lundi 31 août 2009

Doter la ville de Mbandaka d’une mor­gue

Mboka mobimba lokola Mbandaka ezanga morgue! Ba mouvanciers nyonso ya Mbandaka oyo bayiba ba mbongo tango ya Mobutu bakende wapieee????? Ba ebembe ekomi kopolo na ba pitalo! Mawa!
MEV
Equateur : Le besoin d’une morgue ressenti à Mbandaka

Kinshasa, 31/08/2009 / Société
Avec le seul principe traditionnel d’enterrer les cadavres un jour immédiatement après la mort, des familles démunies de moyens financiers sont obligées de s’endetter ou prendre des cercueils à crédit.
Mbandaka, chef-lieu de la province de l’Equateur est en retard par rapport à d’autres chefs-lieux de province de la République démocratique du Congo, dans presque tous les domaines et cela depuis belle lurette. Dans le secteur hospitalier, en particulier, le besoin se fait sentir, plus pressant aujourd’hui, d’avoir une morgue. Ceci, en vue de permettre aux membres proches des défunts d’avoir le temps nécessaire pour s’organiser avant les cérémonies d’inhumation et pour mieux conserver les corps. Car, dans de nombreux cas survenus dans ladite ville, des personnes éprouvées sont toujours prises au dépourvu d’autant plus que le phénomène mort s’improvise. Elle vient quand elle veut et ne tient pas compte des moyens financiers des gens. Avec le seul principe traditionnel d’enterrer les cadavres un jour immédiatement après la mort, des familles démunies de moyens financiers sont obligées de s’endetter ou prendre des cercueils à crédit.De fois, pour honorer ces dettes, il faut s’attendre à des querelles et tiraillements de tout genre entre les cotisants de la famille éprouvée, d’une part, et les fabricants de cercueils, d’autre part! D’ailleurs, le recours à la natte tissée au raphia naturel sert aussi de moyens pour l’enterrement des morts, en cas de force majeure. Cela étant, il est question de lancer un appel pressant aux hommes de bonne volonté afin de doter la ville de Mbandaka d’une mor­gue. « Aide-toi, Dieu t’aidera », dit l’adage.(GM/TH/Yes)Jean Robert Iyafe Lokongo/La République
Last edited: 31/08/2009 11:35:42

Une religieuse catholique défroquée

Yo moto osi obima couvent, mutu esi ebaluka yo, nini eza kotinda yo mpo osala makambo ya motindo wana? Makombo oyo okomi koteya wana eske eza na nzela oyo Eglise catholique asengi? Ndeko ya muasi, tika biloko wana!






Kinshasa, 31/08/2009 / Société
Chose curieuse chaque matin, elle assiste à la messe à la paroisse St Alphonse. C’est après la célébration eucharistique qu’elle circule à travers la cité annonçant la bonne nouvelle sans en avoir ni qualité ni compétence.
Dans la tradition de l’Eglise catholique, c’est inhabituel qu’une religieuse puisse prendre la parole en public pour prêcher l’évangile. Pourtant dans la commune de Matete où trois paroisses cohabitent notamment St Alphonse, la doyenne d’âge située au centre, Ste Marie-Madeleine érigée au quartier Vitamine et Ste Trinité, au quartier De bonhomme, on assiste, ces derniers jours, à un spectacle qui interpelle les bonnes consciences.Il s’agit de celui que donne une religieuse d’un certain âge, habillée dans une tenue apparemment d’usage mais dont le comportement surprend plus d’un. Mégaphone à la bouche, elle s’adonne à l’évangélisation dans certains coins où s’assemble souvent une population grouillante. D’une manière générale, dans son prêche, elle invite l’assistance qui a le temps de lui prêter attention à se reconvertir à la parole de Jésus-Christ, le Sauveur.Parmi les passants, nombreux ont constaté que cette attitude était contraire aux us et coutumes de l’Eglise catholique. Renseignements pris, l’intéressée serait une religieuse défroquée, congédiée pour des raisons de santé mentale. Chose curieuse chaque matin, elle assiste à la messe à la paroisse St Alphonse. C’est après la célébration eucharistique qu’elle circule à travers la cité annonçant la bonne nouvelle sans en avoir ni qualité ni compétence.Saisi par les paroissiens, le curé de St Alphonse, l’abbé Charles Mbo a dénoncé mercredi dernier, lors de la messe de 6 heures, le comportement de cette défroquée, qu’il a invitée à abandonner cette voie détournée et a convié, d’autre part, les fidèles de la ramener à la raison en se conformant aux règles établies.L’objectif est de rétablir et d’assurer la sérénité et ensuite de mettre fin à ce comportement tendant particulièrement à ternir l’image du catholicisme d’autant plus que plusieurs personnes s’interrogeaient sur cette pratique qui n’est guère d’usage au sein de l’Eglise. On ose croire que l’équivoque est une fois pour toute levée.(GM/TH/Yes)NMN/La République
Last edited: 31/08/2009 11:36:33

dimanche 30 août 2009

Un jeune prêtre propulsé comme curé de paroisse

Sang'oyo boz'omona alei mbongo ya mabonza ya paroisse naye. Makambo eyei ndongo. Bandimi bafundi ye epai ya Cardinal. Oyo eza likambo ya kokamua! Tii na ba prêtres bakomi koyiba mpe ko detourner mosolo ya mabonza! Ah kiadieeeeeee!!!!!!!!













Kinshasa, 29/08/2009 / Société
Irruption du démon de la mégestion dans la paroisse

