Ce moustique pourrait être introduit dans la nature où sa reproduction serait plus vite que ses congénères naturels
Oyo eza sango malamo penza! Batinda ba ngungi oyo ebele na RDC eya ko remplacer ba oyo toza nango awa. Ba ngungi ya Kin baza na mawa te, okomele kisi ya malaria, mikolo ekoleka mingi te bazongeli yo bayei kosua lisusu ozongeli cure mususu. Bana mike baza kokufa lokola ba nzinzi!
Question: Ba ngungi oyo ba mindele basali na maboko ekoki kopesa biso ba maladi ya sika te?
MEV
Un moustique génétiquement modifié vient d’être créer par des américains en vue de réduire la propagation du paludisme chez les humain.
Des chercheurs américains viennent de créer un moustique génétiquement modifié en vue de réduire la propagation du paludisme chez les humains, affirme une dépêche du département d’Etat des Etats-Unis d’Amérique. « Les bienfaits de cette découverte risquent de se faire attendre jusqu’à deux décennies », le temps pour ces chercheurs d’étudier comment des insectes génétiquement modifiés pourraient contribuer à endiguer la transmission à l’homme des maladies invalidantes ou mortelles, telles que la maladie du sommeil, la maladie de chaggas en Amérique latine ainsi que ses congénères naturels.
Selon le chercheur, ce moustique pourrait être introduit dans la nature où sa reproduction serait plus vite que ses congénères naturels. Par rapport aux études menées par ces scientifiques, chaque génération de descendants est plus forte, plus nombreuse et plus à même d’inverser le taux d’infections paludiques dans une population donnée.
Par ailleurs, à l’heure actuelle, des analyses sont menées, pour voir dans quelle mesure ces moustiques « transgéniques » se mélangeraient avec les « naturels » sur le terrain. Les chercheurs américains examinent notamment des problèmes éventuels au niveau de l’environnement, des législations ainsi que du social avec les gouvernements des Etats entourant les sites d’essais.
Régine Kiala/Le Potentiel
Selon le chercheur, ce moustique pourrait être introduit dans la nature où sa reproduction serait plus vite que ses congénères naturels. Par rapport aux études menées par ces scientifiques, chaque génération de descendants est plus forte, plus nombreuse et plus à même d’inverser le taux d’infections paludiques dans une population donnée.
Par ailleurs, à l’heure actuelle, des analyses sont menées, pour voir dans quelle mesure ces moustiques « transgéniques » se mélangeraient avec les « naturels » sur le terrain. Les chercheurs américains examinent notamment des problèmes éventuels au niveau de l’environnement, des législations ainsi que du social avec les gouvernements des Etats entourant les sites d’essais.
Régine Kiala/Le Potentiel
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