Moyen ya kotala TV elongo na bana to ba bokilo eza te. Bakomi kotalisa ba images ya makambo mabe. tosengi leta arenfonrcer ba mibeko. Toza ba mindele te. Ilfo botosi ezala.
MEV
Kinshasa, 11/09/2009 / Société
Ces images on les retrouve souvent dans les tranches musicales, dans les séries télévisées et dans certains spots publicitaires.
Des couples déshabillés en train de s’embrasser, des danseuses en spectacle á moitie nue, des jeunes en liesse exhibant leurs postérieures, bouteilles de bière à la main... Ces scènes sont diffusées sur plusieurs chaînes de télévision de la capitale, aux heures tardives comme en pleine journée.Il suffit juste de zapper sur des émissions musicales qui balancent certains concerts des vedettes en vogue, des publicités de sociétés brassicoles, des séries télévisées des films nigérians ou d’Amérique latine... pour s’en convaincre.Rédacteur en chef de Canal Kin Télévision (CKTV), Thierry Lebika est convaincu que la diffusion des images obscènes dévalorise la profession du journaliste congolais. « Certains spectacles animés par nos confrères et diffusés par nos médias détruisent l’éducation de la jeunesse et mettent en péril l’avenir de notre pays, fait-il remarqué.« Toute publicité, toute série télévisée, tout spectacle, tout documentaire... ne sont pas diffusables, indique Thierry Lebika. Les médias doivent bien gérer toutes les images qu’ils diffusent, étant donné qu’ils ont la mission d’éduquer, de former et d’informer. Une danse comme « Sima ekoli » (de Wenge Musica Maison Mère) n’éduque pas, même si elle divertit bon nombre de Kinois. Mais, comme nos chaînes vivent de la publicité, nous faisons quotidiennement face à une concurrence déloyale. Nous sommes alors contraints d’examiner le contenu de certains spots ou programmes avant de les faire passer... pour le bien-être des téléspectateurs ».
Ces images on les retrouve souvent dans les tranches musicales, dans les séries télévisées et dans certains spots publicitaires.
Des couples déshabillés en train de s’embrasser, des danseuses en spectacle á moitie nue, des jeunes en liesse exhibant leurs postérieures, bouteilles de bière à la main... Ces scènes sont diffusées sur plusieurs chaînes de télévision de la capitale, aux heures tardives comme en pleine journée.Il suffit juste de zapper sur des émissions musicales qui balancent certains concerts des vedettes en vogue, des publicités de sociétés brassicoles, des séries télévisées des films nigérians ou d’Amérique latine... pour s’en convaincre.Rédacteur en chef de Canal Kin Télévision (CKTV), Thierry Lebika est convaincu que la diffusion des images obscènes dévalorise la profession du journaliste congolais. « Certains spectacles animés par nos confrères et diffusés par nos médias détruisent l’éducation de la jeunesse et mettent en péril l’avenir de notre pays, fait-il remarqué.« Toute publicité, toute série télévisée, tout spectacle, tout documentaire... ne sont pas diffusables, indique Thierry Lebika. Les médias doivent bien gérer toutes les images qu’ils diffusent, étant donné qu’ils ont la mission d’éduquer, de former et d’informer. Une danse comme « Sima ekoli » (de Wenge Musica Maison Mère) n’éduque pas, même si elle divertit bon nombre de Kinois. Mais, comme nos chaînes vivent de la publicité, nous faisons quotidiennement face à une concurrence déloyale. Nous sommes alors contraints d’examiner le contenu de certains spots ou programmes avant de les faire passer... pour le bien-être des téléspectateurs ».
Réactions des responsables des chaînes confessionnelles
Conformément aux missions qu’ils se sont assignés, les responsables de certaines chaînes confessionnelles refusent de se laisser emporter par le laxisme constaté dans le chef de certains médias à large audience.Abordés à ce propos, les directeurs des programmes de Hope télévision (Hope TV), d’Amen Télévision (AMTV) et de Radiotélévision Dieu Vivant (RTDV) soutiennent qu’ils ne laissent jamais passer des obscénités sur leurs antennes. Ils affirment plutôt que, dans leurs grilles de programmes, pendant les détentes, ils font davantage passer des clips des chansons religieuses, ainsi que des films d’origine nigériane à caractère éducatif.« La vocation de notre chaîne n’est pas commerciale, explique Jacques Kasongo, directeur des programmes d’AMTV. Nous n’acceptons pas la diffusion des spots publicitaires de tout genre, hormis des publicités à caractère religieux pour accompagner l’évangélisation.« La ligne éditoriale de notre chaîne ne nous permet pas de diffuser des images obscènes que nous retrouvons dans certaines musiques populaires et dans les publicités de quelques produits, particulièrement des boissons alcooliques, commente à son tour Georges Kewa, rédacteur en chef de Hope TV. La diffusion des images obscènes n’est pas biblique, parce qu’elles sont contraires à la pudeur et sont à la base de la mauvaise éducation des jeunes Kinois.La Rtdv du prophète Nehema Sikatenda tient aussi à défendre la pudeur à travers ses programmes, conformément à l’optique de l’évangile. « Pendant les détentes, affirme le directeur de programme de cette chaîne, nous préférons passer des clips religieux ainsi que les prédications du prophète Jacques Nehema Sikatenda. Ses propos interpellent souvent la conscience des enfants de Dieu pour les pousser à rester devant sa présence et éviter de tomber dans des occasions du pêché ».(Milor/GM/PKF)Sebe Ndunga/Lorris Kazadi/Journal du Citoyen
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