A son arrivée à la tête de la paroisse, le jeune prêtre propulsé comme curé de paroisse sans avoir été au préalable vicaire quelque part a rompu avec la tradition. Il a décidé de garder désormais par devers lui l’argent des quêtes. C’est par là que le démon de la mégestion a fait irruption dans l’administration de sa paroisse, et creusé un fossé de méfiance entre lui et ses fidèles quant à l’utilisation des fonds de la quête.Le premier face à face entre lui et ses ouailles a eu lieu le 22 juillet dernier, à l’occasion de la fête patronale de la paroisse. Une circonstance qui est d’habitude fêtée avec faste dans l’enceinte de la paroisse, les fidèles se regroupant pour ce faire par communautés ecclésiales de base (Cevb). Pour l’anniversaire de cette année, la Commission des jeunes de la paroisse a cru bon d’interroger leur curé sur la gestion des fonds de la quête spéciale. Car, après avoir fait l’évaluation des différentes entrées dans la caisse paroissiale, plusieurs enquêteurs en sont arrivés à trouver qu’en deux années, l’encaisse devait signaler un montant de 13.800 dollars. Ils le demandent aussitôt à l’intéressé.Pris de court, Père Jired a dans un premier temps dit n’avoir dans sa tirelire que 3.000 Usd. Où sont partis les 10.000 autres dollars ? A cette question, Père Jired devient muet, puis promet à ses interpellateurs de leur apporter des pièces justificatives une semaine plus tard. Fuite en avant, simple promesse de Gascons, question de gagner du temps. Mais pour combien de temps encore ?Un second, puis un troisième rendez-vous ont été pris, sans qu’ils soient tenus non plus. Si bien qu’aujourd’hui, deux mois se sont écoulés, et le curé continue à défier ses paroissiens qui ignorent jusqu’à ce jour la destination prise par leur argent. Et, depuis lors, ils se mettent à bouder ouvertement ses appels à la collecte dominicale qui ne rapportent plus un seul sou.Bien pis : par des gestes et des marques d’hostilité et de comportements qui devraient pouvoir le gêner., ils font comprendre que sa place n’est plus dans leur paroisse. Des voix se sont mises alors à réclamer ouvertement le départ de cette Congrégation de la paroisse puisque, disent-elles : « Les Grands Carmes n’ont rien fait à la tête de la paroisse depuis 1999 : aucune réalisation sociale, aucun projet d’épanouissement religieux, rien ».Une requête dans ce sens est en rédaction, elle demande à Monseigneur Monsengwo, archevêque de Kinshasa de faire droit à cette revendication pour le grand bien de la paroisse.Telles que les choses se passent à St-Laurent, tous les paroissiens sont convaincus qu’ils auront gain de cause auprès du grand berger de l’archidiocèse, et que bientôt les Grands Carmes videront les locaux de leur paroisse de l’avenue Kitona pour rentrer à Bunia, afin que leur paroisse retrouve sa sérénité d’antan !

(GM/CV/Yes)Cl. V/MMC

Il est devenu subitement fou


Nzela ya ba kisi eza malamo te. Tala elombe oyo ndenge ayei kobela liboma ya pamba! Bato mingi boza komono wana basalelaka kaka ba kisi ti moyi ya lelo. Ba mama ya zando, ba ministres, ba PDG, ba officiers militaires na ba pasteurs, bango nyonso bakoma kaka na kelkeshose oyo baza kotia motema mpo na protection.

MEV


Un joueur de football devient fou au quartier Kauka (Kinshasa)Kinshasa, 29/08/2009 / Société
D’après la source, le jeune garçon n’avait pas respecté les conditions que leur avait demandé le cacheur Molema, de ne pas boire de l’eau avant le match.
Joël, âgé de 20 ans, évolue dans une équipe de football dé­nommée « Lobeson » au quartier Kauka, dans la commune de Kalamu. Il est devenu subitement fou, le vendredi 13 août dernier, pendant qu’il était avec ses amis dans la résidence de leur enca­dreur technique Hervé.D’après ce dernier, avant de livrer leur match contre l’équipe de « Zabrota » le dimanche 23 août 2009, ils sont tous allés voir le cacheur Molema, dans la commune de Matete, pour obtenir le pouvoir magique qui leur permettrait de gagner le match. Ce dernier leur a donné des gris-gris et des condi­tions à observer pour pouvoir ga­gner réellement la rencontre. Mal­heureusement pour ce pauvre garçon, il n’a pas pu observer la con­dition de boire de l’eau avant le match. Et c’est ainsi qu’il est de­venu fou.(TH/GM/PKF)Petronel Mangala Madame/Uhuru

Un fou corrige un homme normal


Au pays des fous un fou fait la loi. Ndeko kokamua te. Soki oza kotambola na nzela okokutana na ba fous ebele! Gouvernement aza capable ya kologer bango kelkepart te. Bakoma kowayawaya partout. Toilettes publike ezalaka te na Kin. Soki moto aza na posa ya petit besoin akodebrouiller kaka na ba nzete to na ba murs ya klotures ya ba pango to na terasé. MEV


Kinshasa, 29/08/2009 / Société
Un fou connu sous le nom de Féfé, a corrigé un homme qui pissait sur un mur de l’école catholique St martin, en lui donnant des fessées correctionnelles.
Un fou surnommé Féfé a cor­rigé un homme équilibré, qui malheureusement urinait contre un mur de la clôture d’un complexe scolaire. Féfé habite la commune de N’djili, précisément dans le quartier 6. Pendant qu’il faisait, comme d’habitude, un tour du quartier, il a été subitement scan­dalisé par un homme, la cinquantaine révolue, qui pissait contre le mur de l’école catholique St Martin.Sans demander des explications à cet individu, il s’est emparé d’un bâton pour lui donner des fessées correctionnelles. Se retournant pour riposter, Féfé, le fou, lui a fait savoir qu’il a commis un acte incivique en salissant, au grand jour, un bien public. Couvert de honte, le malheu­reux n’a trouvé de salut que dans la fuite sous une pluie des huées des badauds qui ont suivi à dis­tance ce spectacle insolite.
(TH/GM/PKF)
Christian Mambazulua/Uhuru
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vendredi 28 août 2009
Insalubrité gênante : Kermesse sans latrines dans la commune de Lingwala
Depuis près d’un mois à Lingwala, au terrain " Comète ", une Kermesse est organisée sous le haut patronage de gouverneur de la ville, à l’initiative du comité du conseil de la jeunesse de Lingwala dénommée " Kermesse Saint Jean na Fourrai ". Cette rencontre de solennité permet au vacanciers et vacancières de se détendre et profiter de leurs vacances. Force est de constater que l’emplacement de cette Kermesse sur un terrain particulier n’a pas plu à tous.
Primo, Lingwala est dépourvue des latrines publiques et les organisateurs devraient y penser et prendre des dispositions, afin d’éviter tout désagrégement et pollution de l’environnement. Et ce, en vue de préserver la santé des vulnérables. On sous-entend que des architectes ont pu disposer d’une latrine provisoire dans la cours de la Kermesses. Quel genre de latrine sans puits perdu, ni fausse septique ? Hélas. Il suffit de faire un tour sur l’avenue de la libération, ex du 24 novembre pour se rendre compte du niveau de la pollution et les odeurs que les urines et excréments dégagent en pleine ville. L’angle sur lequel ce trouve ladite latrine donne sur la chaussée de l’avenue de la libération, et le matin, cette bonne quantité de déchets coule à ciel ouvert.
Allez-y comprendre. Le deuxième aspect est celui de la salubrité. L’entrée de l’avenue Luvua souffre d’une insalubrité accrue à tel enseigne quelle est exposée aux odeurs nauséabondes que dégagent les ordures que viennent déposer les usagers de la Kermesse. Selon les habitants de ce quartier, ces immondices sont à la base d’insalubrité criante dans ce quartier, surtout en cette saison sèche. Celle-ci est à la base de plusieurs maladies telles la malaria et la fièvre typhoïde.

