Un caporal gifle un capitaine
Ba soda na ba policiers ndenge moko. Kaporal moko abeti Kapitaine mbata na elongi en présence ya ba civils. Mawa!! Mbok'oyo ebebi! Etikali moke bagarre généralisée ebanda. Ndok, muana abeti tata, muasi abeti mobali ne. Mungamba abeti mokonzi. Sango abeti Mgr. Receveur abeti chauffeur...
MEV
Un caporal gifle un capitaine et se fait humilier
(Risasi Arsène (Stg/ Ifasic).)
L’incident s’est produit mardi vers 17 heures à l’arrêt Maboke, non loin de l’aérodrome de Ndolo. Un militaire , caporal de son état, avait l’habitude de tracasser et rançonner les chauffeurs et receveurs des taxi-bus. Il a eu le malheur de croiser sur son chemin un capitaine en tenue civile et qui attendait un moyen de transport à l’arrêt, comme beaucoup d’autres personnes.
Témoin du comportement anarchique du caporal, il n’a pu supporter longtemps son action de terrorisme vis-à-vis de paisibles citoyens. Interpellé, le militaire n’a eu pour toute réponse qu’une gifle à la face de l’inconnu. Le capitaine frappé s’est saisi de son portable et a passé un coup de fil. En moins d’un quart d’heure, des éléments de la Justice militaire se sont pointés sur le lieu. Répéré, le caporal a été délesté de son képi et de ses bottes, avant d’être soulevé de terre et embarqué certainement vers un cachot, sous les huées de la foule, contente de la tournure que venaient de prendre les événements.
2009-08-13
L’incident s’est produit mardi vers 17 heures à l’arrêt Maboke, non loin de l’aérodrome de Ndolo. Un militaire , caporal de son état, avait l’habitude de tracasser et rançonner les chauffeurs et receveurs des taxi-bus. Il a eu le malheur de croiser sur son chemin un capitaine en tenue civile et qui attendait un moyen de transport à l’arrêt, comme beaucoup d’autres personnes.
Témoin du comportement anarchique du caporal, il n’a pu supporter longtemps son action de terrorisme vis-à-vis de paisibles citoyens. Interpellé, le militaire n’a eu pour toute réponse qu’une gifle à la face de l’inconnu. Le capitaine frappé s’est saisi de son portable et a passé un coup de fil. En moins d’un quart d’heure, des éléments de la Justice militaire se sont pointés sur le lieu. Répéré, le caporal a été délesté de son képi et de ses bottes, avant d’être soulevé de terre et embarqué certainement vers un cachot, sous les huées de la foule, contente de la tournure que venaient de prendre les événements.
2009-08-13
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