Des policiers et militaires ont mené vendredi une perquisition...
Bandeko, kobanda etumba oyo esalemaki awa ekomi kaka boye, soki bovandi bokomono kaka ba militaires bakoteli bino na ndako, balobi baye koluka ba minduki, mbala mosusu bakoloba que baye koluka ba soda ya Bemba, entre temps ba ko piller bino, babotoli bino ba biloko bakeyi na yango. Dictature ezongeli ya makasi! Vieux Gizengi aza ata na liloba ya koloba te...Ah mawa na biso!
Chasse à l’homme à Kinshasa
Deux semaines après les affrontements sanglants des 22 et 23 mars entre les éléments de la garde prétorienne de Joseph Kabila, appuyés par des soldats angolais, et des soldats de la garde rapprochée de Jean-Pierre Bemba Gombo, des membres de l’opposition continuent à être traqués à Kinshasa. Certains ont vu leurs habitations pillées par des policiers et militaires dépendant directement de la Présidence de la République.
RDCongo: perquisition musclée chez un gouverneur proche de Bemba
Des policiers et militaires ont mené vendredi une perquisition musclée au domicile du gouverneur de la province d'Equateur (nord-ouest) à Kinshasa où ils ont saisi trois véhicules, pillé des biens personnels et embarqué quatre employés, a-t-on appris auprès de témoins.Cette perquisition musclée au domicile de M. Makila, ancien ministre des Travaux publics, intervient dans un contexte tendu à Kinshasa, quinze jours après des combats meurtriers entre l'armée et la garde rapprochée de l'ancien vice-président Bemba, qui s'est lui-même réfugié dans une résidence de l'ambassade d'Afrique du Sud.
Depuis ces combats, qui ont fait entre 200 et 500 morts selon des sources diplomatiques, la Mission de l'ONU en RDC (Monuc) a dénoncé des "menaces et intimidations" contre des cadres et militants du MLC, dont le siège a été saccagé et occupé par des militaires.
Des employés du gouverneur José Makila, cadre du Mouvement de libération du Congo (MLC) de l'opposant Jean-Pierre Bemba, ont déclaré à l'AFP que des policiers avaient exigé d'entrer dans la résidence pour "récupérer des biens de l'Etat", certains affirmant être mandatés par le gouvernement, d'autres par la présidence.
Face au refus des employés d'ouvrir le portail en l'absence de leur patron, les policiers ont appelé des militaires en renfort et ont forcé l'entrée, ont indiqué plusieurs témoins.
"Ils ont embarqué trois voitures, avec deux chauffeurs et deux policiers qui gardaient ici. Ils ont aussi pris des biens: une radio, des chaussures, trois (téléphones) portables et beaucoup d'argent", a déclaré un employé, sous couvert d'anonymat.
La villa de M. Makila, qu'un journaliste de l'AFP a pu visiter, a été fouillée de fond en comble, la porte de sa chambre à coucher a été enfoncée, ses effets personnels répandus par terre.
Contacté par l'AFP à Mbandaka, capitale de l'Equateur, M. Makila a dénoncé "une violation constitutionnelle".
"C'est un scandale. Ces gens-là sont entrés chez moi en forçant le portail sous prétexte de chercher des véhicules de l'Etat. Mais quand on cherche des voitures, on ne va pas fouiller dans la chambre à coucher des gens, on ne pille pas leur domicile!", a-t-il déclaré.
"Ils ne sont pas venus pour ça. Ils continuent à m'accuser de détenir des armes. Mais il n'y a rien chez moi", a-t-il dit.
"Ils ont enlevé mes employés et terrorisé tout le monde. Comment voulez-vous que dans ces conditions, on continue à travailler dans ce pays? Je ne vais pas continuer dans ces conditions. Notre sécurité n'est pas garantie", a-t-il poursuivi.
En effet, le Gouverneur nouvellement élu de la province de l’Equateur avait déclaré dans une interview avec des confrères congolais que le Ministre Kalume serait un génocidaire pour avoir d'après ce dernier tué des congolais dans cette partie du pays (Bas-Congo). Il va plus loin et certifie que le Général devra repondre de ses actes et renchérit en déclarent ouvertement que, Kalume Numbi aurait trahi les forces armées a Kisangani lors de la dernière guerre dans cette ville et pour finir, JOSE MAKILA affirme que le Ministre l'aurait pointé en s'exprimant sur les antennes de la Télévision nationale comme détenant des minutions et tenues de forces de l'ordre pour insécuriser les kinois.
"En définitive, le pourrissement de la situation arrange le pouvoir: Bemba est neutralisé et l'opposition incapable de se restructurer", notait un observateur occidental, déplorant le silence de la communauté internationale qui a pourtant "injecté 500 millions de dollars dans le processus électoral" en RDC.
Cliquez ici pour voir les atrocités:
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