samedi 29 août 2009

Un pasteur violent

Ba pasteurs mingi oyo boza komono basalelaka makambo oyo bateyaka bato na ba églises te. Okokuta ye na ndako naye différent. Très méchant envers bana na muasi naye. Mingi basalelaka basi na bango zuwa koleka! Soki akamati kofinga awa okokamua. Soki osali ye remarque alobi ke, Yesu aloba ke, mawa basalelaka yango kaka moto oyo ayebi yango. Soki osengi ye eloko alobe ke, Yesu aloba ke, mapa ya bana bakoki kopesa yango na imbua te. Ba versets kaka ya mabe nde babimisaka na ba ndako na bango. Mawa!
MEV

Un pasteur inflige un traitement humiliant et dégradant à son épouse à Kinshasa/ Ngiri-NgiriKinshasa, 27/08/2009 / Société
A son retour à la maison, son mari, sans attendre les explications, l’a battue publiquement et copieusement jusqu’à la laisser à demi nue à la grande désapprobation des voisins qui ont compati au malheur survenu à cette femme jugée de bonne conduite.
Un pasteur d’une église de réveil dans la commune de Ngiri-Ngiri à Kinshasa, a infligé, publiquement à son épouse un traitement humiliant et dégradant en la battant copieusement au motif que cette dernière était sortie de la maison en son absence, a rapporté, lundi à l’ACP, une femme activiste des droits de l’homme, selon la source, l’épouse du pasteur, pour une urgence familiale, s’est absentée de son foyer, de 19 heures.
A son retour à la maison, son mari, sans attendre les explications, l’a battue publiquement et copieusement jusqu’à la laisser à demi nue à la grande désapprobation des voisins qui ont compati au malheur survenu à cette femme jugée de bonne conduite.Victime d’agression barbare de son époux, de surcroît pasteur, cette femme, indique la même source, n’était pas en possession du téléphone portable que son mari avait emporté, l’empêchant d’aviser ce dernier de son absence brusque du foyer.Indignée, l’activiste des droits de l’homme, a déploré cette situation, en soulignant que, toute violence envers la femme, d’où qu’elle vienne doit être sanctionnée et pour le cas d’espèce, le pasteur mérite une interpellation de la part des instances compétentes.(Milor/BT/PKF)ACP

jeudi 27 août 2009

Le pasteur a déclaré qu’il lui était révélé par Dieu que ces cinq femmes, sont à la base de cette maladie

Eza rare omono pasteur adesigner moto ya bongo to moto monene ke aza ndoki. Mingimingi ezalaka kaka ba vieilles mères to ba vieux pères to moto ya pasi oyo azanga mbongo. Surtout soki aza na nzoto mike wana balobi ke aza ndoki. Ba orphelins nde bamema ngambo!
Ba pasteurs bokotisi bokabuani (division) na ba familles mingi. Ba propheties eleki ndelo mikol'oyo. Mawa!
MEV








Kinshasa, 26/08/2009 / Société
L’homme de Dieu à qui la famille avait confié l’un de leur malade avait retenu ce dernier dans sa chambre de prières pour découvrir l’origine de la maladie, et le prédicateur a déclaré qu’il était révélé que 5 femmes, sont à la base de cette souffrance.
Un prédicateur non autrement identifié vient d’être interpellé par la police pour avoir accusé cinq femmes des sorcières à Shabunda au Sud-Kivu. Ce prédicateur à qui une famille avait confié un membre malade avait retenu ce dernier dans sa chambre de prières pour découvrir l’origine de la maladie et le délivrer contre les forces maléfiques. L’homme de Dieu a déclaré qu’il lui était révélé que ces cinq femmes, sont à la base de cette souffrance.Menacées, les prétendues sorcières ont eu la vie sauve grâce à l’intervention des éléments de la police qui les ont épargnées contre la justice populaire. Le prédicateur guérisseur a été interpellé par la police pour éclairer les faits. Ce dossier de sorcellerie a été transféré au tribunal coutumier car la sorcellerie n’est pas reconnue par la loi congolaise en vigueur.(Ern/GW/PKF)ACP

Destruction de tombes pour voler tout objet de valeur s’y trouvant notamment des couvertures et habits!

Oyo eza SACRILEGE monene! Courage nini oyo ya kokende kofongolaka ba lilita mpo na koyiba biloko balatisi ebembe! Kotika ebembe molumbu sans elamba! Eza somo mpe malili na nzutu! Mamaeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee!!!!!!!!!!!!!!!!! Somoeeeeeeeee!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Kinshasa, 26/08/2009 / Société
Alerté par la population, le maire de cette ville est descendu sur le lieu afin de récupérer les deux inciviques et les livré dans les mains de la police pour l’ouverture de leur dossier.
MM. Numbi Salu et Bokatala, deux délinquants âgés respectivement de 27 et 43 ans habitant tous les deux la commune de Nzanza à Matadi, ont été surpris la semaine dernière en flagrant délit de profanation des tombes au cimetière de Kinkanda, a-t-on appris de bonne source. Alerté par la population, le maire de Matadi, Jean-Marc Nzeyidio, est descendu sur les lieux accompagner des policiers pour « récupérer » les deux inciviques qui se sont spécialisés dans la destruction de tombes pour voler tout objet de valeur s’y trouvant notamment des couvertures, draps, cercueils et autres. Le maire de Matadi qui a livré les deux malfrats entre les mains de la police pour l’ouverture de leur dossier, a saisi cette occasion pour demander à ses administrés d’être vigilants et de dénoncer tous les cas suspects observés dans leur milieu environnant.(Ern/GW/PKF)ACP
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Kinshasa, 06/08/2009 / Société
La désorganisation et le mercantilisme qui caractérisent les gestionnaires de ces cimetières sont à la base de problèmes que rencontrent les familles pour retrouver la dernière demeure de leurs proches.
D’autres encore ont eu la désagréable surprise de vain les tombes de leurs parents vendues et occupées par des « nouveaux venus ».Le 1er août de chaque année, la communauté nationale célèbre la fête des parents. Malheureusement, la surprise n’est pas toujours agréable. Beaucoup de famille ont eu du mal à retrouver le tombeau des leurs. La désorganisation et le mercantilisme qui caractérisent les gestionnaires de ces cimetières sont à la base de problèmes que rencontrent les familles pour retrouver la dernière demeure de leurs proches.A Kinkole par exemple, plusieurs familles ont cherché en vain pendant plusieurs heures les sépultures de leurs parents. D’autres encore ont eu la désagréable surprise de vain les tombes de leurs parents vendues et occupées par des « nouveaux venus ». Cette situation dans les cimetières est dramatique et exige que l’autorité compétente prenne des mesures pour y remédier.(TH/GM/PKF)E. Kayiba Njanga/La République

