses de jus de gingembre. On a d’autres pour la conservation de différentes huiles de cuisine. Ou encore à certains tradi-praticiens pour la conservation de leurs médicaments.« Même si ces vidanges sont lavées, les microbes vont y demeurer et constituer un danger pour la santé humaine », a affirmé un médecin sous le sceau de l’anonymat.A noter que pendant le tri, ces personnes ne portent ni gant, ni couvre-nez. Cette pratique les expose ainsi à des maladies de toutes sortes.D’où l’interpellation à l’endroit de l’autorité pour que des mesures soient prises afin d’éviter la fréquentation des décharges publiques, qui sont des endroits insalubres.(GM/Yes)Delphin Bateko/Le Potentiel
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