Doter la ville de Mbandaka d’une morgue
Mboka mobimba lokola Mbandaka ezanga morgue! Ba mouvanciers nyonso ya Mbandaka oyo bayiba ba mbongo tango ya Mobutu bakende wapieee????? Ba ebembe ekomi kopolo na ba pitalo! Mawa!
MEV
Equateur : Le besoin d’une morgue ressenti à Mbandaka
Kinshasa, 31/08/2009 / Société
Avec le seul principe traditionnel d’enterrer les cadavres un jour immédiatement après la mort, des familles démunies de moyens financiers sont obligées de s’endetter ou prendre des cercueils à crédit.
Mbandaka, chef-lieu de la province de l’Equateur est en retard par rapport à d’autres chefs-lieux de province de la République démocratique du Congo, dans presque tous les domaines et cela depuis belle lurette. Dans le secteur hospitalier, en particulier, le besoin se fait sentir, plus pressant aujourd’hui, d’avoir une morgue. Ceci, en vue de permettre aux membres proches des défunts d’avoir le temps nécessaire pour s’organiser avant les cérémonies d’inhumation et pour mieux conserver les corps. Car, dans de nombreux cas survenus dans ladite ville, des personnes éprouvées sont toujours prises au dépourvu d’autant plus que le phénomène mort s’improvise. Elle vient quand elle veut et ne tient pas compte des moyens financiers des gens. Avec le seul principe traditionnel d’enterrer les cadavres un jour immédiatement après la mort, des familles démunies de moyens financiers sont obligées de s’endetter ou prendre des cercueils à crédit.De fois, pour honorer ces dettes, il faut s’attendre à des querelles et tiraillements de tout genre entre les cotisants de la famille éprouvée, d’une part, et les fabricants de cercueils, d’autre part! D’ailleurs, le recours à la natte tissée au raphia naturel sert aussi de moyens pour l’enterrement des morts, en cas de force majeure. Cela étant, il est question de lancer un appel pressant aux hommes de bonne volonté afin de doter la ville de Mbandaka d’une morgue. « Aide-toi, Dieu t’aidera », dit l’adage.(GM/TH/Yes)Jean Robert Iyafe Lokongo/La République
Last edited: 31/08/2009 11:35:42
Avec le seul principe traditionnel d’enterrer les cadavres un jour immédiatement après la mort, des familles démunies de moyens financiers sont obligées de s’endetter ou prendre des cercueils à crédit.
Mbandaka, chef-lieu de la province de l’Equateur est en retard par rapport à d’autres chefs-lieux de province de la République démocratique du Congo, dans presque tous les domaines et cela depuis belle lurette. Dans le secteur hospitalier, en particulier, le besoin se fait sentir, plus pressant aujourd’hui, d’avoir une morgue. Ceci, en vue de permettre aux membres proches des défunts d’avoir le temps nécessaire pour s’organiser avant les cérémonies d’inhumation et pour mieux conserver les corps. Car, dans de nombreux cas survenus dans ladite ville, des personnes éprouvées sont toujours prises au dépourvu d’autant plus que le phénomène mort s’improvise. Elle vient quand elle veut et ne tient pas compte des moyens financiers des gens. Avec le seul principe traditionnel d’enterrer les cadavres un jour immédiatement après la mort, des familles démunies de moyens financiers sont obligées de s’endetter ou prendre des cercueils à crédit.De fois, pour honorer ces dettes, il faut s’attendre à des querelles et tiraillements de tout genre entre les cotisants de la famille éprouvée, d’une part, et les fabricants de cercueils, d’autre part! D’ailleurs, le recours à la natte tissée au raphia naturel sert aussi de moyens pour l’enterrement des morts, en cas de force majeure. Cela étant, il est question de lancer un appel pressant aux hommes de bonne volonté afin de doter la ville de Mbandaka d’une morgue. « Aide-toi, Dieu t’aidera », dit l’adage.(GM/TH/Yes)Jean Robert Iyafe Lokongo/La République
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