mardi 25 août 2009

Les policiers font le LIKELEMBA avec l'argent de la corruption

Makambo oyo ebanda kala mpe ekosila lelo te. Moto nyonso ayebi ke ba roulage basalaka likelemba entre bango chaque jour. Mbongo basalelaka likelemba eutaka wapi? Eutaka na libenga ya ba conducteurs. Mokonzi na bango mpe azelaka versement naye chaque jour. corruption ekoma acceptée à tous les niveaux. Okokuta bango basi bavimbivimbi mabumu lokola ngubu...Na basi mpe bakomi kolinga corruption moyen tein!







La tracasserie policière « bon de ristourne » se consolide sur des artères principales à Kinshasa

Kinshasa, 24/08/2009 / Société
Souvent, c’est auprès des conducteurs qui desservent le même itinéraire pendant toute une journée que des inciviques de la PSR s’abattent sur eux.
La tracasserie policière connue sous l’appellation de « bon de ristourne » perpétuée par certains éléments inciviques de la Police spéciale de roulage (PSR) sur les artères principales de la ville de Kinshasa se consolide davantage, au fils des jours, a constaté l’ACP depuis un certains temps. Cette pratique s’applique généralement aux véhicules commun et autres véhicules des commerçants sur les carrefours et aux autres coins des avenues occasionnant un blocage ou un bouclage express de la circulation dans un sens comme dans l’autre par les éléments de la police routière qui en profitent pour rançonner les conducteurs de ces véhicules. Souvent, c’est auprès des conducteurs qui desservent le même itinéraire pendant toute une journée que des inciviques de la PSR s’abattent sur eux. Les conducteurs qui s’accommodent à cette pratique sont d’office protégés par les agents rançonneurs de la PSR et sont, ipto facto, « exceptés » du contrôle des documents de bord et des sanctions en cas de violation du code de la route.Les carrefours les plus utilisés pour cette pratique se trouvent être la route des poids lourds à l’entrée du camps militaire de la marine appelé communément « arrêt Bara-moto », au croisement des avenues Kabambare et Kasaï, Kasaï et Kato et Kasa- Ruakadingi dans la commune de Barumbu, à l’entrée du port privé « Appolo » voire à la Nationale n° 1 (Matadi-Kinshasa) et (Bandundu - Kinshasa).Interrogés par l’ACP, quelques conducteurs affirment que dans un carrefour, ils remettent à chaque agent 200fc, 300fc, parfois 500fc. Un agent femme affectée souvent au carrefour des avenues du Kasaï et Rwakadingi dans la commune de Barumbu, qui refuse catégoriquement de prendre 200fc exige plutôt 500fc alors que ses co-équipiers acceptent volontiers 200fc. Cette situation créée une familiarité entre les conducteurs corrupteurs et les agents corrompus de la PSR, si bien que la loi perd sa rigueur et l’impunité s’installe. Seuls les conducteurs, qui ne s’apprêtent pas à cette pratique déshonorante, subissent la rigueur de la loi.L’opinion en appelle à l’intervention des autorités publiques compétentes et plus particulièrement aux responsables de ce corps de police de mettre tout en œuvre pour sévir les coupables avec la dernière énergie car l’honneur du pays en dépend. (GM/Milor/Yes)Acp
Last edited: 24/08/2009 12:06:38

dimanche 23 août 2009

C'EST SON CHOIX

Eloko nakoki koyebisa bino eza boye:
Yo oza muana mobali, bapesi yo muasi kitoko mpo obala oboyi olobi ke yo okobala kaka moninga nayo mobali!
Yo muana muasi kitoko, mobali alingi abala yo oboyi, olobi ke nga kaka moninga na ngai muasi nde nakobala. Biso toloba nini! Etali bobele se ye moko. Tina ya kobete ye eza te.

MEV

Kinshasa, 22/08/2009 / Société
Ne se doutant de rien, Guelor, habillé comme une jeune fille a rencontré sur sa route un groupe de sportifs, l’un des sportifs l’a battu en lui demandant de ne plus s’afficher comme cela à l’avenir.
Guelor, âgé de 22 ans et résidant dans le quartier Tumba, dans la commune de Matete, est reconnu comme un homosexuel. Une qualité et une pratique que ne supportent pas la majorité des Congolais, parce que non tolérée dans la culture bantoue.Ne se doutant de rien, Guelor, habillé comme une jeune fille a rencontré sur sa route un groupe de sportifs. Ceux-ci se sentis scandalisés et ont immédiatement décrié le comportement affiché par le jeune garçon qui est contraire aux moeurs et coutumes des Congolais.Et pour finir, l’un des sportifs l’a battu en lui demandant de ne plus s’afficher comme cela à l’avenir.(GM/TH/Yes)Petronel Mangala/Uhuru
Last edited: 22/08/2009 12:44:43

vendredi 21 août 2009

Un caporal gifle un capitaine


Ba soda na ba policiers ndenge moko. Kaporal moko abeti Kapitaine mbata na elongi en présence ya ba civils. Mawa!! Mbok'oyo ebebi! Etikali moke bagarre généralisée ebanda. Ndok, muana abeti tata, muasi abeti mobali ne. Mungamba abeti mokonzi. Sango abeti Mgr. Receveur abeti chauffeur...

MEV


Un caporal gifle un capitaine et se fait humilier

(Risasi Arsène (Stg/ Ifasic).)
L’incident s’est produit mardi vers 17 heures à l’arrêt Maboke, non loin de l’aérodrome de Ndolo. Un militaire , caporal de son état, avait l’habitude de tracasser et rançonner les chauffeurs et receveurs des taxi-bus. Il a eu le malheur de croiser sur son chemin un capitaine en tenue civile et qui attendait un moyen de transport à l’arrêt, comme beaucoup d’autres personnes.
Témoin du comportement anarchique du caporal, il n’a pu supporter longtemps son action de terrorisme vis-à-vis de paisibles citoyens. Interpellé, le militaire n’a eu pour toute réponse qu’une gifle à la face de l’inconnu. Le capitaine frappé s’est saisi de son portable et a passé un coup de fil. En moins d’un quart d’heure, des éléments de la Justice militaire se sont pointés sur le lieu. Répéré, le caporal a été délesté de son képi et de ses bottes, avant d’être soulevé de terre et embarqué certainement vers un cachot, sous les huées de la foule, contente de la tournure que venaient de prendre les événements.
2009-08-13

Paka Djuma


Ba koko baloba: Soki omoni ndoki bela noko mongongo ekufa yoeeeee!!!!

Flamingo ebandi na Kisasa. Pigale! Na ba policiers baza kokende ko se satisfaire kuna. Soki oleki kuna na tango ya molili okokamua! Ekoma lokola marché commun, bateki na basombi! Na basi ya mabala bakomi kokende kuna koluka kelkeshose. Nani akopekisa moninga!


« Paka Djuma », bastion de la prostitution

(Risasi Arsène, Stg / Ifasic)
Une drôle de cité-dortoir, dont la plupart de maisonnettes sont en cartons, en bois ou en tôles usagées, s’est solidement implantée, depuis plusieurs années, dans la concession de l’Onatra, au quartier Funa, dans la commune de Limete. Dénommée « Paka Djuma », elle a la particularité d’héberger un nombre impressionnant de prostituées de tous les âges. Chaque jour, dès la tombée de la nuit, les passants qui traversent ou longent la voie ferrée assistent au défilé des filles et femmes habillées en tenues légères, visiblement à la rechercher des « clients ».
A en croire les habitués du coin, la « passe » se négocie entre 500 FC et 300 FC. On laisse entendre que même des femmes mariées se livrent au commerce de leur chair, avec la bénédiction de leurs maris. Curieusement, le site est très fréquenté par des hommes de toutes les catégories, parmi lesquels se recrutent des éléments en uniforme. La présence de ceux-ci parmi la « clientèle » gêne toute initiative répressive de la police ou de l’administration municipale.A l’analyse, on croit savoir que c’est la misère qui pousse la plupart de filles et femmes à se prostituer. On s’étonne que les bulldozers de l’Hôtel de Ville, qui avaient rasé les cités Bribano I et II ainsi les taudis érigées à côté de la concession de l’Office des Routes, à Kingabwa, ne soient pas passés par « Paka Djuma ».
2009-08-17

Madame Nicole Lusita busha n'est plus!


COMMUNIQUE NECROLOGIE

Madame Nicole Lusita Busha n'est plus!

La famille John Kaweba Passamuntu et le comité de la communauté Congolaise de Charlotte, NC/USA
Informent a tous les compatriotes congolais de Charlotte en Caroline du Nord et d'ailleurs de la mort subite de notre compatriote, sœur et maman Nicole Lusita Busha : L'épouse du Maitre Passa. Décès survenue a Charlotte dimanche 08/16/2009.
En attendant le programme détaillé des funérailles, le deuil se tient en sa résidence.
Lieu : 4623 Biemann Valley Drive, Charlotte, NC 28227-6694
Contacts:
704-573-7118 Home 704- 574-1863704-532-4154 704-493-8236704-712-2539
“ L'unité dans la Diversité “ Appliquons notre devise et montrons la solidarité durant ce moment difficile pour la famille John Passamutu et les 3 orphelines.
Mr. Bertin M. Mangongo
Président


Mbuta aza maladi tosambela mpo naye.


Jeudi, le 20 Août 2009

Depuis le lundi 17 aoûtAntoine Gizenga à Bruxelles pour un bilan de santé


L 'ancien Premier ministre congoolais Antoine Gizenga s'est rendu à Bruxelles pour un check up, apprend-on des sources bien informées. La famille d'Antoine Gizenga est catégorique, il s'agit d'un contrôle de routine. Pas d'inquiétude, affirme un proche! Le déplacement d'une personnalité de la dimension d'Antoine Gizenga Fundji ne peut laisser indifférent. Le patriarche du Palu avait exercé les fonctions de chef du premier gouvernement issu des élections dé 2006. A la tête de la coalition AMP-Palu-Udemo il a dirigé l'Exécutif congolais pendant plus d'une année, il était régulièrement accusé d'immobilisme. Cible des opposants, il était contraint à la démission. Au président de la République, le patriarche du Palu avait justement avancé des raisons de santé et de fatigue dans sa correspondance.Ce déplacement du leader du Palu intervient au moment où des remous sont enregistrés dans les rangs. Bien que faiblement ressentis, il ne demeure pas moins vrai que quelque chose se passe au sein de ce parti politique. La guerre de succession serait déjà engagée entre différents clans du parti lumumbiste unifié. Au point qu'un déplacement de Gizenga pour un bilan de santé, intéresse plus d'un au sein de cette formation politique. D'ailleurs, contrairement au déplacement similaire effectué en Chine, le leader charismatique du Palu a circonscrit le présent voyage dans un cadre familial.En attendant, les militants de ce parti ont le regard tourné vers la Belgique où leur leader a rendez-vous avec son médecin.

Ba jeunes balingi liususu kokende kelasi te, balobi ke eza tina te, otanga otanga te eza kaka ndenge moko. Na mosala bakomi kolanda kaka ba relations kasi niveau ya études te. Na ba sociétés mingi bakonzi batanga kelasi te. Eseke président Kabila atanga! Mobutu asalaka université te.MEV



Les jeunes ne s’intéressent plus aux études

Le Révélateur Femme et famille

Dans le contexte de la dépravation des mœurs où ils naissent et grandissent, les jeunes congolais d’aujourd’hui n’ont plus de repères. On dirait même qu’ils ont inversé l’échelle de valeurs de sorte que le travail valorisant et les études passent désormais pour des valeurs secondaires. Sous d’autres cieux, la désignation à un poste de responsabilité au sein des institutions ou des administrations tant publiques que privées repose sur un profil donné. Il faut par exemple avoir obligatoirement atteint un niveau d’études correspondant aux aptitudes requises pour accomplir un travail. Ce critère du cursus, sans être nécessairement parfait est néanmoins une présomption qui reste à vérifier à l’œuvre. En Rdc, hélas ! ces aspects sont négligés au recrutement. Il est courant de rencontrer quelqu’un à un poste pour lequel il n’a reçu aucune formation. A l’extrême il y en a même qui n’ont jamais séjourné dans une salle de classe. Mais bien que sortis de nulle part ils ont tout de même réussi leur vie. Tel est le cas de la plupart des artistes musiciens, très adulés par le public et dont un petit nombre seulement est passé sur le banc de l’école. Et pourtant revenant de voyage, ils drainent derrière eux des foules. De même sur les chaînes de télé, ils étalent leurs avoirs qui fascinent les jeunes. Ceux-ci sachant que leurs idoles n’ont pas été à l’école comme ou plus qu’eux finissent par en faire des modèles.
Les antivaleurs s’enracinent dans les mœurs


‘‘Si moi je vais à l’école, c’est juste pour faire plaisir à papa qui sort son argent pour payer les frais. Si cela ne dépendait que de moi, je ne m’y rendrais pas parce qu’il y a des gens qui gagnent leur vie pas nécessairement parce qu’ils ont étudié’’. Ces propos sont d’un jeune homme qui a requis l’anonymat. Il confirme la tendance actuelle des jeunes à se désintéresser des études. Manquant de repères, ils imitent n’importe qui, pourvu que son modèle ait une certaine renommée. Peu importe le cursus scolaire. Cette opinion est favorisée par certains propos des musiciens qui dans leurs chansons véhiculent des idées aussi fausses telles que : ‘‘Chance eloko pamba’’ comme pour signifier qu’il ne suffit pas d’être bardé de diplômes ou de titres académiques pour mieux gagner sa vie. Tout ceci incite les jeunes à adopter la loi du moindre effort et à négliger leurs études pour prendre un raccourci, oubliant qu’à chacun son étoile, son avenir.
Recommandations
Mme Anita Mvidia, assistante juridique au Bureau International Catholique de l’Enfance, BICE, souligne l’importance capitale des études sans lesquelles l’homme ne peut pas être utile dans la société. Selon cet expert, la perte d’intérêt pour les études dans le chef des jeunes se justifie la faible motivation du personnel enseignant dans des Instituts supérieurs et Universités où la cotation se base sur le principe de ‘‘ points sexuellement transmissibles’’ chez les filles. C’est l’une des formes de corruption à laquelle s’ajoute le monnayage des cotes. Tout cela finit par décourager les honnêtes gens qui sont soucieux de réussir par leurs propres efforts. Pour cette juriste, la responsabilité de cet état des choses incombe aux autorités du pays qui doivent bien observer cette situation et encourager les jeunes à étudier.Pour y parvenir, Mme Anita Mvidia propose aux dirigeants du pays de revaloriser le secteur de l’enseignement en améliorant les conditions de vie et de travail des enseignants pour un un enseignement de qualité. Elle recommande aussi de présenter aux jeunes, des nouveaux clichés ou modèles d’hommes qui ont réussi leur vie pour avoir suivi un cursus scolaire normal. ‘‘Il faut que les autorités lancent des campagnes de sensibilisation à travers lesquelles elles auront à expliquer aux jeunes l’utilité d’aller à l’école. Il faut retenir que chacun a un avenir qui est différent de celui de l’autre’’, a-t-elle conclu.
Lucie Mulumba

jeudi 20 août 2009

Les policiers se battent entre eux



Oyo mboka te! Ba policiers baza kobunda entre bango na bango. Ba civils baza kokamua likamb'oyo. Ekomi kaka ''kuluna'' partout!




Kinshasa,
Au bout d’un échange de propos discordants, les deux policiers n’ont pas hésité à en venir aux mains non loin du croisement des avenues Rwakading et Bokassa. Il a fallu l’intervention d’un autre policier pour les départager. Deux policiers se sont échangés des coups dernièrement au marché Central pour un partage inégal d’un « butin » constitué naturellement d’une somme d’argent extorquée à un passant. Selon le premier policier la part de lion devrait lui revenir car c’est lui qui a eu du flair et l’idée d’interpeller le malheureux passant. Son collègue, quant à lui, la part consistante devrait lui revenir puisque c’est grâce à sont ingéniosité qu’il a inventé l’infraction et convaincu la victime de sa prétendue faute pour arriver à lâcher la somme qui n’a pas été divulguée.Au bout d’un échange de propos discordants, les deux policiers n’ont pas hésité à en venir aux mains non loin du croisement des avenues Rwakadingi et Bokassa. Il a fallu l’intervention d’un autre policier pour les départager. La somme logée dans la poche du premier policier a été le « facilitateur » n’ayant pas renoncé à toucher sa commission. Tout cela loin des regards indiscrets des passants curieux qui se sont fait disperser par le dernier venu des policiers.(Ern.)Cedric Abazi/Le Potentiel

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Kinshasa,
Un groupe de 5 policiers en tenue se sont battus vendredi 3 juillet dernier devant le siège de la force navale de la RDC.
Nous sommes dans la commune de Limete, plus pré­cisément au quartier Kingabwa, sur la route des Poids lourds au coin appelé communément « Baramoto », où plus de cinq policiers en tenue se sont bat­tus à 11h45 du vendredi 3 juillet, devant le siège de la force na­vale de la République démocra­tique du Congo.Tout est parti quand un PP, police des policiers, a arrêté un policier de route (connu com­munément à Kinshasa sous le nom de Roulage), parce que selon le PP, il ne pouvait pas arrêter un chauffeur en déroute.
Voulant ainsi faire entendre sa voix devant son collège, et le P.P et ces amis en patrouille policière ont brutalement sauté sur le pauvre policier routier en lui rouant les coups violant, ti­rant de tous les cotés sur sa tenue.Les amis du roulage n’ont pas voulu se laisser dans l’ob­servation de la scène, ils s’en sont mêlés. La bagarre se déchaîne en plein soleil devant une foule importante en public.(GM/Milor/Yes)Onassis Mutombo/L’Avenir

KINSHASA: Les Chinois en difficulté


Ata bino moko!!
Koteke ti ba mikate na Monbele! Ba chinois bakotikoti na ba cités nyonso ya Kin. Bakomi koteke ba biloko mikemike oyo ba mama batekeke mpo na komisalisa! Eza mawa trop! Cinq chantiers yang'oyo! Ils sont partout, dans tous les villages. Bakotikoti partout. Mokanda moko wana ba chinois ata 100 bakokotela n'ango mpo elongi na bango ekokana moyen tein! Yang, tchun tan, chian, pion, tchun, thin tcong... bango nyonso elongi ndenge moko. Mawa!!!!
MEV


Les shégués sabotent les chinois
Kinshasa, 13/08/2009 / Société
En effet, quelques magasins appartenant aux chinois au niveau de Gambela et précisément dans la direction Ethiopie ont été simplement bourrés des excréments humains au niveau des serrures et cadenas.
Le ministre de la Justice Luzolo Bambi a encore des candidats pour les centres pénitenciers de Buluwo, Ekafela, Osio ou Angenga. Parmi eux devraient figurer en bonne place les shégués (enfants de la rue) qui ont saboté les magasins chinois au marché Gambela.En effet, lundi matin quelques magasins des amis des cinq chantiers ont connu des actes ignobles sans cause. Quelques magasins appartenant aux chinois au niveau de Gambela et précisément dans la direction Ethiopie ont été simplement bourrés des excréments humains au niveau des serrures et cadenas. Un forfait signé par les shégués on ne sait au nom des quels motifs. Toutefois, l’opinion constate une campagne d’intoxication et de la manipulation qui ne signe pas son nom contre nos amis chinois. Ces malfrats ont ainsi indisposés les vendeurs d’alentour mais surtout les travailleurs de ces magasins qui n’ont pu ouvrir qu’après plusieurs acrobaties de nettoyage.L’autorité devrait se pencher sur cette question des actes de vandalisme des shégués mais aussi ceux d’intoxication contre ses investisseurs qui font le contre poids aux traditionnels libanais. Il revient aussi à ces derniers de développer une bonne politique communicationnelle via leurs représentations diplomatiques s’il le faut afin d’améliorer leur image au sein de la population pour que cesse cette manœuvre de bas étage.(Milor/GM/PKF)Patou Kanzi/L’Avenir


Ba mama (soeurs en Kriste) bokeba! Bino bato bomesana kolalaka na ba veillées. Pasteur moko eti somnifere na mayi (eau benite) apesi muasi moko mpo amela abika, mère alali mpongi moko ya kosakana te. Pasteur a se servir ndenge alingi atiki ye akeyi. Tango mère alamuki akomprendre situation abandi kolela...
Ba mama bokeba! Soki okeyi veillée kondima te ke pasteur apesa yo eloko ya kolia to asimbakasimbaka yo na nzoto soi disant ke eza kolongola yo ba milimo mabe! Bokeba!
MEV

Viol d’une fidèle d’une église de réveil à Liberi au Maniema
Kinshasa, 14/08/2009 / Société
Une femme dont l’âge n’a pas été communiqué, sourde-muette de son état, a été enceintée par le pasteur après des relations coupables entretenues ensemble.
Un pasteur non autrement identifié, serviteur de Dieu dans une église de réveil à Liberi, une localité située à quelques kilomètres de la ville de Kindu dans la province de Maniema, a violé une de ses fidèles, a-t-on appris le week-end, des adeptes de cette église. Cette femme dont l’âge n’a pas été communiqué, sourde-muette de son état, a été enceintée par le pasteur après des relations coupables entretenues ensemble.Informé par cette dame de son état de santé, le pasteur a tenté de fuir avant d’être appréhendé par les éléments de la police en attendant son acheminement vers la ville de Kindu, chef-lieu de cette province. Un autre cas similaire s’est produit dans un groupe de prière où un évangéliste dans la commune de Mikelenge à Kindu a rendu grosse une femme qui venait chercher guérison auprès de ce serviteur de Dieu. Ce dernier a été également arrêté par la police pour cet acte immoral.(Milor/GM/PKF)ACP

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Ekomi kaka, mot'oyo ozalaki komono aza kosalaka ba mbeba ndenge na ndenge, tongo etani omoni ye na bible na maboko akomi pasteur. Moto ya kotuna ye likambo aza te, abandi koteya, kokoto na ba ndako ya bato mpo na kosala ba veillées de prière partout. Basi (ba soeurs en kristo) bakomi kosala ye confiance, ye pe abandi koprofiter.. .
MEV


Une fille mineure violée à Matadi par un pasteurKinshasa, / Société
Le pasteur Abongo, devant le refus de la jeune fille de céder à ses avances, s’était résolu à servir un repas assaisonné de somnifère à sa victime, avant d’abuser d’elle.
Le Rév. Pasteur Abongo, responsable d’une église de réveil installée au camp Mani-Congo dans la commune de Mvuzi, ville de Matadi, a été arrêté par la police criminelle à la suite d’une plainte déposée contre lui pour viol, grossesse indésirable et tentative d’avortement criminel sur la personne d’une mineure non autrement identifiée dont les parents sont également adeptes de son église, a-t-on appris de source policière. Selon la source, le pasteur Abongo, devant le refus de la jeune fille de céder à ses avances, s’était résolu à servir un repas assaisonné de somnifère à sa victime, avant d’abuser d’elle.Revenue à elle, la victime qui s’était vue comblée de cadeaux avait fini par prendre goût, gardant le secret jusqu’au jour où elle est tombée enceinte. Ayant constaté un changement d’attitude de leur fille, les parents après un interrogatoire serré, ont acquis la certitude de l’état de grossesse de la jeune fille.Cette dernière a en outre révélé que le pasteur lui proposait de procéder à un avortement. Les parents ont porté plainte contre le pasteur Abongo qui actuellement médite sur son forfait à la maison de la police criminelle de Matadi, en attendant d’être déféré devant les juges pour répondre de son acte.(GM/PKF)

Un policier vole un civil

Na ba mboka mosusu ba policiers mosala kokengele bato oyo ya biso mawa!
Yo policier mobimba, oyiba sivili bongo na poshe!
Na butu, ba policiers baza kobatama na ba coins ya molili mpo na kopiyer ba civiles, moto ya kosala bango eloko aza te. Mawa!
MEV





Gombe, un policier vole un civil au centre ville
Kinshasa, 24/07/2009 / Société

Un policier, commis à la garde d’un magasin appartenant à un expatrié, a réussi à subtiliser malicieusement l’argent des poches d’un jeune homme qui était entré dans le magasin pour faire ses emplettes. Lorsque le jeune homme sent qu’il vient d’être volé, il se retourne et se trouve nez à nez avec le policier. Il le tient au collet et lui demande de lui restituer son argent.Le policier hésitant, cherche à nier et à se défendre. Mais le garçon ne lâche pas prise et crie au voleur. Le cri ameute la foule, des gens accourent en tous sens et le policier est maîtrisé par des civils. Il est fouillé et l’on découvre l’argent volé dans ses poches. Ce sont des huées, des quolibets et des injures à l’endroit du policier, mais tente, malgré lui, de se défendre au moyen de sa matraque.Il est conduit à l’écart, dans l’enceinte de la concession pour être à l’abri de la vindicte populaire. Entre-temps, la police spéciale de Kin - Mazzière alertée, dépêche quelques éléments pour appréhender le policier voleur. C’est manu militari qu’il a été conduit, sous les huées du public, devant la hiérarchie pour répondre de ses actes.
(Milor/GM/PKF)BB/L’Etoile de la nation

Les soeurs religieuses volées


Nani asali likambo ya boye! Bat'oyo baza possodés penza! Bakoteli ba mamelo (seours) na couvent na butu. Oyo eza molimo ya satana! Bandeko esengeli boyeba ke ba soeurs basala voeux ya chasteté. Mawa na kobanga Nzambe eza lisusu te ba pangi'a munu!
MEV


Des religieuses de la congrégation du cœur Immaculé de Marie de Kananga rouées de coups de crosse d’armes à feu
Kinshasa, 19/08/2009 / Société
Un vol à grand échelle a été perpétrée à la maison généralice Malola Sainte Agnès des sœurs de la congrégation du cœur Immaculé de Marie, dans la province du Kasaï occidental, au centre de la République Démocratique du Congo.
La Révérende soeur Philomène Tshibola, supérieure générale de cette communauté qui a livré cette information, affirme que le vol a été commis dans la nuit de dimanche 2 août au lundi 3 août 2009, à la maison généralice Malole Sainte Agnès des soeurs de la congrégation du Coeur Immaculé de Marie.Selon la supérieure Générale, des bruits suspects, dans la parcelle, ont été entendus et par la suite des coups ont été frappés sur la porte du dortoir. La soeur a compté une vingtaine d’hommes en tenue militaire fortement armés qui ont fait irruption dans le dortoir. Ils ont roué les soeurs des coups de crosse d’armes de guerre et les ont regroupées dans une chambre, précise t-elle, en révélant que la révérende soeur Anne Marie Kashika a été ligotée et torturée afin de l’obliger à designer la mère générale Malgré les coups reçus, la soeur a persisté à soutenir que la mère générale est en voyage.A en croire la supérieure, les assaillants se sont servis de la soeur Kashika comme guide pour entrer dans toutes les chambres en vue d’emporter les biens. Les criminels ont emporté avec eux des ordinateurs (6) contenant toutes les données de la congrégation, notamment les travaux du chapitre général que les religieuses ont tenu du 20 au 31 juillet dernier.. Les assaillants ont également pris des imprimantes, une photocopieuse, des plus de mille pièces de tissus Wax, des uniformes des soeurs en stock, des téléphones portables, des montres. Des valises des habits et objets personnels des soeurs, une vingtaine, n’ont pas été épargnées. Des téléviseurs avec leurs décodeurs, un convertisseur, des appareils photographiques, des radios cassettes, un lecteur Dvd, beaucoup d’argents en monnaie étrangère, des passeports et même des ustensiles de cuisine de réserve gardés pour les grandes rencontres.(TH/GM/PF)Dia/La Prospérité

UN MEDECIN MOLESTE PAR UNE FAMILLE


Bandeko botika kosala ba munganga makambo ya motindo wana! Yebaka ke médecin congolais aza ko se debrouiller mpo na kosalisa ba ndeko naye na ba conditions oyo bino moko boyebi. Soki likama epkeyi bopesa ye foti te.
MEV
Commune de Lemba
Un médecin molesté après la décès d’un nourrisson

Par Le Potentiel
Ayant pour mission la sauvegarde des vies humaines, les médecins congolais sont souvent confrontés à de dures réalités dans l’exercice de leurs fonctions. Bien que liés par le secret médical, ces médecins se retrouvent, parfois victimes de l’incompréhension des membres de famille des patients. C’est le cas de ce qui s’est passé, le week-end dernier, dans un centre de santé situé dans la commune de Lemba.
Acheminé d’urgence pour recevoir des soins, un nourrisson a été accueilli par le médecin pédiatre trouvé sur le lieu. Après diagnostic, ce pédiatre, qui a constaté une forte fièvre chez le bébé, a demandé à une infirmière d’administrer un produit, afin de maîtriser la situation.
Entre-temps, le médecin a poursuivi la consultation des autres malades. Une façon aussi de laisser agir le médicament, avant de transférer l’enfant dans un hôpital plus spécialisé.
Mais, les choses n’ont pas évolué comme l’a souhaité le médecin. Alors qu’il poursuivait la consultation des autres patients, il a été interpellé par son infirmière. Fidèle à son serment, le médecin, toutes affaires cessantes, s’est rendu au chevet du nourrisson. Au même moment, les membres de la famille du nourrisson ont vidé la salle sur demande du médecin.
Hélas ! C’est le pire qui est arrivé, le bébé a rendu l’âme. Informée, la famille n’est pas passée par quatre chemins. Comme le père de l’enfant qui venait de succomber est un homme en uniforme, c’est la loi du plus fort qui a été appliquée. Avant d’être acheminé dans un sous-commissariat de police comme un vulgaire malfrat, le médecin a été copieusement battu.
Cette situation n’a pas laissé indifférents les membres de sa corporation. Informée, une délégation des médecins des Cliniques universitaires de Kinshasa s’est dépêchée sur le lieu carcéral, le lundi 17 août 2009. Ces disciples d’Hippocrate auraient obtenu la libération de leur confrère.
Pour eux, il n’est pas admissible qu’un médecin soit traité de la sorte par les proches d’un patient, même décédé.
La grande question qu’il faut se poser est: le nourrisson a-t-il été acheminé au moment opportun dans ce centre de santé ? En plus, même si cela est le cas, les familles ne peuvent pas s’en prendre au médecin traitant après la mort de leur proche.
Seule la justice peut établir les responsabilité s lorsqu’il s’agit d’une mort suspecte.
YVES K.